Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
40 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Cette folie extrême est le fil conducteur d'un film parfaitement maîtrisé, dans lequel les délits sanguinaires s'enchaînent à la vitesse d'un Tarantino frénétique.
GQ
par Alexandre Lazerges
Avec cette dernière comédie absurde portée par Jean Dujardin, Quentin Dupieux réalise son film le plus remarquable.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Libération
par Marcos Uzal
Alors, mine de rien, à sa façon borderline et très peu sentimentale, Quentin Dupieux parvient à filmer rien moins qu’une rencontre. Ce film à la fois inquiétant et hilarant en devient alors, oui, émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
par Caroline Vié
Il n’y a vraiment que Quentin Dupieux pour arriver à entraîner Jean Dujardin dans une comédie délirante sur l’histoire d’amour entre un homme et son blouson.
BIBA
par Lili Yubari
À partir de ce pitch zinzin, Quentin Dupieux réalise une sorte de western pyréneen comique qui vire au film de serial killer en poussant son concept suédé jusqu'au bout.
Bande à part
par Olivier Bombarda
Quentin Dupieux dirige Jean Dujardin et Adèle Haenel dans un récit aussi plaisant que perturbant : une folie - au sens strict - réussie de trois personnalités décapantes du cinéma français.
CNews
par La rédaction
[...] comédie loufoque et complètement barrée [...].
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
On est bien chez Dupieux, mais quelque chose de légèrement poisseux et dépressif fait de ce Daim un film un peu à part dans la filmographie du cinéaste.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Il n'y a pas de concept foireux chez Quentin Dupieux. Juste des histoires et une manière fascinante de les raconter.
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
"Le Daim" est sans doute l'un des meilleurs films du cinéaste, où le personnage de Georges est cette « conscience jetée dans le monde, soumise au regard des autres, apprenant d'eux ce qu'elle est », une conscience peut-être aussi folle que marginale, aussi libre qu'asservie. Et nous spectateurs apprenant ce que nous sommes aussi.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Film barré, Le Daim est garanti 100 %. Il se remet dans les roues de Rubber , son pneu serial killer déjanté : il est déroutant, il est gonflé, et nous, on fonce !
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Ecran Fantastique
par Ava Cahen
Cruel, net et précis.
L'Express
par Eric Libiot
Jusqu'à présent, les films de Dupieux laissaient sur leur fin. "Le Daim", lui, mieux construit, mieux raconté, mieux étrange, mieux drôle, court sans heurts sans donner une once d'explication rationnelle - principe du nonsense.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Nicolas Schaller
Soyons clair : ceux qui goûtent peu à l’univers de Dupieux, capable de bâtir une scène autour d’un bruit d’essuie-glaces, devraient rester de marbre face au minimalisme absurde, à l’humour stagnant et à la torpeur anxiogène ici à l’œuvre. Les autres y verront une des plus belles réussites de ce drôle d’Oizo (son pseudo de musicien électro).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Tout à tour hilarante et terrifiante, abracadabrante et glaçante, cette cascade d’événements suit finalement une logique implacable dans laquelle Jean Dujardin, dans le sillage de I Feel Good du duo Kerven-Delépine, se glisse avec une parfaite aisance.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Est-ce le passage dans le cinéma passablement déjanté de Kervern et Delépine qui a infléchi la trajectoire comique de Jean Dujardin ? Toujours est-il qu’en intégrant l’univers de Quentin Dupieux, il fait un pas de plus, significatif, vers l’univers du saugrenu et de l’absurde. Dans "Le Daim", il tombe amoureux d’un blouson, jusqu’à entretenir avec lui un dialogue qui constitue le film même d’une histoire folle.
Le Figaro
par La Rédaction
Dupieux met les pieds dans une portion de France qu’on aperçoit rarement, explore des zones que ses concurrents délaissent, convoque la poésie dans le quotidien. Il a inventé quelque chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Drôle et inquiétant.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Quentin Dupieux revisite brillamment le film de genre, absurde, en mettant en scène un blouson qui parle à son propriétaire, Jean Dujardin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Avec « Le Daim », Quentin Dupieux livre une comédie noire qui vire au thriller, improbable certes, mais si bien charpentée qu’elle en devient absolument irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Une comédie très drôle, mais aussi sombre et dingue.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Ce "Daim" ne serait-il pas autre chose qu’un autoportrait en cervidé ? Une façon pour Dupieux de tout lâcher afin de revenir à l’état sauvage, à son désir primitif de cinéaste […] ; juste filmer, et voir si ça fera un film ? En l’occurrence, c’est un grand oui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
[...] "Le Daim" procède moins par addition de péripéties insensées que par soustraction : l'auteur n'introduit des sujets que pour les saborder aussitôt, au profit d'un hasard tout-puissant qui redonne son sens fort à la formule galvaudée "comique de l'absurde".
Marianne
par Nedjma Van Egmond
Une réjouissante variation sur la fuite et l'obsession.
Marie Claire
par Emily Barnett et Vincent Cocquebert
Etrange, ubuesque, c'est aussi un hommage dandy et poétique au cinéma de genre et aux vieux nanars franchouillards.
