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Sans doute, dans les années 30, les premiers spectateurs du "Magicien d'Oz" ont-ils connu ce choc d'un monde noir et blanc brusquement baigné de couleurs. "Dancer in the dark" renouvelle cet émerveillement.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cruel, tragique, poignant, bouleversant, tourneboulant : ce film est tout cela à la fois. (...) le spectateur reste en haleine, prend tous les rebondissements de l'histoire au sérieux et n'a pas assez des poses musicales pour reprendre son souffle.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Dancer In The Dark, sublime mélo de toujours et remarquable comédie musicale d'aujourd'hui, est un des grands films du moment qui a bien mérité sa palme d'or, n'en déplaise à ses détracteurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
On ne chante pas sous la pluie dans ce conte américain rêvé par un Danois. On fait mieux : on découvre un ovni, quelque chose d'inédit mais que l'on portait en soi après avoir déliré sur Gene Kelly ou Jacques Demy. On en rêvait, von Trier l'a fait.
Entre bonheur et malheur, ici tout rime avec pleurs. Sans honte, le spectateur n'a plus qu'à se laisser entraîner. Dire que Björk est fabuleuse est encore faible pour qualifier sa prestation.
(...) Lars von Trier balaie les lieux communs qui traînent devant sa porte pour en tirer des poussières d'étoile. D'une évidence battue et rebattue (le pouvoir de l'imagination sur l'adversité), il fait une révélation dopante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La comédie musicale rêvée est là, ostentatoire, et la rencontre tant attendue Björk-Deneuve est livrée comme un va-tout : Lars von Trear affiche d'entrée ses nouveaux partis-pris.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
(...) de même que Breaking the waves fut rejeté ou sanctifié, on déteste ou on adore Dancer in the dark. Sauf que celui-ci est sans doute plus malin que le précédent, et en même temps plus évident.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) Lars von Trier lance un style inédit, la comédie musicale tragique. Et usant des ingrédients vraiment voyants, il signe un film d'émotion pure. Mais le pus exceptionnel (...) c'est son interprète principale (...) : Björk.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
"Dancer in the Dark" construit un univers où les repères sont distordus. Il s'agit de produire, d'abord, des émotions intenses et inattendues, ensuite, éventuellement, un trouble plus cérébral.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
En romantique moderne, le réalisateur danois Lars Von Trier mêle son regard acéré sur le monde et un talent de visionnaire capable de faire imploser notre époque et son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Dancer in the dark est à la fois la somme des précédents films de Lars et une avancée : un peu de Dogme (...), beaucoup de mélodrame chrétien, un doigt d'expérimentation formelle (...), la nouveauté étant ici la comédie musicale (...)
(...) un perfectionnement de la maîtrise des codes du mélodrame et, comme toujours chez le fondateur du Dogme, du contrôle qu'il exerce sur ses personnages, ses acteurs et ses spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Visuellement, c'est beau comme la mort, mais ça ne suffit pas. Tout le monde ne peut s'appeler Chaplin, filmer une petite aveugle et livrer un chef d'oeuvre.
La seule beauté du film tient (...) dans l'énergie de la chanteuse à entrer en rébellion contre la sottise évidente du scénario et contre tous les handicaps dont la fiction l'accable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
C'est long. C'est pesant. C'est démonstratif. C'est racoleur. C'est exaspérant. Sans Björk, certes miraculeuse dans le pathétique appuyé, ce serait franchement odieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ni le musical ni le mélodrame ne se passent d'une stylisation. Dancer in the dark se fonde sur la passion du passage en force de l'émotion (...). L'échec est complet.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Aden
Sans doute, dans les années 30, les premiers spectateurs du "Magicien d'Oz" ont-ils connu ce choc d'un monde noir et blanc brusquement baigné de couleurs. "Dancer in the dark" renouvelle cet émerveillement.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
Cruel, tragique, poignant, bouleversant, tourneboulant : ce film est tout cela à la fois. (...) le spectateur reste en haleine, prend tous les rebondissements de l'histoire au sérieux et n'a pas assez des poses musicales pour reprendre son souffle.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Dancer In The Dark, sublime mélo de toujours et remarquable comédie musicale d'aujourd'hui, est un des grands films du moment qui a bien mérité sa palme d'or, n'en déplaise à ses détracteurs.
