Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Et c’est aussi dérangeant que passionnant.
Elle
par Françoise Delbecq
Une démonstration aussi infernale que passionnante.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Pour son évidente intensité, ce récit fait réfléchir sur la notion de justice, et sa définition variable selon les cultures.
L'Obs
par François Forestier
La banalité apparente de cette histoire et l’acceptation de cette forme de justice, qui s’apparente au lynchage, sont choquantes. Le pardon, enfant de la charité, peut-il être monnayé, sous l’œil de Dieu complice ? « Yalda » est le cantique des humiliés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Effrayant, haletant et édifiant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film sidérant inspiré de la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une fable acide sur la sujétion de la Justice aux réseaux sociaux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Denitza Bantcheva
L’ingéniosité du scénario, riche en rebondissements, ne nuit jamais à la vraisemblance. La mise en scène fait des allers-retours judicieux entre le plateau et les coulisses, en exploitant habilement les lieux de passage. Les deux actrices principales sont excellentes, chacune dans un registre différent.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le huis clos est d’autant plus oppressant que donner aux victimes le pouvoir de sauver ou non, va contre tous les remparts dont le droit français, notamment, protège.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Bande à part
par Hava Sarfati
Un film événement, dérangeant et instructif à plusieurs titres, qui explore conjointement deux thématiques essentielles, conjuguées avec une pertinence qui détonne. Les fondements de la justice d’une part, et cette vie ultra connectée que nous avons abandonnée aux médias d’autre part.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par La Rédaction
Le film est une double critique. Celle du système télévisuel (...). Une critique plus évasive de la société iranienne, dans ses rapports de classes et de genres, qui accablent Maryam sous cette violence institutionnalisée. Malgré l’intérêt du sujet, celle-ci, esquissée, reste un peu trop brouillonne, même si la mise en scène, dynamique, met sous tension le récit du début jusqu’à la chute, sans happy end.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Derrière le faux suspense volontairement entretenu et l’esthétique tape-à-l’œil de l’émission, qui rend son visionnage parfois éprouvant, se joue un bouleversant drame intime auquel les deux interprètes, Sadaf Asgari et Behnaz Jafari, apportent toute la nuance de leur jeu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Bien qu'un brin démonstratif ou maladroit par endroits, cet étouffant récit où la tension va crescendo indigne autant qu'il séduit.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
La prestation des deux actrices donne de la profondeur à ce drame très sombre.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Si le film ne se montre pas tout du long à la hauteur de l'originalité du sujet, le contexte du scénario n'en est pas moins assez stupéfiant pour maintenir le suspense et l'attention. Une œuvre glaçante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Luc Chessel
En répliquant ce dispositif pour en décrire les ambiguïtés, le film place au fond ses spectateurs dans la même position que les téléspectateurs fictifs de l’émission [...] dans la position de juger les parties en présence [...] du point de vue de leur moralité ou absence de moralité, et non dans la perspective d’en finir avec le jugement - perspective dont le cinéma s’est parfois montré capable et qui est peut-être sa seule chance d’exister.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Si toute sa partie en coulisses des émissions télé a un côté déjà vu, Yalda s’impose par la tension que son réalisateur sait faire naître de bout en bout en jouant avec le pouvoir manipulateur des images et, plus largement, avec les multiples composantes de son récit (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
Si le face-à-face entre les deux femmes reste un peu schématique dans sa façon de confronter les classes sociales, le film parvient à impliquer le (télé)spectateur, à le faire s’interroger sur sa position de juge.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le film de Massoud Bakhshi montre avec effroi comment, dans un pays des plus conservateurs au monde, une émission de télévision peut jouer avec les règles du Talion. Résolument inquiétant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Grignon
À trop diluer la réflexion dans le sensationnel, Bakhshi perd alors à la fois ce qui faisait l’horizon moral et la pertinence critique de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
Rien ne sonne juste. La mise en abyme cinématographique échoue à émouvoir, malgré la tonne de maquillage, le justesse du combat, et de bons sentiments. On aurait largement préféré un documentaire...
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Et c’est aussi dérangeant que passionnant.
Elle
Une démonstration aussi infernale que passionnante.
