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Peichan2
61 abonnés
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1,0
Publiée le 16 février 2008
Moi je trouve ce scénario un peu foulaire, un pseudo thriller, qui veut mettre la presion alors qu'il est réellemet faible. Jennifer lopez est loin de remonter l'interet du film.
Superbe décors et costumes pour ce film au scénario parfois absurde et à la violence souvent gratuite. Comme J Lo, les acteurs manquent de crédibilité.
J’ai une affection toute particulière pour ce film, qui m’a toujours paru étrange et envoûtant, un peu à part. Je l’ai vu plusieurs fois au fil des années. L’onirisme angoissant, la facette psychologique, la présence crédible de J. Lo… Beaucoup d’élément positifs dans ce thriller fantastique.
On s'ennuie, il ne se passe rien qui puisse vraiment nous accrocher. Le seul plaisir, et il n'est pas des moindre, est de pouvoir contempler Jennifer Lopez, miam!!!
Tarsem Singh vient du monde de la publicité et cela se ressent dans "The Cell", son premier long métrage. Photographiquement léché, le cinéaste pèche toutefois par un abus d'effets stylistiques et sonores rendant presque indigeste le film. De même, si le concept est bon, l'intrigue n'est clairement pas à la hauteur et souffre à la fois d'un manque de rythme et d'un manque de suspens. Au lieu d'en faire une oeuvre poignante, le réalisateur en fait une oeuvre aseptisée, pas aussi intéressante qu'elle aurait dû être (malgré de bonnes séquences dans l'inconscient du tueur) et tiré vers le fond par une Jennifer Lopez des plus médiocre.
Enfin un réalisateur qui s'autorise quelques séquences plutot chocs (je me comprend). Et pour une fois, on se retrouve devant un film de serial killer qui se détache du lot (et c'est quand même assez rare). Un film de serial killer qui se détache du lot (c’est rare !) Et une arrestation du coupable dans la 1ère demi-heure avec la pénétration dans son univers mental ; voici le point fort du film : les costumes extraordinaires, les décors et, surtout, les visions incroyables, reflet d’une liberté visuelle totale, racontant la vie intérieure d’un schyzophrène (sans vouloir spoilers, plusieurs séquences ; parle d'elle même si on réfléchit un peu). Et en prime : la musique cauchemardesque qui colle parfaitement avec le film. Le piment d’un suspens et d’un scénario couru d’avance même si parfois on sent cela un peu faiblard. MAis l'idée est là et était plutot bien recherché. Donc pourquoi pas. Un film comme on en voit pas souvent.
"The Cell" est arrivé un peu sur le tard dans la série des polars mettant en scène un tueur psychopathe depuis "Le silence des agneaux" en passant par "Se7en". Le schéma est archi-classique: un sociopathe enlève des jeunes filles qu'il enferme dans un caisson où de l'eau coule petit-à-petit jusqu'à les noyer. L'élément "nouveau" fait intervenir la science-fiction: plongé dans la comas suite à son arrestation, le tueur ne peut livrer l'endroit où il détient sa dernière proie. Une psychologue qui travaille dans un centre de recherche capable d'entrer dans l'esprit des patients est engagée pour tenter de sauver la victime. Pourquoi pas ? le cinéaste pose d'emblée ce principe tiré par les cheveux comme établit et crédible. Voyager dans l'esprit des gens ? c'est comme ça c'est tout. L'ambiance du film est sacrément sombre, à la limite du glauque. Ce qui tranche avec la photo très lumineuse et les magnifiques décors. De nombreuses sont bonnement stupéfiantes de beauté. Mais elles sont le plus souvent le reflet d'un esprit malade et malsain. Tarsem s'en sort parfaitement lorsque ses personnages voyagent dans les esprits. Mais une fois dans la réalité, le film est plus faible. Tout le monde ne peut avoir le talent de David Fincher. Mais en l'occurrence, ce film est tout à fait défendable. Et demeure l'un des rares bons films de la filmo de cette pauvre Jennifer Lopez, avec "U Turn" et "Hors d'atteinte".
Premier film du clipper indien Tarsem Singh, "The Cell" aurait pu être un très bon film si le point de départ scénaristique (génialissime il faut dire) avait été exploité correctement. La performance de Jennifer Lopez est digne de ce à quoi elle nous avait habitué, c'est à dire de mauvais à très mauvais. Cela dit, quelques images surréalistes sauvent un peu les meubles, mais c'est une bien maigre consolation.
