Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
D’abord convaincu par les idées de Franco, le romancier découvre progressivement les dérives auxquelles elles conduisent. Ses mots, « Vous vaincrez, mais ne convaincrez pas », résonnent longtemps dans l’esprit du spectateur, qui sait que l’Espagne va plonger dans la dictature.
L'Obs
par François Forestier
La force du film, qui se déroule entre ombre et lumière, est dans l’éclat solaire du vieil homme, accablant de son mépris ceux qui vocifèrent : « Viva la muerte ». Ecoutez bien Unamuno : chacun de ses mots est une arme à détruire les fachos.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Dans Lettre à Franco, Alejandro Amenabar revient sur les débuts du franquisme en opposant les armes et l’esprit autour du grand écrivain Miguel de Unamuno. A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Cécile Mury
Académique et sage dans sa forme, le film approche toutefois avec une finesse douloureuse le désarroi d’une classe intellectuelle face à la barbarie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un grand film historique qui montre dans un souffle tout autant romanesque que réaliste, la cruauté du régime militaire de Franco, obsédé par le purisme catholique et le conservatisme ultra-droitier.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Si parfois Amenabar frôle la caricature, en particulier le personnage de Franco – peut-être le jeu de l’acteur manque-t-il d’épaisseur à force de vouloir le dégraisser –, son film a le mérite de faire ressurgir à la surface un épisode crucial de la guerre d’Espagne.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Michel Valentin
Une solide reconstitution historique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Amenábar raconte efficacement mais bien trop sagement le conflit intérieur d’un intellectuel face à l’histoire en marche.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Goût du pouvoir, mécanisme de la trahison, Amenabar pose ces sujets sans jamais être manichéen. Le film profite pleinement de son goût reconnu pour un cinéma stylisé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Baptiste Roux
Pour les béotiens, le film offre un cours accéléré sur la guerre civile espagnole, servi par une reconstitution appliquée, loin de l’inventivité scénographique des premiers films d’Amenábar.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Un émouvant plaidoyer contre l'extrémisme qui trouve une résonance dans notre époque.
Voici
par A.V.
Une reconstitution minutieuse d'une époque importante et passionnante de l'histoire espagnole. Un film sombre, et un peu obscur et sec (...).
La Croix
par Céline Rouden
Le sujet aurait toutefois mérité plus de subtilité. Reconstitution coûteuse, couleurs criardes, scènes édifiantes : la réalisation d’Alejandro Amenábar (Les Autres, Mar Adentro), pompeuse, passe complètement à côté de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Ph. R.
En abordant le genre historique à tendance didactique (léger ennui compris), son septième longmétrage, Lettre à Franco, éclaire un épisode relativement inconnu, du moins pour le public français, de la guerre d’Espagne.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Servi par une mise en scène illustrative et peu inventive, "Lettre à Franco", trop appliqué à vouloir restituer l’ambivalence et la complexité de ce qu’il démontre, ne s'affranchit jamais de son didactisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Sophie Avon
Alejandro Amenabar met en scène ce drame historique en artisan scrupuleux mais peu inspiré, se risquant dans un genre difficile où malgré la fidélité de la reconstitution, manque l’essentiel, la vie.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le récit, qui manque de souffle, est daté et ennuyeux.
Première
par Thierry Chèze
Mais ce propos universel perd toute sa puissance dans une mise en images de (mauvais) téléfilm, engluée dans une reconstitution riche en moyens mais pauvre en âme, donnant le la au ton didactique et jamais enflammé ou un tant soit peu ambigu du récit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Malheureusement, tous les choix du réalisateur se révèlent catastrophiques : le grimage d’Unamuno et des fascistes en personnages d’opérette, la texture lisse de l’image, les dialogues simplissimes.
20 Minutes
D’abord convaincu par les idées de Franco, le romancier découvre progressivement les dérives auxquelles elles conduisent. Ses mots, « Vous vaincrez, mais ne convaincrez pas », résonnent longtemps dans l’esprit du spectateur, qui sait que l’Espagne va plonger dans la dictature.
L'Obs
La force du film, qui se déroule entre ombre et lumière, est dans l’éclat solaire du vieil homme, accablant de son mépris ceux qui vocifèrent : « Viva la muerte ». Ecoutez bien Unamuno : chacun de ses mots est une arme à détruire les fachos.
Le Figaro
Dans Lettre à Franco, Alejandro Amenabar revient sur les débuts du franquisme en opposant les armes et l’esprit autour du grand écrivain Miguel de Unamuno. A voir.
Télérama
Académique et sage dans sa forme, le film approche toutefois avec une finesse douloureuse le désarroi d’une classe intellectuelle face à la barbarie.
aVoir-aLire.com
Un grand film historique qui montre dans un souffle tout autant romanesque que réaliste, la cruauté du régime militaire de Franco, obsédé par le purisme catholique et le conservatisme ultra-droitier.
L'Humanité
Si parfois Amenabar frôle la caricature, en particulier le personnage de Franco – peut-être le jeu de l’acteur manque-t-il d’épaisseur à force de vouloir le dégraisser –, son film a le mérite de faire ressurgir à la surface un épisode crucial de la guerre d’Espagne.
Le Parisien
Une solide reconstitution historique.
Les Fiches du Cinéma
Amenábar raconte efficacement mais bien trop sagement le conflit intérieur d’un intellectuel face à l’histoire en marche.
Paris Match
Goût du pouvoir, mécanisme de la trahison, Amenabar pose ces sujets sans jamais être manichéen. Le film profite pleinement de son goût reconnu pour un cinéma stylisé.
Positif
Pour les béotiens, le film offre un cours accéléré sur la guerre civile espagnole, servi par une reconstitution appliquée, loin de l’inventivité scénographique des premiers films d’Amenábar.
Télé Loisirs
Un émouvant plaidoyer contre l'extrémisme qui trouve une résonance dans notre époque.
Voici
Une reconstitution minutieuse d'une époque importante et passionnante de l'histoire espagnole. Un film sombre, et un peu obscur et sec (...).
La Croix
Le sujet aurait toutefois mérité plus de subtilité. Reconstitution coûteuse, couleurs criardes, scènes édifiantes : la réalisation d’Alejandro Amenábar (Les Autres, Mar Adentro), pompeuse, passe complètement à côté de son sujet.
Le Monde
En abordant le genre historique à tendance didactique (léger ennui compris), son septième longmétrage, Lettre à Franco, éclaire un épisode relativement inconnu, du moins pour le public français, de la guerre d’Espagne.
Les Inrockuptibles
Servi par une mise en scène illustrative et peu inventive, "Lettre à Franco", trop appliqué à vouloir restituer l’ambivalence et la complexité de ce qu’il démontre, ne s'affranchit jamais de son didactisme.
Sud Ouest
Alejandro Amenabar met en scène ce drame historique en artisan scrupuleux mais peu inspiré, se risquant dans un genre difficile où malgré la fidélité de la reconstitution, manque l’essentiel, la vie.
Le Journal du Dimanche
Le récit, qui manque de souffle, est daté et ennuyeux.
Première
Mais ce propos universel perd toute sa puissance dans une mise en images de (mauvais) téléfilm, engluée dans une reconstitution riche en moyens mais pauvre en âme, donnant le la au ton didactique et jamais enflammé ou un tant soit peu ambigu du récit.
Transfuge
Malheureusement, tous les choix du réalisateur se révèlent catastrophiques : le grimage d’Unamuno et des fascistes en personnages d’opérette, la texture lisse de l’image, les dialogues simplissimes.