AlloCiné
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Votre avis sur Le Daim ?
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Perso je ne comprends pas l'intérêt de faire exprès de faire un film, il y a assez de navet comme ça ... sous couvert d'une métaphore de la société on nous fait miroiter une histoire sans queue ni tête ce qui est gênant pour un daim. Le jeu d'acteur ne suffit pas à relevé le goût amer de ces longues minutes perdues.
Néo-nanar surestimé d'une inutilité artistique aberrante peuplé de personnages transparents qu'on a envie d'oublier vite.
Présenter ce film comme une "comédie", ah oui en effet cela pourrait etre comique si cela n'était navrant de prétendre que c'est comique, drole...
Ce n'est ni drole ni comique, plutot un fait divers, un type qui part à la dérive, après un déboire/dispute sentimentale, devient délirant jusqu'à la folie et au meurtre. Une épave qui se trouve un but délirant pour exister.
C'est épouvantable de faire des images flous, des couleurs tellement délavées, qu'on pourrait croire à une vieille pellicule usée d'un film. Image tressautante, ca donne la nausée de prétendre que c'est un film, tellement cette image est désagréable, pour relater la prise d'image avec un camescope numérique.
Ce blouson n'a rien de moche, ni de ringard, c'est un style western ce blouson, on pourrait très bien le voir dans un ancien film sur les indiens ou les trappeurs ou les cowboys, mais aussi actuellement ce style de blouson sera porté par un homme ou une femme, qui va faire des spectacles de danse country.
Le prix du blouson ne semble pas du tout imposé par le vieux vendeur, mais plus déjà l'obsession de celui qui veut l'acheter suite à une annonce, il le veut absolument ce blouson là, il a fait de nombreux kilomètres, dans un endroit paumé, juste pour venir le chercher. Une lubie, une folie déjà. Le blouson n'est pas trop petit pour lui, il est juste un peu court, ce qui donne à penser qu'il irait mieux à une femme qu'à un homme.
Les pro et les critiques pro sont toujours aussi SPACE, pour trouver des tas de qualité à ce film. Parce qu'au final, il est même un peu long. Mort de rire, oser dire, que le film a du rythme ?? alors qu'il est d'une lenteur folle, limite exaspérante tellement c'est lent.
Je suis persuadé que ceux qui ont payé leur place, n'ont pas du trouver comique d'avoir payé une place de cinema, pour visionner un tel film.
Disons le clairement et tout haut, c'est un nanard, un film pompeux, qui se veux "ART" pour ceux qui aiment se gratter la nouille en ayant l'air d'etre en reflexion profonde métaphysique et hautement philosophique. Sans intéret et à oublier de suite.
Ce n'est ni drole ni comique, plutot un fait divers, un type qui part à la dérive, après un déboire/dispute sentimentale, devient délirant jusqu'à la folie et au meurtre. Une épave qui se trouve un but délirant pour exister.
C'est épouvantable de faire des images flous, des couleurs tellement délavées, qu'on pourrait croire à une vieille pellicule usée d'un film. Image tressautante, ca donne la nausée de prétendre que c'est un film, tellement cette image est désagréable, pour relater la prise d'image avec un camescope numérique.
Ce blouson n'a rien de moche, ni de ringard, c'est un style western ce blouson, on pourrait très bien le voir dans un ancien film sur les indiens ou les trappeurs ou les cowboys, mais aussi actuellement ce style de blouson sera porté par un homme ou une femme, qui va faire des spectacles de danse country.
Le prix du blouson ne semble pas du tout imposé par le vieux vendeur, mais plus déjà l'obsession de celui qui veut l'acheter suite à une annonce, il le veut absolument ce blouson là, il a fait de nombreux kilomètres, dans un endroit paumé, juste pour venir le chercher. Une lubie, une folie déjà. Le blouson n'est pas trop petit pour lui, il est juste un peu court, ce qui donne à penser qu'il irait mieux à une femme qu'à un homme.
Les pro et les critiques pro sont toujours aussi SPACE, pour trouver des tas de qualité à ce film. Parce qu'au final, il est même un peu long. Mort de rire, oser dire, que le film a du rythme ?? alors qu'il est d'une lenteur folle, limite exaspérante tellement c'est lent.
Je suis persuadé que ceux qui ont payé leur place, n'ont pas du trouver comique d'avoir payé une place de cinema, pour visionner un tel film.
Disons le clairement et tout haut, c'est un nanard, un film pompeux, qui se veux "ART" pour ceux qui aiment se gratter la nouille en ayant l'air d'etre en reflexion profonde métaphysique et hautement philosophique. Sans intéret et à oublier de suite.