Pour son premier long-métrage, le fils de pub indien Tarsem Singh use et abuse de ses capacités à manier l'image comme personne pour nous livrer un thriller aussi original que captivant où une psychologue va tenter de retrouver une jeune femme kidnappée et vouée à la mort en utilisant un procédé scientifique expérimental consistant à rentrer dans les rêves d'autrui. Toutefois, l'esprit dans lequel elle s'apprête à rentrer est bien différent de ce qu'elle a exploré jusqu'alors et c'est dans les méandres d'un serial killer torturé qu'elle va s'aventurer... Ce maniaque compulsif est interprété par le génial Vincent D'Onofrio qui nous dévoile ici toute l'étendue de sa folie. Phagocytant le long-métrage, il incarne un tueur en série malade, aquaphobe et obsessionnel, dont l'esprit n'a d'égal que sa folie. On ne sera donc surpris qu'à moitié en découvrant dans les recoins de sa tête des séquences imaginatives aussi saugrenues que repoussantes, des fresques morbides où se côtoient cheval scindé en plusieurs parties, vautours menaçants, insectes divers ou encore une femme culturiste, le tout entremêlé de sadomasochisme et de souvenirs douloureux. Le réalisateur indien se livre donc à toutes les folies visuelles les plus dingues et les plus esthétiques où, comme inspiré par Dali, les différents mondes somatiques transcendent l'image d'une beauté rarement égalée au cinéma. Décors surréalistes, costumes extravagants et scènes horrifiques angoissantes se joignent donc à travers une enquête haletante où les réponses ne se trouveront que dans cette toile immense et dangereuse qu'est l'esprit du ravisseur. Ainsi, malgré son casting au premier abord douteux (Jennifer Lopez, Vince Vaughn, tous deux très convaincants), The Cell reste encore aujourd'hui un thriller inédit et déroutant, jouant certes bien plus sur l'aspect visuel qu'autre chose mais possédant néanmoins tous les atouts pour passer un excellent moment.
Le scénario de "The Cell" est très bon et très original, à mi-chemin entre thriller, horreur & science-fiction. "The Cell" tente l'expérience d'entrer en interaction avec les rêves, le subconscient, de quoi satisfaire les amateurs de "Matrix" ou "Inception". Cet excellent concept donnera un réel intérêt à ce qui aurait pu être une vulgaire et habituelle traque au meurtrier. L'approche est donc bien différente, le film joue de façon agréable avec l'aspect stressant du rêve, rêve dans lequel on avance à l'aveugle tant ceux-ci sont fous et remplis de mystères. Cependant, et même si le film propose une découverte intéressante de ce monde de l'absurde, il ne sera pas à la hauteur du potentiel qu'il détient, l'atmosphère n'étant pas assez travaillée, et ce malgré de belles scènes studio dans une esthétique glauque et théâtrale.
A mi-chemin entre "Le silence des agneaux" ou plus précisément "Dragon rouge" et "Existenz" de David Cronenberg, un long-métrage qui se place quelque part entre le thriller psychologique et le film fantastique. Si les scènes de plongée dans la psyché du tueur en série offrent un visuel incroyable, riche et somptueux, la partie polar s'avère relativement plate et prévisible même si le suspense s'envole un peu dans son final. La mise en scène n'amène que peu d'originalité et a énormément vieilli. Dans un casting pourtant honorable et loin d'être inintéressant, le seul acteur qui domine vraiment les autres est Vincent D'Onofrio, toujours aussi impeccable ; Jennifer Lopez, quant à elle, est lisse et monolithique comme jamais. Malgré un potentiel assez phénoménal, une grosse déception truffée de lieux communs.
Un film au scénario spécial, le fond est gore, je me demandais l’intérêt d’en mettre autant, le malsain s’explique par une origine psychotique dans le profilage, ça dégoulinait de partout. L’esthétisme de la mise en scène n’est pas mauvaise, ça s’égare trop dans la recherche visuelle, on entrait dans un jeux vidéo cauchemardesque, c’était ennuyeux par moment.
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2,0
Publiée le 31 juillet 2011
Psychologue intrèpide aux mèthodes rèvolutionnaires, Jennifer Lopez parvient à "voyager" au coeur de l'esprit d'un tueur en sèrie dans le coma! Perdue dans les mèandres des fantasmes de ce maniaque, elle cherche à dècouvrir où est cachèe sa huitième victime avant que celle-ci ne succombe au dispositif diabolique conçu par son bourreau! Actrice inègale, Lopez èvolue dans un univers aux images cauchemardesques et dèrangeantes conçues par Tarsem Singh, un ancien fils de pub qui rèalise ici son premier long-mètrage! Les atrocitès auxquelles J-Lo est confrontèe prend des allures de course contre la montre mettant parfois les nerfs du spectateur à rude èpreuve! Mais seulement "parfois", car hormis une photographie splendide et inattendue, cette plongèe dans l'inconscient n'est pas aidèe par une distribution absurde (Lopez Vaughn d'Onofrio). Dommage il y avait de l'idèe car "The Cell" n'a pas laissè à sa sortie en salles un impèrissable souvenir...
Un délire psychotique qui accouche d'un univers visuellement splendide et d'un personnage digne des plus grands malades du cinémas. La compléxité du sénarios est assez dur à suivre mais on se contente de la beauté des images et du monde intérieur du tueur.
Voilà un film bien étrange ! Je n'ai pas aimé du tout lors de mon premier visionnage. Mais après un deuxième, j'ai été attiré par le film. Les points forts sont sans aucun doute les décors : ils sont tellement originaux, somptueux... C'est très tiré par les cheveux bien sur, mais qu'est-ce qu'ils sont beaux a regarder (même les décors glauques !). Il y a aussi les costumes qui sont excellent (qui changent en même temps des décors), et les acteurs jouent un rôle remarquable. Il n'a pas l'air, mais c'est un film très difficile. J'ai eu difficile à regarder quelques scènes. Ce que j'ai moins aimé c'est le scénario, qui essaie d'être en béton, mais qui ne l'ai pas. Bref, je l'ai vu 2 fois, c'est largement suffisant, mais je ne regrette pas non plus de l'avoir découvert. Mais ce n'est pas non plus le genre de film que je conseille pour passer un bon moment.