Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Pas une fiction, pas un biopic documentaire non plus. "Monsieur" participe du portrait intime et de la déclaration d'amour.
La Croix
par Sabine Audrerie
Un film sur Jean d'Ormesson par Laurent Delahousse, grand chambellan des entretiens people de France 2, faisait craindre le portrait en miroir. Il n'en est rien : le réalisateur s'efface devant un Jean d'O intime et sans fard, saisi les trois dernières années de sa vie dans son quotidien, à Neuilly, en Corse et en Suisse.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Fidèle à son modèle, le documentaire de Laurent Delahousse dresse un portrait lumineux de Jean d'Ormesson.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Mathilde Cesbron
Un film touchant.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un très beau portrait.
Télé 7 Jours
par La rédaction
Un vibrant hommage à cet Immortel.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Il ressort du film l’impression d’une continuité totale entre l’homme intime et l’homme public, avec comme lien l’écriture. Même si cette vie semble déconnectée de celle d’une bonne partie de son lectorat, Jean d’Ormesson est parvenu à le toucher à plus d’un titre. Comme s’il était devenu un mythe français.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un film empreint d’admiration, heureusement relativisée par les commentaires lucides de la femme qui a retranscrit les textes du romancier pendant trente-huit ans.
Le Parisien
par La Rédaction
Le résultat sonne comme un reflet assez juste du personnage tant « Jean d’O » y joue avec son image mais sans jamais en perdre le contrôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Chèze
Il y a bien sûr de l’admiration dans le regard que Delahousse porte sur D’Ormesson. Mais Monsieur n’a pour autant rien d’une hagiographie servile.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Marc Arlin
S'il n'évite pas toujours le piège de la fascination pour son sujet, "Monsieur" recèle des séquences savoureuses.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Un documentaire un peu convenu, mais nimbé de tendresse, où la part lumineuse du personnage l’emporte sur ses zones d’ombre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Grégoire Leménager
Le plus télégénique des académiciens avait accepté, avant de s'éclipser, de se raconter devant la caméra de Laurent Delahousse. (...) Filmé dans les décors somptueux qui furent ceux de son quotidien, c'est le portrait plein d'empathie d'un très vieux "Monsieur" qui dit avoir "détesté le mariage" et, peut-être, trop "aimé être heureux" pour devenir un "grand écrivain".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Bernard Génin
Comment ne pas s'assoupir devant une telle success story !
Cahiers du Cinéma
par Quentin Papapietro
Premier opus d’une œuvre que nous espérons brève.
Le Monde
par Murielle Joudet
Bien qu’il s’attarde sur les rituels d’écriture du personnage et sur les mystères artistiques, Laurent Delahousse s’intéresse avant tout au pouvoir de l’écrivain médiatique. Celui qui vit de ses livres, passe à la télévision, siège à l’Académie française, s’astreint à d’interminables séances dédicaces, se fait servir par son maître d’hôtel et converse avec un ministre qui ne se doute pas encore qu’il sera élu président.
L'Express
Pas une fiction, pas un biopic documentaire non plus. "Monsieur" participe du portrait intime et de la déclaration d'amour.
La Croix
Un film sur Jean d'Ormesson par Laurent Delahousse, grand chambellan des entretiens people de France 2, faisait craindre le portrait en miroir. Il n'en est rien : le réalisateur s'efface devant un Jean d'O intime et sans fard, saisi les trois dernières années de sa vie dans son quotidien, à Neuilly, en Corse et en Suisse.
Le Figaro
Fidèle à son modèle, le documentaire de Laurent Delahousse dresse un portrait lumineux de Jean d'Ormesson.
Le Point
Un film touchant.
Ouest France
Un très beau portrait.
Télé 7 Jours
Un vibrant hommage à cet Immortel.
Franceinfo Culture
Il ressort du film l’impression d’une continuité totale entre l’homme intime et l’homme public, avec comme lien l’écriture. Même si cette vie semble déconnectée de celle d’une bonne partie de son lectorat, Jean d’Ormesson est parvenu à le toucher à plus d’un titre. Comme s’il était devenu un mythe français.
Le Journal du Dimanche
Un film empreint d’admiration, heureusement relativisée par les commentaires lucides de la femme qui a retranscrit les textes du romancier pendant trente-huit ans.
Le Parisien
Le résultat sonne comme un reflet assez juste du personnage tant « Jean d’O » y joue avec son image mais sans jamais en perdre le contrôle.
Première
Il y a bien sûr de l’admiration dans le regard que Delahousse porte sur D’Ormesson. Mais Monsieur n’a pour autant rien d’une hagiographie servile.
Télé Loisirs
S'il n'évite pas toujours le piège de la fascination pour son sujet, "Monsieur" recèle des séquences savoureuses.
Bande à part
Un documentaire un peu convenu, mais nimbé de tendresse, où la part lumineuse du personnage l’emporte sur ses zones d’ombre.
L'Obs
Le plus télégénique des académiciens avait accepté, avant de s'éclipser, de se raconter devant la caméra de Laurent Delahousse. (...) Filmé dans les décors somptueux qui furent ceux de son quotidien, c'est le portrait plein d'empathie d'un très vieux "Monsieur" qui dit avoir "détesté le mariage" et, peut-être, trop "aimé être heureux" pour devenir un "grand écrivain".
Positif
Comment ne pas s'assoupir devant une telle success story !
Cahiers du Cinéma
Premier opus d’une œuvre que nous espérons brève.
Le Monde
Bien qu’il s’attarde sur les rituels d’écriture du personnage et sur les mystères artistiques, Laurent Delahousse s’intéresse avant tout au pouvoir de l’écrivain médiatique. Celui qui vit de ses livres, passe à la télévision, siège à l’Académie française, s’astreint à d’interminables séances dédicaces, se fait servir par son maître d’hôtel et converse avec un ministre qui ne se doute pas encore qu’il sera élu président.