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(...) ça faisait longtemps qu'on attendait une comédie de cet acabit : vive, impudique, sensible, et surtout drôle. Car tout en étant un très beau film sur la puberté, Du poil sous les roses fait rire. Souvent. Intensément.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Comment ne pas aimer ce film arrivé de la comète adolescence sans prévenir, tout doux, tout mignon avec quelques boutons, mais des imperfections qui ne gênent en rien son esprit ?
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Agnès Obadia ouvre dans ce genre adolescent une voie réjouissante, celle du langage aussi salé que décalé, avec derrière le poids des sous-entendus qu'engendre l'éveil de la sexualité.
Fièrement régressif, Du poil sous les roses tend plus à graver des bites sur le bois des tables que d'impérissables plans dans nos mémoires. On l'aime aussi pour ça.
Du poil sous les roses se refuse à adopter un point de vue construit, sinon celui de la description méthodique. Cela fait son originalité, sa légèreté, sa drôlerie.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Si la première partie est menée tambour battant par la touchante Julie Durand, on regrette que l'arrivée des garçons apporte une touche de vulgarité dont on se serait facilement passé.
Agnès Obadia et Jean-Julien Chervier veulent juste leur faire part de quelques observations, de quelques questions que la contemplation des ados contemporains leur a inspirées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le projet était séduisant mais ne tient pas toutes ses promesses, notamment parce que les deux parties ne présentent pas les mêmes qualités de mise en scène (...). La deuxième partie est hélas plus faible.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) le résultat apparaît quelque peu potache (gulp, quel titre !) et pas toujours rigoureusement scénarisé ni filmé. Joyeusement irrespectueux par instants mais manquant de consistance.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
(...) grâce aux à-coups fantasques du montage (...) et à la malice d'observations éparses sur la puberté, le film marque quelques jolis points, et demeure le plus souvent aussi arbitraire et exagéré que les divagations propres à l'âge ingrat.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Filmée caméra à l'épaule, sur un mode aussi brouillon que ses personnages, cette comédie a beau " tourner en dérision " (sic) tous les clichés du sexe fantasmés par des puceaux angoissés, elle reste pénible et bêtifiante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
(...) dernière pousse issue de la déferlante de cinéma adolescent, étranger à la beauté lointaine de Virgin Suicides, éloigné du regard d'entomologiste des Autres filles (...), Du poil sous les roses tient coûte que coûte à rester parmi les cancres du fond de la classe.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
(...) ça faisait longtemps qu'on attendait une comédie de cet acabit : vive, impudique, sensible, et surtout drôle. Car tout en étant un très beau film sur la puberté, Du poil sous les roses fait rire. Souvent. Intensément.
Cplanet.com
Comment ne pas aimer ce film arrivé de la comète adolescence sans prévenir, tout doux, tout mignon avec quelques boutons, mais des imperfections qui ne gênent en rien son esprit ?
FHM
Situatipons comico-lubriques, dialogues crus, ce film osé réussit la gageure de nous faire marrer sans jamais sombrer dans la vulgarité scabreuse.
Le Figaro Magazine
Agnès Obadia ouvre dans ce genre adolescent une voie réjouissante, celle du langage aussi salé que décalé, avec derrière le poids des sous-entendus qu'engendre l'éveil de la sexualité.
Les Inrockuptibles
Fièrement régressif, Du poil sous les roses tend plus à graver des bites sur le bois des tables que d'impérissables plans dans nos mémoires. On l'aime aussi pour ça.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
A partir de ce thème aussi inépuisable que rabâché, les deux auteurs réalisateurs réussissent une comédie à la fois légère et crue.
Urbuz
Du poil sous les roses se refuse à adopter un point de vue construit, sinon celui de la description méthodique. Cela fait son originalité, sa légèreté, sa drôlerie.
Aden
Sorte d'inventaire des passages obligés de la puberté (...), il rappelle avec crudité combien la quête de soi ne pas pas, justement, de soi.
Cahiers du Cinéma
Quelques détails tuent ; d'autres sauvent. Entre gadgets et étincelles, un charme insiste de loin en loin.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Des clichés volontairement exagérés, certes, et avec de bonnes iédes au début. Mais quand l'humour devient incertain, l'obsession sexuelle lasse.
Le Journal du Dimanche
Si la première partie est menée tambour battant par la touchante Julie Durand, on regrette que l'arrivée des garçons apporte une touche de vulgarité dont on se serait facilement passé.
Le Monde
Agnès Obadia et Jean-Julien Chervier veulent juste leur faire part de quelques observations, de quelques questions que la contemplation des ados contemporains leur a inspirées.
Positif
Le projet était séduisant mais ne tient pas toutes ses promesses, notamment parce que les deux parties ne présentent pas les mêmes qualités de mise en scène (...). La deuxième partie est hélas plus faible.
Repérages
(...) le résultat apparaît quelque peu potache (gulp, quel titre !) et pas toujours rigoureusement scénarisé ni filmé. Joyeusement irrespectueux par instants mais manquant de consistance.
Télérama
(...) grâce aux à-coups fantasques du montage (...) et à la malice d'observations éparses sur la puberté, le film marque quelques jolis points, et demeure le plus souvent aussi arbitraire et exagéré que les divagations propres à l'âge ingrat.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Filmée caméra à l'épaule, sur un mode aussi brouillon que ses personnages, cette comédie a beau " tourner en dérision " (sic) tous les clichés du sexe fantasmés par des puceaux angoissés, elle reste pénible et bêtifiante.
Libération
(...) dernière pousse issue de la déferlante de cinéma adolescent, étranger à la beauté lointaine de Virgin Suicides, éloigné du regard d'entomologiste des Autres filles (...), Du poil sous les roses tient coûte que coûte à rester parmi les cancres du fond de la classe.
Première
Obadia et Chervier se livrent à une caricature d'ados qui passent beaucoup plus pour des mythomanes que des rêveurs (...)