Excellent Dujardin, un petit air lointain dans ce film de « c’est arrivé près de chez vous » . Déjanté, décalé , barré même dans le dernier tiers du film. Le duo Haenel -Dujardin fonctionne très bien.
gabdias
Qu’il manque une case à Q.Dupieux, ça nous les avions déjà, qu’il arrive à mettre dans son projet absurde le bankable J.Dujardin c’est totalement inespéré. Pour le reste, c’est burlesque, complètement piné mais avec un sens philosophique intéressant : sur les loosers romantiques. Pour le coup, J.Dujardin était l’acteur idéal pour cela.
Comme à son habitude Dupieux nous étonnes avec ce film bizarre comme on les aimes. Dupieux ne laisse pas indifférent et son style est unique. Dujardin quand à lui est super dans son rôle. Par contre ils ont dû zapper l'étalonnage car l'image est plate mais certainement dû à la direction artistique choisie. Bravo Mr Dupieux un chef d'œuvre de plus un peu court tant on en redemande.
Quentin Dupieux est un réalisateur qui continue de faire parler de lui, même auprès des nouvelles générations. En attirant des noms populaires au casting et en continuant de développer ces univers absurdes, on ne peut qu'être intrigué par les propositions de ce metteur en scène. "Le Daim", avec Jean Dujardin en rôle principal, est donc sa nouvelle réalisation. Et, globalement, on se retrouve face à un plutôt bon film, sans aucune vraie mauvaise note qui viendrait ternir le visionnage. À la limite, peut-être que la durée et le rythme du film pourraient déranger. Le tout est assez court quand on y pense, cela suffit au vu l'histoire en place, mais il est vrai que cela est parfois assez difficile au niveau du rythme. Cela reste quand même assez secondaire, car, pour le reste, on retrouve ce que l'on apprécie de ce réalisateur. Le tout est très clairement orienté vers de l'humour noir par moments, mais surtout assez loufoque. Personnellement, je ne suis pas très friand de ce genre de gags. Mais j'ai plutôt apprécié l'ensemble sur ce projet-ci. Il faut dire qu'avoir un acteur comme Jean Dujardin aide beaucoup à ce genre d'exercice. Il est totalement en roue libre sur la plupart des séquences et on sent que Quentin Dupieux a dû s'éclater de tourner avec lui. Pour le reste, bien évidemment, si l'humour domine, c'est toujours pour essayer de raconter quelque chose. Ici, même si le début du film nous lâche dans le grand bain sans trop d'aide, on arrive finalement assez facilement à comprendre les enjeux et le sujet de celui-ci. Déjà, en mettant cette histoire parfaitement en contexte, mais aussi pour déstabiliser le spectateur. La qualité des décors et des costumes perturbent beaucoup et nous questionne longtemps sur l'époque du film. Mais tout cela n'a pour but que de rentrer en accord avec le style de l'élément central du film : ce blouson. Tout va tourner autour de lui, comme s'il était un personnage à part entière. Le film va donc questionner la folie de notre héros, à qu'elle point quelqu'un peut être dépassé par quelque chose qu'il peut vite idolâtrer. Le personnage dégage cette sensation, ce besoin d'être unique. C'est assez déroutant, mais efficace. Le long-métrage est donc complètement réussi, je vous le recommande. C'est bien évidemment assez différent d'un cinéma grand public, mais le film est tout de même assez compréhensible et saura satisfaire les spectateurs un minimum réceptif. Pour conclure, un bon film français.
Stn
"Le daim" est un bon film de Quentin Dupieux ! Scénario très original, du Quentin Dupieux dans tout son art. Porte par un Jean Dujardin comme on n'avait pas vu depuis longtemps, un rôle qui lui va à merveille. Ce film est déjanté, profond. Il est à retenir en 2019 et dans la filmographie de Dupieux.
Jean Dujardin joue le rôle de George, fétichiste de son manteau en Daim. Le rôle de ce personnage a été écrit par Quentin Dupieux et étudié ensuite à deux avec Jean Dujardin. Ce dernier s’est révélé être une évidence pour le rôle principal.
George c’est monsieur tout le monde, il a un côté enfantin qui le rend sympathique et touchant malgré son penchant sociopathe qui l’exclut de la société. Jean Dujardin confesse avoir eu le plaisir égoïste de vouloir tout de suite rentré dans la peau du personnage. Il choisit ses personnages et ceux-ci sont souvent très éloignés de son quotidien, celui de Georges l’a interpellé. Une fois le manteau sur ses épaules, Georges vous invite dans le film où les névroses sont les bienvenues.
Quentin Dupieux a tourné Le Daim en cinq semaines dans la Vallée d’Aspe où tous les éléments ont participé à l’ambiance du tournage. La neige et la pluie ont rajouté une ambiance et une lumière particulière au film.
