Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Bouquet
(...) Oliveira s'inscrit dans la lignée des grands créateurs portugais (Camoes, Vieira donc, Pessoa, récemment Saramago ou Lobo Antunes) pour qui l'art fut également l'occasion d'une réflexion nationale et/ou nationaliste.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
(...) une révérence du cinéma au langage, à la lettre rendue vivante, réinventée pour mieux toucher celui qui la reçoit.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par M.Merlet
(...) à une époque, la nôtre, où entendre et se faire entendre deviennent difficiles, où le respect dû à l'autre par une oreille attentive semble lettre morte, le Parole et utopie de Manoel de Oliveira déclare son caractère précieux.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Humanité
par Jean Roy
(...) ce titre programmatique, Parole et Utopie, aussi beau, intransigeant et dénué d'enflure que l'est le film qui suit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
(...) un film virtuose.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) Parole et utopie ne fait pas dans le glamour et la gaudriole. Pourtant, Manoel de Oliveira signe là une authentique splendeur - une de plus.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Ce que Manoel de Oliveira affirme ici, c'est une liberté de ton et d'esprit qui, à force de prosaïsme et de dépouillement, atteint au sublime.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Repérages
par Julien Welter
(...) un film essentiel, loin de la fantaisie elliptique de son précédent opus, La Lettre. Mais son aspect monolithique, qui ne concède rien, ne l'empêche de s'avérer être l'un des plus importants de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
L'art d'Oliveira consiste à épurer son cinéma pour asseoir sa «démonstration». Autant dire que s'il se confond avec son sujet, il atteint, dans le même temps, la quintessence de son art.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Voilà un art, tout de musicalité, qui fait fi des effets spéciaux et des coups de poing à l'estomac du tout-venant cinématographique. Une vraie, une belle exception culturelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Télérama
par François Gorin
La difficulté pour Oliveira était de faire en sorte que la prose de Vieira, cette prose qui fit plus tard pleurer Fernando Pessoa, s'impose au spectateur. Il y parvient souvent (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Cette raideur distanciée, qui est le style habituel du cinéaste, laisse le temps d'être envoûté... ou de se dire que, finalement, les mêmes pensées, couchées par écrit, sont peut-être beaucoup plus vivantes qu'ici.
Le Figaro Magazine
par Jean-Christophe Buisson
Un peu lent, un peu maladroit, Manoel de Oliveira restitue, avec des moyens limités, le destin hors du commun du père Vieira. Une évocation qui vaut surtout par la richesse des textes du religieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
MCinéma.com
par Nathalie Lanier
(...) les références envahissent le film et finissent par masquer les plus belles idées qui transparaissent difficilement dans ce tas de discours et de rhétorique...
Première
par Virginie Apiou
C'est toujours beau, parfois intéressant (...), parfois drôle. Mais souvent très ennuyeux (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) pour qui n'entend pas le portugais, le nouveau film de Manoel de Oliveira se résume à 130 minutes de lecture de sous-titres. Sous-titres censés rendre compte de textes conçus non pour être lus, mais pour être entendus. Difficile alors d'en rendre compte sérieusement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
(...) Oliveira s'inscrit dans la lignée des grands créateurs portugais (Camoes, Vieira donc, Pessoa, récemment Saramago ou Lobo Antunes) pour qui l'art fut également l'occasion d'une réflexion nationale et/ou nationaliste.
Chronic'art.com
(...) une révérence du cinéma au langage, à la lettre rendue vivante, réinventée pour mieux toucher celui qui la reçoit.
Fluctuat.net
(...) à une époque, la nôtre, où entendre et se faire entendre deviennent difficiles, où le respect dû à l'autre par une oreille attentive semble lettre morte, le Parole et utopie de Manoel de Oliveira déclare son caractère précieux.
L'Humanité
(...) ce titre programmatique, Parole et Utopie, aussi beau, intransigeant et dénué d'enflure que l'est le film qui suit.
Le Monde
(...) un film virtuose.
Les Inrockuptibles
(...) Parole et utopie ne fait pas dans le glamour et la gaudriole. Pourtant, Manoel de Oliveira signe là une authentique splendeur - une de plus.
Libération
Ce que Manoel de Oliveira affirme ici, c'est une liberté de ton et d'esprit qui, à force de prosaïsme et de dépouillement, atteint au sublime.
Repérages
(...) un film essentiel, loin de la fantaisie elliptique de son précédent opus, La Lettre. Mais son aspect monolithique, qui ne concède rien, ne l'empêche de s'avérer être l'un des plus importants de son auteur.
Urbuz
L'art d'Oliveira consiste à épurer son cinéma pour asseoir sa «démonstration». Autant dire que s'il se confond avec son sujet, il atteint, dans le même temps, la quintessence de son art.
Le Figaroscope
Voilà un art, tout de musicalité, qui fait fi des effets spéciaux et des coups de poing à l'estomac du tout-venant cinématographique. Une vraie, une belle exception culturelle.
Télérama
La difficulté pour Oliveira était de faire en sorte que la prose de Vieira, cette prose qui fit plus tard pleurer Fernando Pessoa, s'impose au spectateur. Il y parvient souvent (...)
Aden
Cette raideur distanciée, qui est le style habituel du cinéaste, laisse le temps d'être envoûté... ou de se dire que, finalement, les mêmes pensées, couchées par écrit, sont peut-être beaucoup plus vivantes qu'ici.
Le Figaro Magazine
Un peu lent, un peu maladroit, Manoel de Oliveira restitue, avec des moyens limités, le destin hors du commun du père Vieira. Une évocation qui vaut surtout par la richesse des textes du religieux.
MCinéma.com
(...) les références envahissent le film et finissent par masquer les plus belles idées qui transparaissent difficilement dans ce tas de discours et de rhétorique...
Première
C'est toujours beau, parfois intéressant (...), parfois drôle. Mais souvent très ennuyeux (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) pour qui n'entend pas le portugais, le nouveau film de Manoel de Oliveira se résume à 130 minutes de lecture de sous-titres. Sous-titres censés rendre compte de textes conçus non pour être lus, mais pour être entendus. Difficile alors d'en rendre compte sérieusement.