Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
La réussite d'"Une Jeunesse dorée" est d'avoir réussi à faire revivre quelque chose de cette époque-là, de l'avoir rendu sensible, sans sensiblerie nostalgique.
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Derrière le vernis doré d’une fête sans fin, pointe une peur maladive du vide et de la solitude, attisée par une douloureuse certitude : plus folle sera la nuit, plus douloureux sera le réveil.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
La seconde partie en forme de huis clos libertin s'égare un peu, mais la nuit parisienne des années 80 est ressuscitée avec un sens époustouflant et quasi mystique de la parure.
Télérama
par Jacques Morice
POUR : Si Eva Ionesco est précise, soucieuse de détails dans l’évocation du Palace, de ses rites, musiques emblématiques et figures notoires (dont Alain Pacadis, dandy autodestructeur, chroniqueur à Libération), elle ne cherche nullement à être réaliste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Jo Fishley
Galatéa Bellugi, souvenez-vous d'elle, héroïne indomptée et sauvage du deuxième film d'Eva Ionesco. Une incandescente jeune actrice.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
On pénètre cependant à son aise dans ce Palace revisité grâce à une mise en images exigeante, et l’interprétation d’Isabelle Huppert accompagnée de Melvil Poupaud, aux charmes grisants et vénéneux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Isabelle Huppert en rouée magistrale Galatéa Bellugi en sauvageonne léonine font assaut de talent.
Positif
par Olivier De Bruyn
Une curiosité pour initiés.
L'Express
par Antoine Le Fur
L'histoire tourne en rond, plombée par les cabotinages d'Isabelle Huppert et de Melvil Poupaud, ridicules en bourgeois décadents. Malgré quelques jolis moments (le numéro final de la danse, sur la scène du Palace), difficile d'être ébloui par cette "Jeunesse dorée".
L'Humanité
par Vincent Ostria
Les fêtes du Palace sont bien reconstituées mais succinctes. Il manque la démesure baroque et la décharge électrique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
L’intrigue paraît malheureusement trop mince pour éviter les redites et l’impression que l’ennui, dont la mise en scène témoigne sans relâche car ses fêtards joliment sapés tournent effectivement en rond, finit par nous rattraper.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Chagrins de petite fille (pas si) riche, histoires d’amour surjouées, figures de princes maudits de l’époque (le journaliste Alain Pacadis, mi-clochard, mi-smoking), « Une jeunesse dorée » gâche sa capacité de fascination dans une direction d’acteurs trop approximative.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Eva Ionesco continue de tisser sa toile auto-fictionnelle, en déportant ici son regard sur les années Palace, ses faux-semblants, ses joies et ses bourgeois décatis. Las, la transgression est inexistante, et le film est plus drôle à ses dépens qu'autre chose.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Dans "Une jeunesse dorée", la légèreté, la sensualité, la flamboyance ne restent que des intentions scénaristiques étouffées par le total manque de souffle de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
On aurait adoré aimer ce second film très autobiographique d'Eva Ionesco. Sauf qu'ici les folles nuits parisiennes reconstituées ont un goût de carton-pâte et le badinage tourne en rond.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Un monde de la nuit qui tient plutôt du goûter d’anniversaire costumé légèrement saupoudré de cocaïne, avec son lot de petits bisous sur la bouche et de photos souvenirs.
Critikat.com
par Clara Tabard
Tout est sans cesse signifié plutôt que suggéré.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le manque de moyens pour la reconstitution n'explique pas tout. Les dialogues sont lourds, sérieux, creux, et le scénario n'intéressera (et encore) que ceux ayant connu cette époque. L'autofiction a ses limites…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
En passant derrière la caméra, la réalisatrice est restée fidèle à son adolescence: elle continue à ne pas faire grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par La Rédaction
Hystérique, artificiel et ennuyeux.
Première
par Thomas Baurez
On retrouve ici décuplés tous les défauts de My Little Princess : une artificialité permanente, un penchant épuisant pour l’hystérie et le fantôme de ces fameuses années Palace, soi-disant délirantes et foisonnantes, qui, ici – faute de moyens et d’ampleur de mise en scène – paraissent bien pâles et ennuyeuses.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Hélène Marzolf
CONTRE : L’artificialité voulue des dialogues et de la mise en scène, truffée de références (Proust, Visconti, Cocteau…), tourne au pur exercice de style.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un étonnant ratage artistique qui entraîne avec Isabelle Huppert et les autres comédiens dans un cabotinage embarrassant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Transfuge
La réussite d'"Une Jeunesse dorée" est d'avoir réussi à faire revivre quelque chose de cette époque-là, de l'avoir rendu sensible, sans sensiblerie nostalgique.
