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Gabith_Whyborn
39 abonnés
842 critiques
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4,5
Publiée le 16 février 2014
Excellent film, pleins de pessimisme, qui m'a ému, révolté et désespéré. Il est terriblement bien réalisé et joué, on y retrouve la talentueuse chanteuse et actrice Björk pour le rôle principal. J'ai juste eu un peu de mal avec les parties musicales du film, sauf vers la fin ou j'ai quand même totalement accroché aux chansons. Un film vraiment puissant!
Ce film vous arrache les tripes, il vous touche au plus profond de vous même, Björk y est splendide dans son rôle. C'est un film émouvant, touchant, bouleversant, intelligent, tout ce que vous voudrez. Et malgré son caractère assez angoissant parfois, le côté comédie musicale vous rassure et sans supprimer les parties glauques du film vous fait sourire. Avec une musicalité plus que géniale. 5/5
A voir mais difficile à revoir, il nuit gravement à la santé mentale, surtout en hiver, une interprétation magistrale de Bjork qui fait ressentir jusqu'où peut aller une mère, les second rôle sont superbes, mais préparer les mouchoirs, "quand on s 'attend au pire on est jamais déçu"
bon, OK c'est indécent tellement cette pauvre Selma à un destin qui ne l'épargne pas, OK des fois c'est réalisé comme un mauvais film de vacance de mon tonton avec une caméra qui bouge tout le temps, OK Björk est pas la chanteuse la plus supportable de son époque.....mais purée, j'ai foncé la tête la première dans le panneau, et suis sorti du cinéma avec les yeux bouffis et l'impression d'avoir vu le film le plus tragique du monde.....et pour une fois qu'on nous impose pas un happy end! Bref, si vous êtes prêts à laisser ce bon vieux Lars faire de la boxe thaïlandaise avec votre petit cœur, ce film peut retourner n'importe qui!!!
Dancer in the Dark et un film a la fois sublime et tragique, je ne vous apprendrez rien en vous disant que que bjork joue incroyablement bien sont personnage Selma, incompris au niveau des chanson car je l'avoue je suis fan de bjork. par contre jais remarquer quelque similitude entre le personnage Selma, et bjork dans la vraie vie ( sont tic avec la langue, et l'impression qu'elle est toujours un peux distraite etc..... ) mais de toute manière se ne change en aucun point mon avis sur se film. Par contre âme sensible a s'abstenir, car la scène final du film et a la limite du supportable ( ses le genre de film a ne pas regarder quand ont n'est joyeux ).
Dancer in the Dark est un chef-d'oeuvre porté par d'immenses acteurs. Il y a dans ce film tant de réalisme et de douceur qu'il est impossible de rester indifférent au destin de Selma. Il est en effet inutile de lire les critiques des gens qui n'ont pas vu le film jusqu'à la fin, car tout prend son sens à la fin... Bjork est une actrice époustouflantes, et est crédible même quand elle chante ! Dancer in the Dark est un des meilleurs films du cinéma.
Je déteste les films musicaux, les chansons de Bjork c'est pas mon truc. Mais l'histoire est tellement touchante que pour ce film je change mon fusil d'épaule. Terrible destin qui nous est conté ici, la larme n'est pas loin, bravo.
Jusque-là uniquement connu pour son splendide mais très décrié Breaking the waves, Lars Von Trier frappe un grand coup en signant une comédie musicale dans la plus pure forme de l’art. Réaliser ainsi un terrible drame humain en le ponctuant de séances chantées et brillamment chorégraphiées est un procédé qui créé d’épatantes ruptures de tons mais qui n’alterne en rien l’émotion et l’harmonie de cet épatant long-métrage qui renvoie directement à l’idée que se faisait Jacques Demy du 7ème art. La présence au casting de Catherine Deneuve prouve d’ailleurs qu’il s’agit bien là d’un hommage cinéphilique à l’œuvre du réalisateur nantais. Le scénario terriblement touchant, que la prestation épatante de Bjork sauve de la lourdeur tire-larme et que la bande originale sauve de la torpeur morbide intimement à la photographie clinique et à l’économie de moyens que s’impose le réalisateur, est si prenant que ces 135 minutes passent à toute allure. Qu’on l’adore ou qu’on le déteste, ce film expérimental ne laisse pas indifférent, preuve sinéquanone de sa réussite.