Ouest France
par Michel Oriot
C'est filmé avec rythme et évidemment de l'humour.
Paris Match
par Yannick Vely
La mise en scène est toujours d'une classe folle et Quentin Dupieux a tranché le gras qui parfois alourdissait ses films précédents.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
"Le Daim" nous remplit de bonne humeur, incite à une réflexion sur nos manies et les plaies de la société du troisième millénaire.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
S’il est bien ancré dans le réel, Le Daim s’en affranchit et ne rentre dans aucune de ces catégories. Ce en quoi il est irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
L’absurdité est un art difficile que Quentin Dupieux maîtrise puissamment.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par A.V.
Un film joliment perché.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Allégée de la moindre digression what the fuck, cette nouvelle farce absurde de Quentin Dupieux cible très directement la relation fétichiste, et même morbide, que nous pouvons entretenir avec nos affaires personnelles. Difficile de ne pas se sentir visé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
On retrouve dans "Le Daim" l'humour étrange et presque menaçant de Quentin Dupieux, ainsi qu'une large collection des dingueries les plus marquantes de ses précédents opus. Malheureusement, la précipitation se fait sentir et condamne cette parure à jouer les best-of bordéliques plus que les oeuvres sommes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Céline Rouden
Jean Dujardin est impressionnant dans ce film absurde et glaçant de l’inclassable Quentin Dupieux qui décrit, au premier degré, la dérive d’un homme dans la folie pure. Brillant et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Hilarant et fainéant, le nouveau film de Dupieux est une sorte de possession textile dont on ne saurait tout à fait déterminer ce qui relève de la roublardise cynique ou du génie comique Le résultat est mineur, aux qualités insaisissables et aux défauts résiduels.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Un voyage déroutant qui balade le spectateur au sens propre (l'action est filmée dans la vallée d'Aspe) comme au figuré.
Télérama
par Jérémie Couston
Une fable absurde, qui plaira aux amateurs de non-sens.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Lequeu
Mais la parodie ne convainc guère et les discours de l’apprenti réalisateur par lesquels Dupieux entend se moquer de sa propre posture tournent en rond.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
En une heure et dix sept minutes, "Le Daim" ne donne jamais l'occasion à Jean Dujardin de donner toute la mesure de son talent d'interprète.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Première
par Christophe Narbonne
Comédie existentielle aux accents bis relativement amusante, Le Daim ne fait ni avancer ni reculer la cause Dupieux. À quand le grand bond en avant ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
Cette folie extrême est le fil conducteur d'un film parfaitement maîtrisé, dans lequel les délits sanguinaires s'enchaînent à la vitesse d'un Tarantino frénétique.
GQ
Avec cette dernière comédie absurde portée par Jean Dujardin, Quentin Dupieux réalise son film le plus remarquable.
Libération
Alors, mine de rien, à sa façon borderline et très peu sentimentale, Quentin Dupieux parvient à filmer rien moins qu’une rencontre. Ce film à la fois inquiétant et hilarant en devient alors, oui, émouvant.
20 Minutes
Il n’y a vraiment que Quentin Dupieux pour arriver à entraîner Jean Dujardin dans une comédie délirante sur l’histoire d’amour entre un homme et son blouson.
BIBA
À partir de ce pitch zinzin, Quentin Dupieux réalise une sorte de western pyréneen comique qui vire au film de serial killer en poussant son concept suédé jusqu'au bout.
Bande à part
Quentin Dupieux dirige Jean Dujardin et Adèle Haenel dans un récit aussi plaisant que perturbant : une folie - au sens strict - réussie de trois personnalités décapantes du cinéma français.
CNews
[...] comédie loufoque et complètement barrée [...].
Cahiers du Cinéma
On est bien chez Dupieux, mais quelque chose de légèrement poisseux et dépressif fait de ce Daim un film un peu à part dans la filmographie du cinéaste.
CinemaTeaser
Il n'y a pas de concept foireux chez Quentin Dupieux. Juste des histoires et une manière fascinante de les raconter.
Culturopoing.com
"Le Daim" est sans doute l'un des meilleurs films du cinéaste, où le personnage de Georges est cette « conscience jetée dans le monde, soumise au regard des autres, apprenant d'eux ce qu'elle est », une conscience peut-être aussi folle que marginale, aussi libre qu'asservie. Et nous spectateurs apprenant ce que nous sommes aussi.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Film barré, Le Daim est garanti 100 %. Il se remet dans les roues de Rubber , son pneu serial killer déjanté : il est déroutant, il est gonflé, et nous, on fonce !
L'Ecran Fantastique
Cruel, net et précis.
L'Express
Jusqu'à présent, les films de Dupieux laissaient sur leur fin. "Le Daim", lui, mieux construit, mieux raconté, mieux étrange, mieux drôle, court sans heurts sans donner une once d'explication rationnelle - principe du nonsense.