Femme Actuelle
Pour son évidente intensité, ce récit fait réfléchir sur la notion de justice, et sa définition variable selon les cultures.
L'Obs
La banalité apparente de cette histoire et l’acceptation de cette forme de justice, qui s’apparente au lynchage, sont choquantes. Le pardon, enfant de la charité, peut-il être monnayé, sous l’œil de Dieu complice ? « Yalda » est le cantique des humiliés.
La Voix du Nord
Effrayant, haletant et édifiant.
Le Parisien
Un film sidérant inspiré de la réalité.
Les Fiches du Cinéma
Une fable acide sur la sujétion de la Justice aux réseaux sociaux.
Positif
L’ingéniosité du scénario, riche en rebondissements, ne nuit jamais à la vraisemblance. La mise en scène fait des allers-retours judicieux entre le plateau et les coulisses, en exploitant habilement les lieux de passage. Les deux actrices principales sont excellentes, chacune dans un registre différent.
Sud Ouest
Le huis clos est d’autant plus oppressant que donner aux victimes le pouvoir de sauver ou non, va contre tous les remparts dont le droit français, notamment, protège.
Bande à part
Un film événement, dérangeant et instructif à plusieurs titres, qui explore conjointement deux thématiques essentielles, conjuguées avec une pertinence qui détonne. Les fondements de la justice d’une part, et cette vie ultra connectée que nous avons abandonnée aux médias d’autre part.
L'Humanité
Le film est une double critique. Celle du système télévisuel (...). Une critique plus évasive de la société iranienne, dans ses rapports de classes et de genres, qui accablent Maryam sous cette violence institutionnalisée. Malgré l’intérêt du sujet, celle-ci, esquissée, reste un peu trop brouillonne, même si la mise en scène, dynamique, met sous tension le récit du début jusqu’à la chute, sans happy end.
La Croix
Derrière le faux suspense volontairement entretenu et l’esthétique tape-à-l’œil de l’émission, qui rend son visionnage parfois éprouvant, se joue un bouleversant drame intime auquel les deux interprètes, Sadaf Asgari et Behnaz Jafari, apportent toute la nuance de leur jeu.
Le Journal du Dimanche
Bien qu'un brin démonstratif ou maladroit par endroits, cet étouffant récit où la tension va crescendo indigne autant qu'il séduit.
Le Monde
La prestation des deux actrices donne de la profondeur à ce drame très sombre.
Les Echos
Si le film ne se montre pas tout du long à la hauteur de l'originalité du sujet, le contexte du scénario n'en est pas moins assez stupéfiant pour maintenir le suspense et l'attention. Une œuvre glaçante.
Libération
En répliquant ce dispositif pour en décrire les ambiguïtés, le film place au fond ses spectateurs dans la même position que les téléspectateurs fictifs de l’émission [...] dans la position de juger les parties en présence [...] du point de vue de leur moralité ou absence de moralité, et non dans la perspective d’en finir avec le jugement - perspective dont le cinéma s’est parfois montré capable et qui est peut-être sa seule chance d’exister.
Première
Si toute sa partie en coulisses des émissions télé a un côté déjà vu, Yalda s’impose par la tension que son réalisateur sait faire naître de bout en bout en jouant avec le pouvoir manipulateur des images et, plus largement, avec les multiples composantes de son récit (...).
Télérama
Si le face-à-face entre les deux femmes reste un peu schématique dans sa façon de confronter les classes sociales, le film parvient à impliquer le (télé)spectateur, à le faire s’interroger sur sa position de juge.
aVoir-aLire.com
Le film de Massoud Bakhshi montre avec effroi comment, dans un pays des plus conservateurs au monde, une émission de télévision peut jouer avec les règles du Talion. Résolument inquiétant.
Critikat.com
À trop diluer la réflexion dans le sensationnel, Bakhshi perd alors à la fois ce qui faisait l’horizon moral et la pertinence critique de son sujet.
Le Figaro
Rien ne sonne juste. La mise en abyme cinématographique échoue à émouvoir, malgré la tonne de maquillage, le justesse du combat, et de bons sentiments. On aurait largement préféré un documentaire...