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Avec un réalisme de documentaire, un récit de résilience par la parole inégal mais touchant et plein d’empathie pour ses personnages cabossés, porté par l’interprétation formidable de Julie Moulier.
Tres beau film,san
s oublié le travail de la reparation du spirituel, et corporel l'effort pour ce devoilé bravo pour ce film avec plus de moyen aurait fait un carton, et bravo
aux personnes qui consacre leur temps
a faire sortir ces blessures qui ne cicatrise pas et de les rendrent dans une boite fermé mais visible on l ouvrir ou la laisser
s oublié le travail de la reparation du spirituel, et corporel l'effort pour ce devoilé bravo pour ce film avec plus de moyen aurait fait un carton, et bravo
aux personnes qui consacre leur temps
a faire sortir ces blessures qui ne cicatrise pas et de les rendrent dans une boite fermé mais visible on l ouvrir ou la laisser
Belle découverte, de ce film, la reconstruction humaine qui passe par des étapes et l' aidé des autres
Et toujours ces secrets de famille qui détruisent certains membres d' une famille et pas d' autres ce déni des parents
Une belle brochette de comédiens,
Et toujours ces secrets de famille qui détruisent certains membres d' une famille et pas d' autres ce déni des parents
Une belle brochette de comédiens,
J'ai trouvé ce film un peu ambigu.
D'un côté je me dis qu'il y a là une belle matière avec une recherche de la réalité.
D'un autre côté, j'ai eu l'impression à certains moments de regarder un documentaire.
Donc j'ai trouvé ça un peu ennuyeux par moment.
On a un huis clos dans un centre de rééducation, où des gens de tout âge, passent plusieurs semaines à se reconstruire, d'une certaine manière, aux côté de deux psychologues ou équivalents, mais qui sont là en arrière plan ou presque, car l'idée c'est de se reconstruire au travers des autres.
Cela reste un beau film, sur un sujet peu traité dans un sens.
D'un côté je me dis qu'il y a là une belle matière avec une recherche de la réalité.
D'un autre côté, j'ai eu l'impression à certains moments de regarder un documentaire.
Donc j'ai trouvé ça un peu ennuyeux par moment.
On a un huis clos dans un centre de rééducation, où des gens de tout âge, passent plusieurs semaines à se reconstruire, d'une certaine manière, aux côté de deux psychologues ou équivalents, mais qui sont là en arrière plan ou presque, car l'idée c'est de se reconstruire au travers des autres.
Cela reste un beau film, sur un sujet peu traité dans un sens.
ayant passé par là, je connais ce monde de la communauté thérapeutique. Certe on évite pas les clichés, et on rit plus que l'on pleur en vrai. Mais je trouve ce film très juste , poignant . Les acteurs jouent très bien leurs rôles. Beaucoup d'émotions me revient en voyant ce jolie film .
Nos vies formidables est une belle découverte très légèrement teintée de documentaire. Il est filmé avec une sensibilité exacerbée. Il y a des personnes blessées par la vie qui se sont rassemblées dans un centre de désintoxication pour alcool et drogues puis elles sont confrontées à elles-mêmes. Un bon petit film sans plus...
Jorik V
Un sujet comme celui de « Nos vies formidables » où l’on suit un protagoniste principal en immersion dans un milieu clos et particulier a déjà été vu maintes fois. Que ce soit dans le contexte d’une prison (avec un nombre incalculable de films qui font que le film carcéral est devenu un sous-genre en soi du culte « Midnight Express » au coup de poing « Dog Pound »), dans le cadre d’un centre de rééducation comme dans « Patients » ou, comme ici, dans un centre de désintoxication pour toxicomanes et alcooliques. Le long-métrage suit un autre film d’auteur français sur le même sujet et sorti récemment qui s’avérait bien plus aimable et réussi. Il s’agit de « Mais vous êtes fous » qui inscrivait son histoire de dépendance et de désintoxication dans la vie d’un couple en apparence heureux. Un film qui était bien plus romanesque et poignant. Ici, on est à la lisière entre la fiction et le documentaire et c’est l’un des gros points faibles du film.