L'Obs
Soyons clair : ceux qui goûtent peu à l’univers de Dupieux, capable de bâtir une scène autour d’un bruit d’essuie-glaces, devraient rester de marbre face au minimalisme absurde, à l’humour stagnant et à la torpeur anxiogène ici à l’œuvre. Les autres y verront une des plus belles réussites de ce drôle d’Oizo (son pseudo de musicien électro).
La Voix du Nord
Tout à tour hilarante et terrifiante, abracadabrante et glaçante, cette cascade d’événements suit finalement une logique implacable dans laquelle Jean Dujardin, dans le sillage de I Feel Good du duo Kerven-Delépine, se glisse avec une parfaite aisance.
Le Dauphiné Libéré
Est-ce le passage dans le cinéma passablement déjanté de Kervern et Delépine qui a infléchi la trajectoire comique de Jean Dujardin ? Toujours est-il qu’en intégrant l’univers de Quentin Dupieux, il fait un pas de plus, significatif, vers l’univers du saugrenu et de l’absurde. Dans "Le Daim", il tombe amoureux d’un blouson, jusqu’à entretenir avec lui un dialogue qui constitue le film même d’une histoire folle.
Le Figaro
Dupieux met les pieds dans une portion de France qu’on aperçoit rarement, explore des zones que ses concurrents délaissent, convoque la poésie dans le quotidien. Il a inventé quelque chose.
Le Journal du Dimanche
Drôle et inquiétant.
Le Monde
Quentin Dupieux revisite brillamment le film de genre, absurde, en mettant en scène un blouson qui parle à son propriétaire, Jean Dujardin.
Le Parisien
Avec « Le Daim », Quentin Dupieux livre une comédie noire qui vire au thriller, improbable certes, mais si bien charpentée qu’elle en devient absolument irrésistible.
Le Point
Une comédie très drôle, mais aussi sombre et dingue.
Les Inrockuptibles
Ce "Daim" ne serait-il pas autre chose qu’un autoportrait en cervidé ? Une façon pour Dupieux de tout lâcher afin de revenir à l’état sauvage, à son désir primitif de cinéaste […] ; juste filmer, et voir si ça fera un film ? En l’occurrence, c’est un grand oui.
Mad Movies
[...] "Le Daim" procède moins par addition de péripéties insensées que par soustraction : l'auteur n'introduit des sujets que pour les saborder aussitôt, au profit d'un hasard tout-puissant qui redonne son sens fort à la formule galvaudée "comique de l'absurde".
Marianne
Une réjouissante variation sur la fuite et l'obsession.
Marie Claire
Etrange, ubuesque, c'est aussi un hommage dandy et poétique au cinéma de genre et aux vieux nanars franchouillards.
Ouest France
C'est filmé avec rythme et évidemment de l'humour.
Paris Match
La mise en scène est toujours d'une classe folle et Quentin Dupieux a tranché le gras qui parfois alourdissait ses films précédents.
Positif
"Le Daim" nous remplit de bonne humeur, incite à une réflexion sur nos manies et les plaies de la société du troisième millénaire.
Rolling Stone
S’il est bien ancré dans le réel, Le Daim s’en affranchit et ne rentre dans aucune de ces catégories. Ce en quoi il est irrésistible.
Sud Ouest
L’absurdité est un art difficile que Quentin Dupieux maîtrise puissamment.
Voici
Un film joliment perché.
aVoir-aLire.com
Allégée de la moindre digression what the fuck, cette nouvelle farce absurde de Quentin Dupieux cible très directement la relation fétichiste, et même morbide, que nous pouvons entretenir avec nos affaires personnelles. Difficile de ne pas se sentir visé.
Ecran Large
On retrouve dans "Le Daim" l'humour étrange et presque menaçant de Quentin Dupieux, ainsi qu'une large collection des dingueries les plus marquantes de ses précédents opus. Malheureusement, la précipitation se fait sentir et condamne cette parure à jouer les best-of bordéliques plus que les oeuvres sommes.
La Croix
Jean Dujardin est impressionnant dans ce film absurde et glaçant de l’inclassable Quentin Dupieux qui décrit, au premier degré, la dérive d’un homme dans la folie pure. Brillant et dérangeant.
Les Fiches du Cinéma
Hilarant et fainéant, le nouveau film de Dupieux est une sorte de possession textile dont on ne saurait tout à fait déterminer ce qui relève de la roublardise cynique ou du génie comique Le résultat est mineur, aux qualités insaisissables et aux défauts résiduels.
Télé Loisirs
Un voyage déroutant qui balade le spectateur au sens propre (l'action est filmée dans la vallée d'Aspe) comme au figuré.
Télérama
Une fable absurde, qui plaira aux amateurs de non-sens.
Critikat.com
Mais la parodie ne convainc guère et les discours de l’apprenti réalisateur par lesquels Dupieux entend se moquer de sa propre posture tournent en rond.
Franceinfo Culture
En une heure et dix sept minutes, "Le Daim" ne donne jamais l'occasion à Jean Dujardin de donner toute la mesure de son talent d'interprète.
Première
Comédie existentielle aux accents bis relativement amusante, Le Daim ne fait ni avancer ni reculer la cause Dupieux. À quand le grand bond en avant ?