Les Inrockuptibles
Derrière le vernis doré d’une fête sans fin, pointe une peur maladive du vide et de la solitude, attisée par une douloureuse certitude : plus folle sera la nuit, plus douloureux sera le réveil.
Marie Claire
La seconde partie en forme de huis clos libertin s'égare un peu, mais la nuit parisienne des années 80 est ressuscitée avec un sens époustouflant et quasi mystique de la parure.
Télérama
POUR : Si Eva Ionesco est précise, soucieuse de détails dans l’évocation du Palace, de ses rites, musiques emblématiques et figures notoires (dont Alain Pacadis, dandy autodestructeur, chroniqueur à Libération), elle ne cherche nullement à être réaliste.
Bande à part
Galatéa Bellugi, souvenez-vous d'elle, héroïne indomptée et sauvage du deuxième film d'Eva Ionesco. Une incandescente jeune actrice.
Franceinfo Culture
On pénètre cependant à son aise dans ce Palace revisité grâce à une mise en images exigeante, et l’interprétation d’Isabelle Huppert accompagnée de Melvil Poupaud, aux charmes grisants et vénéneux.
Le Monde
Isabelle Huppert en rouée magistrale Galatéa Bellugi en sauvageonne léonine font assaut de talent.
Positif
Une curiosité pour initiés.
L'Express
L'histoire tourne en rond, plombée par les cabotinages d'Isabelle Huppert et de Melvil Poupaud, ridicules en bourgeois décadents. Malgré quelques jolis moments (le numéro final de la danse, sur la scène du Palace), difficile d'être ébloui par cette "Jeunesse dorée".
L'Humanité
Les fêtes du Palace sont bien reconstituées mais succinctes. Il manque la démesure baroque et la décharge électrique.
Le Journal du Dimanche
L’intrigue paraît malheureusement trop mince pour éviter les redites et l’impression que l’ennui, dont la mise en scène témoigne sans relâche car ses fêtards joliment sapés tournent effectivement en rond, finit par nous rattraper.
Le Parisien
Chagrins de petite fille (pas si) riche, histoires d’amour surjouées, figures de princes maudits de l’époque (le journaliste Alain Pacadis, mi-clochard, mi-smoking), « Une jeunesse dorée » gâche sa capacité de fascination dans une direction d’acteurs trop approximative.
Les Fiches du Cinéma
Eva Ionesco continue de tisser sa toile auto-fictionnelle, en déportant ici son regard sur les années Palace, ses faux-semblants, ses joies et ses bourgeois décatis. Las, la transgression est inexistante, et le film est plus drôle à ses dépens qu'autre chose.
Libération
Dans "Une jeunesse dorée", la légèreté, la sensualité, la flamboyance ne restent que des intentions scénaristiques étouffées par le total manque de souffle de la mise en scène.
Paris Match
On aurait adoré aimer ce second film très autobiographique d'Eva Ionesco. Sauf qu'ici les folles nuits parisiennes reconstituées ont un goût de carton-pâte et le badinage tourne en rond.
Cahiers du Cinéma
Un monde de la nuit qui tient plutôt du goûter d’anniversaire costumé légèrement saupoudré de cocaïne, avec son lot de petits bisous sur la bouche et de photos souvenirs.
Critikat.com
Tout est sans cesse signifié plutôt que suggéré.
L'Obs
Le manque de moyens pour la reconstitution n'explique pas tout. Les dialogues sont lourds, sérieux, creux, et le scénario n'intéressera (et encore) que ceux ayant connu cette époque. L'autofiction a ses limites…
Le Figaro
En passant derrière la caméra, la réalisatrice est restée fidèle à son adolescence: elle continue à ne pas faire grand-chose.
Ouest France
Hystérique, artificiel et ennuyeux.
Première
On retrouve ici décuplés tous les défauts de My Little Princess : une artificialité permanente, un penchant épuisant pour l’hystérie et le fantôme de ces fameuses années Palace, soi-disant délirantes et foisonnantes, qui, ici – faute de moyens et d’ampleur de mise en scène – paraissent bien pâles et ennuyeuses.
Télérama
CONTRE : L’artificialité voulue des dialogues et de la mise en scène, truffée de références (Proust, Visconti, Cocteau…), tourne au pur exercice de style.
aVoir-aLire.com
Un étonnant ratage artistique qui entraîne avec Isabelle Huppert et les autres comédiens dans un cabotinage embarrassant.