Le Daim est un mélange de genre, une comédie hybride comme le dit si bien Quentin Dupieux. Ce dernier était aussi chef opérateur sur le tournage pour optimisé le temps et pouvoir travailler avec les comédiens.
Ce film porte sur la liberté et la folie et même si Dupieux annonce que ce film est une comédie, ne vous y méprenez pas, il est bien plus que ça.
Le public rit mais est aussi dérangé, un mélange de tension et d’humour, ce film est parfois glauque mais sans être trash.
Une chose est sûr, après Le Daim vous ne porterez plus jamais un manteau ou un blouson de la même façon.
George c’est monsieur tout le monde, il a un côté enfantin qui le rend sympathique et touchant malgré son penchant sociopathe qui l’exclut de la société. Jean Dujardin confesse avoir eu le plaisir égoïste de vouloir tout de suite rentré dans la peau du personnage. Il choisit ses personnages et ceux-ci sont souvent très éloignés de son quotidien, celui de Georges l’a interpellé. Une fois le manteau sur ses épaules, Georges vous invite dans le film où les névroses sont les bienvenues.
Quentin Dupieux a tourné Le Daim en cinq semaines dans la Vallée d’Aspe où tous les éléments ont participé à l’ambiance du tournage. La neige et la pluie ont rajouté une ambiance et une lumière particulière au film.
Le Daim est un mélange de genre, une comédie hybride comme le dit si bien Quentin Dupieux. Ce dernier était aussi chef opérateur sur le tournage pour optimisé le temps et pouvoir travailler avec les comédiens.
Ce film porte sur la liberté et la folie et même si Dupieux annonce que ce film est une comédie, ne vous y méprenez pas, il est bien plus que ça.
Le public rit mais est aussi dérangé, un mélange de tension et d’humour, ce film est parfois glauque mais sans être trash.
Une chose est sûr, après Le Daim vous ne porterez plus jamais un manteau ou un blouson de la même façon.
Fêtons le cinéma
Quentin Dupieux n’a pas son pareil pour semer dans ses œuvres les graines d’un malaise qui va crescendo, d’autant que Le Daim ose enfin la noirceur d’un mal-être nourri par la solitude contemporaine et la fascination pour les images. En ce sens, le film se rapproche du premier long-métrage d’Albert Dupontel, Bernie, auquel il emprunte bon nombre de ses scènes, notamment un aiguisage d’hélice sur une route depuis une voiture en marche (c’était une pelle en 1996). On retrouve également, en guise de point de vue, un même personnage déconnecté du monde, ou plutôt absorbé par le sien, dans lequel il erre sans véritables repères, rejouant le sens à chaque rencontre et au gré des hasards. Mais l’intérêt du film réside davantage dans l’interprétation de Jean Dujardin, employé à contre-emploi, curieusement déguisé en Quentin Dupieux qui s’offre ici un dédoublement réflexif à la fois intriguant et bien pâle ; car Le Daim n’a de cesse de bramer sa dimension méta, son soin à exhiber les coutures d’un manteau en train de se fabriquer et que le réalisateur illustre avec un désordre maîtrisé comme un enfant renverse sa bouillie et la contemple depuis sa chaise haute. Le malaise de l’œuvre pourrait aussitôt se lire tel l’aveu artistique d’une lassitude devant la création, ou alors telle la preuve d’un jeu auto-mytho-biographique, un détournement de l’image de soi mise à distance par l’image d’un autre. Le souci, c’est que Dupieux franchit le seuil du non-sens pour y placer derrière sa personne, et qu’en agissant ainsi, il pense son film comme une somme de reflets entre deux miroirs tous deux orientés vers le réalisateur. De Dupieux vers Dupieux, en passant par Dupieux. Le spectateur s’en lasse. Car le spectacle, peu intrigant et vite répétitif, échoue à imposer sur ses images une empreinte : la puissance visuelle – disons imagogène, puisqu’il s’agit ici d’une œuvre qui tourne son attention vers elle-même, qui crée les images en même temps qu’elle les met en scène – de l’ensemble est assez faible, choisit le numérique pour engendrer une succession de scènes froides et lisses, reflet complaisant de nos existences 2.0 desquelles le grain a été banni.
Toujours aussi bon délire. J’espère qu'il va encore nous pondre ses OVNI, pendant très longtemps :D
- " 'xcusez moi, m'sieur. Mais c'est pas un peu bizarre vot' film, heu ? "
- " C'est pas du tout bizarre. C'est génial. Bein forcément, vous pouvez pas tout comprendre. Mais heu, ça défonce " XD
La première moitié du film, est peut-être un peu trop volontairement morne et monotone. Mais justement, ça permet de très bien jouer du malaise, qui monte en pression avec la rage, prête à exploser. Et quand la seconde moitié commence, là, c'est un festival déjanté et gore, de rigolade de mauvais gout. J'adore.