Le Figaro Magazine
On ne chante pas sous la pluie dans ce conte américain rêvé par un Danois. On fait mieux : on découvre un ovni, quelque chose d'inédit mais que l'on portait en soi après avoir déliré sur Gene Kelly ou Jacques Demy. On en rêvait, von Trier l'a fait.
Le Journal du Dimanche
Entre bonheur et malheur, ici tout rime avec pleurs. Sans honte, le spectateur n'a plus qu'à se laisser entraîner. Dire que Björk est fabuleuse est encore faible pour qualifier sa prestation.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) Lars von Trier balaie les lieux communs qui traînent devant sa porte pour en tirer des poussières d'étoile. D'une évidence battue et rebattue (le pouvoir de l'imagination sur l'adversité), il fait une révélation dopante.
Fluctuat.net
La comédie musicale rêvée est là, ostentatoire, et la rencontre tant attendue Björk-Deneuve est livrée comme un va-tout : Lars von Trear affiche d'entrée ses nouveaux partis-pris.
L'Obs
(...) de même que Breaking the waves fut rejeté ou sanctifié, on déteste ou on adore Dancer in the dark. Sauf que celui-ci est sans doute plus malin que le précédent, et en même temps plus évident.
Le Figaroscope
(...) Lars von Trier lance un style inédit, la comédie musicale tragique. Et usant des ingrédients vraiment voyants, il signe un film d'émotion pure. Mais le pus exceptionnel (...) c'est son interprète principale (...) : Björk.
Le Monde
"Dancer in the Dark" construit un univers où les repères sont distordus. Il s'agit de produire, d'abord, des émotions intenses et inattendues, ensuite, éventuellement, un trouble plus cérébral.
Le Parisien
En romantique moderne, le réalisateur danois Lars Von Trier mêle son regard acéré sur le monde et un talent de visionnaire capable de faire imploser notre époque et son cinéma.
Les Inrockuptibles
Dancer in the dark est à la fois la somme des précédents films de Lars et une avancée : un peu de Dogme (...), beaucoup de mélodrame chrétien, un doigt d'expérimentation formelle (...), la nouveauté étant ici la comédie musicale (...)
Repérages
(...) un perfectionnement de la maîtrise des codes du mélodrame et, comme toujours chez le fondateur du Dogme, du contrôle qu'il exerce sur ses personnages, ses acteurs et ses spectateurs.
L'Evénement
Visuellement, c'est beau comme la mort, mais ça ne suffit pas. Tout le monde ne peut s'appeler Chaplin, filmer une petite aveugle et livrer un chef d'oeuvre.
Libération
La seule beauté du film tient (...) dans l'énergie de la chanteuse à entrer en rébellion contre la sottise évidente du scénario et contre tous les handicaps dont la fiction l'accable.
Première
On aime ou on déteste, ou on parle de Cinéma avec un grand C ou de terrorisme psychologique avec un grand X.
Urbuz
(...) on ne retiendra de Dancer in the dark, que Björk, qui chante, danse, compose la musique et joue la comédie.
Chronic'art.com
(...) Dancer in the dark n'apporte rien à l'édifice von Trier si ce n'est une touche de vulgarité et de laideur.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
C'est long. C'est pesant. C'est démonstratif. C'est racoleur. C'est exaspérant. Sans Björk, certes miraculeuse dans le pathétique appuyé, ce serait franchement odieux.
Positif
Ni le musical ni le mélodrame ne se passent d'une stylisation. Dancer in the dark se fonde sur la passion du passage en force de l'émotion (...). L'échec est complet.
Télérama
Panne d'inspiration, tout simplement, camouflée tant bien que mal dans un écrin au modernisme pâlot.