En effet, on aurait aimé être plus emporté, aspiré dans un tourbillon d’émotions et, hormis la dernière séquence très forte et emplie de sens, on reste un peu sur le bas-côté à ce niveau. « Nos vies formidables » prend le parti de filmer des moments anodins, des instants pris sur le vif et des scènes de la vie de tous les jours au sein de ce genre de centre. C’est à la fois instructif et réaliste, les clichés sont évités avec soin, mais on n’apprend rien de nouveau sur le sujet. Et surtout c’est bien trop long. Le film est lent et répétitif au point d’en devenir lassant tant les enjeux narratifs pour venir dynamiser un scénario forcément linéaire et peu écrit sont rares. Un scénario qui a d’ailleurs dû laisser beaucoup de place à l’improvisation pour des comédiens peu connus mais confondants de naturel. Le parcours de Margot, l’héroïne, se révèle intéressant, poignant, empli de résilience et de rédemption mais bien trop classique et attendu pour passionner sur deux heures.
Et surtout, la forme ne vient pas arranger les choses. Pire, elle vient gâcher le plaisir. « Nos vies formidables » souffre d’une image vraiment laide et peu agréable à l’œil. Peut-être est-ce l’envie de donner à son film une forme naturaliste qui a poussé Fabienne Godet à ne pas soigner cet aspect mais le résultat semble sorti d’un vieux film fauché des années 80. Même les films dogme à la « Festen » semblent plus sympathiques à regarder. Et comme le tout est long à démarrer, que les scènes sont pour la plupart redondantes et attendues et donc que l’image est désagréable, difficile d’être convaincu et investi dans ces vies (ironiquement) formidables. Heureusement la dernière demi-heure, qui révèle un secret sur le personnage principal, réveille un peu notre intérêt. C’est une œuvre aux intentions magnifiques et qui transpire d’humanité et de solidarité mais qui rate le coche pour plaire et être aimable envers son public. Pas assez d’émotion, un aspect trop aride et une difficulté à couper dans la masse d’images font que « Nos vies formidables » n’est pas aussi réussi qu’on l’aurait voulu. Et l’aspect hybride entre documentaire et fiction n’arrange rien. Dommage, car c’est une immersion d’une intensité et d’une vérité rares sur ce sujet.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
En effet, on aurait aimé être plus emporté, aspiré dans un tourbillon d’émotions et, hormis la dernière séquence très forte et emplie de sens, on reste un peu sur le bas-côté à ce niveau. « Nos vies formidables » prend le parti de filmer des moments anodins, des instants pris sur le vif et des scènes de la vie de tous les jours au sein de ce genre de centre. C’est à la fois instructif et réaliste, les clichés sont évités avec soin, mais on n’apprend rien de nouveau sur le sujet. Et surtout c’est bien trop long. Le film est lent et répétitif au point d’en devenir lassant tant les enjeux narratifs pour venir dynamiser un scénario forcément linéaire et peu écrit sont rares. Un scénario qui a d’ailleurs dû laisser beaucoup de place à l’improvisation pour des comédiens peu connus mais confondants de naturel. Le parcours de Margot, l’héroïne, se révèle intéressant, poignant, empli de résilience et de rédemption mais bien trop classique et attendu pour passionner sur deux heures.
Et surtout, la forme ne vient pas arranger les choses. Pire, elle vient gâcher le plaisir. « Nos vies formidables » souffre d’une image vraiment laide et peu agréable à l’œil. Peut-être est-ce l’envie de donner à son film une forme naturaliste qui a poussé Fabienne Godet à ne pas soigner cet aspect mais le résultat semble sorti d’un vieux film fauché des années 80. Même les films dogme à la « Festen » semblent plus sympathiques à regarder. Et comme le tout est long à démarrer, que les scènes sont pour la plupart redondantes et attendues et donc que l’image est désagréable, difficile d’être convaincu et investi dans ces vies (ironiquement) formidables. Heureusement la dernière demi-heure, qui révèle un secret sur le personnage principal, réveille un peu notre intérêt. C’est une œuvre aux intentions magnifiques et qui transpire d’humanité et de solidarité mais qui rate le coche pour plaire et être aimable envers son public. Pas assez d’émotion, un aspect trop aride et une difficulté à couper dans la masse d’images font que « Nos vies formidables » n’est pas aussi réussi qu’on l’aurait voulu. Et l’aspect hybride entre documentaire et fiction n’arrange rien. Dommage, car c’est une immersion d’une intensité et d’une vérité rares sur ce sujet.