Bizarrement, même si la poésie n'est pas absente, je pense que c'est son film le moins absurde et surréaliste. Celui où la plus part des personnages, ont l'air de gens normaux, que l'on pourrait croiser dans la réalité du quotidien. Et j'ai aussi beaucoup aimé la soundtrack, ambiance retro 70. Bref, comme d'habitude, ce n'est pas un film pour le plus grand nombre. Mais les amateurs de bizarrerie à petit budget, mais à grand délire, devraient être satisfait. Pour ma part, c'est le cas. Et je commence à préférer la période française de Dupieux, à sa période américaine.
Quant au costume complet en daim, avec bottes et chapeau, et en plus, le poncho translucide maculé de tache de sang, et la pale de ventilo' affûté et sanguinolente, je suis persuadé, que ça deviendra un must des déguisements classiques, des futures soirées hexagonales d'Halloween... " T'as vu le style de malade ?! "... C'est pour ça XD
- " 'xcusez moi, m'sieur. Mais c'est pas un peu bizarre vot' film, heu ? "
- " C'est pas du tout bizarre. C'est génial. Bein forcément, vous pouvez pas tout comprendre. Mais heu, ça défonce " XD
La première moitié du film, est peut-être un peu trop volontairement morne et monotone. Mais justement, ça permet de très bien jouer du malaise, qui monte en pression avec la rage, prête à exploser. Et quand la seconde moitié commence, là, c'est un festival déjanté et gore, de rigolade de mauvais gout. J'adore.
Bizarrement, même si la poésie n'est pas absente, je pense que c'est son film le moins absurde et surréaliste. Celui où la plus part des personnages, ont l'air de gens normaux, que l'on pourrait croiser dans la réalité du quotidien. Et j'ai aussi beaucoup aimé la soundtrack, ambiance retro 70. Bref, comme d'habitude, ce n'est pas un film pour le plus grand nombre. Mais les amateurs de bizarrerie à petit budget, mais à grand délire, devraient être satisfait. Pour ma part, c'est le cas. Et je commence à préférer la période française de Dupieux, à sa période américaine.
Quant au costume complet en daim, avec bottes et chapeau, et en plus, le poncho translucide maculé de tache de sang, et la pale de ventilo' affûté et sanguinolente, je suis persuadé, que ça deviendra un must des déguisements classiques, des futures soirées hexagonales d'Halloween... " T'as vu le style de malade ?! "... C'est pour ça XD
quel courage pour Jean Dujardin de se risquer à pareil scénario sans garanti de réalisation...
un film qui pourrait parler de la dérive psychologique ou de la schizophrénie avec des outils de compréhension pour le spectateur qui valorise le cinéma...
c'est le vide psychotique absolu et l'incompréhension de la situation...
il y a un semblant de d'intrigue et un semblant de dynamique qui pourrait nous accrocher et puis plus rien...
c'est pathétique de traiter la maladie psychique avec aussi peu d'enthousiasme et sans esprit cinématographique...
dégoûté par ce film...
un film qui pourrait parler de la dérive psychologique ou de la schizophrénie avec des outils de compréhension pour le spectateur qui valorise le cinéma...
c'est le vide psychotique absolu et l'incompréhension de la situation...
il y a un semblant de d'intrigue et un semblant de dynamique qui pourrait nous accrocher et puis plus rien...
c'est pathétique de traiter la maladie psychique avec aussi peu d'enthousiasme et sans esprit cinématographique...
dégoûté par ce film...
Encore un film génial de Quentin Dupieux !! Jean Dujardin est parfait pour ce role.
J'imagine que dans la serie 10% ce doit etre un clin d'oeil a ce film qu'ils ont fait avc Dujardin.
J'imagine que dans la serie 10% ce doit etre un clin d'oeil a ce film qu'ils ont fait avc Dujardin.
Bizarre, original, osé, mais aussi très court et n'allant au final pas bien loin, un OVNI cinématographique comme la France devrait en produire plus souvent, que l'on ait aimé ou non ce film en particulier. Dujardin est très bien, parvenant à rendre son personnage ambivalent et même inquiétant.
Florent B.
Quentin Dupieux ! Le seul réal du 21ème siècle capable de créer une histoire d'amitié entre un acteur et un blouson. La caméra survole un Jean Dujardin énigmatique, sensible, drôle et inquiétant. Un duo avec Haenel qui fonctionne plutôt bien, tant elle apporte de la fraîcheur dans cette étrange loufoquerie qui vire dans un raid sanglant surprenant. L'image est lente, et répétitive, mais l'ensemble se regarde avec curiosité.
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