Il faut passer un cap : celui de la première demi-heure. Cet obstacle franchi, l'intérêt gagne et culmine au moment d'un climax absolument magistral. On est bouleversé et émerveillé à la fois par tant d'audace, d'originalité et de maîtrise, et on se dit que ce film mérite bien sa palme. Mais on s'attend à ce que ce sentiment perdure jusqu'au clap de fin, ce qui malheureusement n'est pas le cas. Malgré tous les efforts d'un scénario et d'un réalisateur qui ne démérite pas, la surprise est passée et la magie s'estompe. C'est un beau film quand même, à voir sans hésitation, mais qui donne cette impression finale qu'il manque un petit quelque chose pour en faire un chef-d’œuvre.
Certes le film est un peu lent mais côté émotionnel ça monte en puissance et ça déménage. On reste scotché par la fin. Je n'avais jamais vu ça : une salle entière de cinéma pleuraient. Ce film est vraiment à voir et restera pour moi un film exceptionnel.
Un chef d’œuvre... Somptueux et laid, "Dancer in the Dark", dégoute et fascine. Emplie de violence et d'innocence, l’œuvre de Lars Von Trier depeind l'incompréhension de notre société sans doute trop peu "ouverte d'esprit "et trop réglée, vis à vis d'une jeune femme, Selma, incarnant la pureté absolue. Un langage cinématographique inédit nous permet de distinguer réalité et onirisme, laideur et beauté. En outre, l'intrigue nous transporte littéralement dans l'univers intime, vierge et incompris de Selma, un être aux multiples aspects héroïques. La morale formidable prône la diversité, la liberté, la tolérance. Sa force d'évocation provient de l’émerveillement, des rires et des larmes que tout spectateur se doit d'avoir au visionnage de ce film. Elle découle de l'identification parfaite que nous avons vis à vis du personnage principal et du dégout que nous éprouvons face à tant d'injustice; une injustice pourtant dès le début inéluctable. Toute l’œuvre nous tient en haleine, au travers de la quête de Selma et de la découverte de la conscience de cette dernière; mais aussi au travers de la découverte de notre propre conscience face à la doxa. Comparable à "L’étranger" de Camus, ce chef d’œuvre s'est joué de mes sensations. Mon esprit exaltait comme celui de Selma,lors des passages musicaux fantaisistes, époustouflants et originaux. Et tout comme celui de Selma, il souffrait, lorsque le pathos, aussi puissant que celui que nous trouvons dans les tragédies sophocléennes, se déchainait sur cette dernière. A noter la performance de Bjork qui nous envoute par son talent d'actrice et de musicienne. Ce film atteint le sublime, cela ne fait aucun doute.
Avant de voir ce film, je savais seulement que c'était un Lars Von Trier, qu'il avait reçu la Palme d'or et que Björk jouait dedans. Je ne l'aurais probablement pas vu si j'avais su que c'était également une comédie musicale. Si j'étais un grand fan du genre dans ma tendre enfance (que c'est mignon) aujourd'hui les acteurs qui se mettent à chanter parce qu'ils sont tristes ou heureux, ça a plutôt le don de m’exaspérer... Si Dancer in the Dark n'échappe pas à la règle (je suis un cas désespéré je crois), je dois dire qu'on est bien loin de la comédie musicale habituelle. 'Fin c'est du Von Trier quand même, il n'y a pas de doutes là-dessus! Si j'ai trouvé que ça commençait un peu mollement, à partir spoiler: du "meurtre" , c'était vraiment génial. C'est le genre de film où on reste bloqué devant le générique tellement on est secoué quoi. Et on met du temps à s'en remettre.