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ned123
J'ai vu un film... émouvant sur un parcours visant à remonter la pente après une dégringolade sociale, affective, émotionnelle de plusieurs personnages saccagés par la vie.. On est ému, touché et finalement séduit par ce film-documentaire qui filme au plus près des personnages qui ont sombré dans la toxicomanie, la dépendance. On suit cette cure de désintoxication avec avidité en espérant que tous s'en sortiront, malgré leurs blessures si profondes. On sent bien bien que cette cure passe par la facilitation de la parole, la dynamique de groupe et l'entraide. Cela dit, il y a parfois quelques longueurs et un sentiment de voyeurisme qui m'a un peu gêné.
entre film et documentaire, une immersion dans une maison de désintoxication autour d'un personnage central choisi celui de, Margot. réaliste, on assiste au quotidien d'un groupe encadré et de belles notions apparaissent : écoute, empathie, entraide etc. au regard de la situation de chacun, les sentiments sont forcément exacerbés mais l'on glisse parfois dans le pathos. avec un semblant d'espoir, la démarche est à saluer ; d'un point de vue cinématographique, le récit tourne en rond et s'avère long.
elriad
porté par une brochette de comédiens impressionnnants de sincérité, "Nos vies formidables" est un formidable plaidoyer à la reconstruction, les phases par lesquelles on passe, les difficultés qu'on traverse, les doutes, les douleurs mais aussi l'espoir transmis par les autres. La direction d'acteurs est impeccable, on est en immersion à la façon d'un documentaire. Un film bouleversant, dur et poignant.
La thématique de l'addiction et du sevrage a donné lieu à quelques (très) bons films et il est clair que Nos Vies Formidables n'en fait pas partie. C'est long, c'est lent et surtout c'est ultra répétitif : confiné entre quatre murs, on passe deux heures à enchainer séance de thérapie après séance de thérapie sans jamais être convaincu parce ce qui se joue devant nos yeux. L'intention était sans doute louable mais le produit fini pèche à tous les niveaux.
Tourné comme un veritable documentaire, nous sommes plongés dans l'univers d'une cure de désintoxication ou la cinéaste filme d'abord la souffrance puis la honte et enfin la resilience grâce notamment a la solidarité des pensionnaires .
Un film humaniste et généreux qui échappe avec brio au risque du pathos, grâce à des comédiens attachants, entièrement engagés dans ce formidable récit de rédemption.
FaRem
"Nos vies formidables", un titre qui contraste avec la véritable vie de ces gens qui souffrent d'addiction et qui décident de rejoindre un programme pour aller mieux. Proche du documentaire, "Nos vies formidables" nous fait donc suivre le quotidien de ces gens lors de ce long chemin vers la guérison. Une guérison physique, mais aussi psychologique, car c'est en comprenant pourquoi on a sombré dans l'alcool ou la drogue que l'on a une chance de s'en sortir. D'ailleurs, ce n'est pas un simple film sur l'addiction, mais plutôt un film sur la vie, sur les relations humaines et sur les blessures qui peuvent nous faire chuter. Fabienne Godet a plutôt bien travaillé son sujet, mais son film ne m'a pas emballé. J'ai trouvé ça fade, lent et souvent ennuyeux. Les acteurs qui ont dû improviser s'en sortent plutôt bien et rendent les échanges crédibles et réalistes, mais l'histoire manque cruellement d'enjeux et même d'émotion. J'ai trouvé la dernière scène très forte et lourde de sens, mais c'est malheureusement la seule chose qui m'a marqué dans ce film. J'aurais aimé plus de choses dans ce sens. Des trucs qui ont vraiment un sens et qui font avancer le propos, car sinon, c'était mieux de faire directement un documentaire. En somme, un film avec de bonnes intentions, mais cela ne suffit pas et le résultat n'est pas terrible du tout.
Un film 'à l'americaine' sur la dependance; pas dans le cinema, mais dans la mentalité, avec toutes les anneries qui en decoulent.
Addict moi même, on n'y voit rien de reel, et pas même l'idée du reel; c'est de la pose, de la gestuelle, comme le vieux gars qui enlasse l'arbre dès le premier quart d'heure, une pub à la noix pour des structures qui ne changent rien, qui n'aident en rien, avec des personnages sans realité.
un vilain theatre sans séve
Addict moi même, on n'y voit rien de reel, et pas même l'idée du reel; c'est de la pose, de la gestuelle, comme le vieux gars qui enlasse l'arbre dès le premier quart d'heure, une pub à la noix pour des structures qui ne changent rien, qui n'aident en rien, avec des personnages sans realité.
un vilain theatre sans séve
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