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Michael R
103 abonnés
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3,5
Publiée le 19 septembre 2021
Un John Wick like (encore), au féminin (encore) et au pays du Soleil Levant (enfin une petite originalité). Ce format est devenu tellement décliné qu'il n'y a guère de surprises, reste à les classer. Pour le coup, celui-ci bénéficie d'une belle réalisation, d'une héroïne badass crédible et d'un supplément d'âme avec cette immersion chez les Yakusas.
Un des derniers films d’action sortis sur Netflix, ça s’appelle « Kate » et c’est réalisé par Cedric Nicolas-Troyan, sa dernière production datée de 2016 « Le chasseur et la reine des glaces ». À l’entête de l’affiche nous retrouvons Mary Elizabeth Winstead absolument charismatique ! Et qui est encore plus convaincante dans ce rôle que dans celui qu’elle a incarné dans « 10 Cloverfield Lane » ou bien « Gemini Man ». Les scènes d’action et de bastons sont violentes et vraiment bien maîtrisées c’était assez impressionnant. Cependant j’ai trouvé l’histoire assez classique et parfois un peu floue mais sur le moment j’avais vraiment besoin de voir un film comme celui-ci : juste de l’action. Film sympathique à voir à l’occasion sur Netflix.
Voici un nouveau film d’action portée par une femme chez Netflix.
Après Kate Beckinsale dans Jolt, Karen Gillan dans Gunpowder & Milkshake, Charlize Theron dans The Old Guard, Blake Lively dans The Rythm Section, voici la version portée par Mary Elisabeth Winstead.
Comme pour le plutôt nanarisant Wasabi, c’est la version vendue depuis 20 ans du Japon : quartiers chauds, ville qui ne dort pas, yakuzas derrière chaque stand de Ramen. Le réalisateur nous a épargné les clichés du gaijin qui débarque de France/USA. C’est tout.
Le réalisateur livre un film d’action des plus banals, avec une esthétique néon flashy et des ruelles sales.
Ce qui est dommage, connaissant le talent de l’actrice principale, c’est qu’elle est capable de faire mille fois mieux si on lui laisse l’opportunité de jouer un rôle un tant soit peu complexe. La tueuse à gages badass qui veux se venger en tuant ses ennemis avant la fin de la journée est juste une machine à tuer sans émotions.
L’idée de rajouter l’ado Ani, est une erreur, car on voit le travail évident du scénariste de vouloir donner à l’héroïne une bonne conscience et une idée de se racheter une conduite. Reste plus qu’à insérer les violons et les larmes faciles.
Ce qui est dommage, c’est que le côté déjà-vu, et l’absence de toute nouveauté aurait dû donner la puce à l’oreille aux auteurs de ne pas se prendre au sérieux, et d’insérer des moments décalés voir drôle, avec de l’humour noir par exemple.
Mais ils ont préféré copier le ton d’Alien 3 en fusionnant le personnage d’Ellen Ripley condamnée à une mort certaine et celui de Kate empoisonnée.
Un film de commande, proche d’un direct-to-dvd, éternel gâchis de temps et d’argent…
Hormis que l'héroïne est plusieurs fois à l'article de la mort, et hop une piqûre ça repart. Par moment, ce n'est même plus crédible. Hormis que la gosse est une tête à claque avec des dialogues qui font mal aux oreilles lorsqu'ils sortent de sa bouche. On a là un John Wick au féminin, bien rythmé, de l'action, de l'action, ça dépote comme son homologue masculin. Certes, c'est un genre de film dans lequel on a pas trop besoin de réfléchir, pour ma part je ne me suis pas ennuyé, j'aurai pu mettre plus que 3 mais, il faut reconnaître que par moment c'est un peu gros....
Second long métrage d'un réalisateur français (cocorico) "Kate" est un actionneur féminin bien meilleur que Atomic Bomb, Jolt ou plus récemment Bloody Milkshake. Film nerveux avec des bagarres, des gunfight et même un duel au sabre!
Films violent et même assez gore par moment pour mon plus grand plaisir.
Ambiances lumineuses magnifiques dans ces rues nocturnes aux multiples enseignes lumineuses néon ou fluo. De beaux jeu d'ombres et de lumières avec beaucoup de teintes rosés et violettes.
Mary Elizabeth Winstead bien trop rare au cinéma est impériale dans le rôle.
Une jeune femme tueuse à gage au visage doux, veut prendre sa retraite pour avoir une vie de famille, vie qui va basculer suite à un empoisonnement durant son dernier contrat.
Se transformant ensuite en une survivante qui cherche à terminer son dernier job tout en partant pour une quête secondaire de rédemption. L'actrice qui titube, saigne du nez, crache du sang, à les oreilles qui siffles, nauséeuse, donne des détails saisissants sur sa descente aux enfers à chaque accentuations des symptômes.
Woody Harrelson qui joue le mentor est énergique et je trouve qu'il a regagner de la superbe par rapport à ces derniers films tournés.
Miku Patricia Martineau apporte de la fraicheur dans ce style de "idols" adolescente.
Mention spéciale pour l'acteur Jun Kunimura en chef de yakuzas, que j'ai eu le plaisir de découvrir dans la série Netflix "The Naked Director" (la aussi en chef Yakuza)
Clin d'oeil du film "Kill Bill" avec les baskets "Tai Chi" de Uma Turman
Le running gag du Boom Boom citron est exactement le même que dans le film "Bienvenue à Zombieland" avec la perpétuelle recherche des twinkies de Woody Harrelson. (oh comme par hasard). J'ai eu envie d'acheter du BOOM BOOM Citron après le film et je ne suis pas le seul car les recherchent le concernant ont explosés sur internet. Ce soda est fictif malheureusement.
Si vous aimer les films d'actions, ***Mary Elizabeth Winstead*, les ambiances lumineuses et l'univers des yakuzas, ce film est fait pour vous!**
Encore un film d'action à la John Wick qui avait tout pour me plaire mais c'était assez moyen ! Mary Elizabeth Winstead est bonne dans son rôle, j'aime beaucoup cette actrice. Le reste du casting fait le taff mais les relations entre les personnages notamment celle entre Kate et la fille sont mauvaises. On repousse totalement les limites du surhomme sont poussés à fond pour le personnage de Kate, elle est invincible et on a peur pour elle a aucun moment. Les scènes d'action sont cools, visuellement la ville de Tokyo apporte beaucoup de choses d'images très belles surtout avec l'action.
Un film 100% action, rien d'autre. Multiples "utilisations" ou clins d'œil aux films références du genre, peu de créativité si ce n'est le Japon comme terrain de jeu. Scénario entendu dès le premier quart d'heure et pas mal de mièvreries (insupportables). Actrice convaincante (la seule dans son rôle) et un Woody Harrelson timoré. Au final, on tombe (encore) dans les travers, les improbabilités et les excès coutumiers des films d'action à l'emporte pièce, sans subtilités ni émotions. (Loin d'un Nikita, d'un Equalizer ou d'un Léon par ex.). Très proche d'un John Wick. 2.5/5 ! (pour le rythme soutenu).
Quelque part entre Nikita et John Wick, Kate est une série B qui débutait bien, surtout via ses séquences d'action musclées. Mais l'histoire est plombée par un scénario réchauffé et un personnage secondaire agaçant et caricatural. Reste une esthétique souvent agréable
Mary Elizabeth Winstead en version ultra-badass ? Y'a qu'à demander. Kate a été une bonne surprise pour notre part, principalement grâce à l'interprétation musclée de cette dernière, grâce à un parti pris de ne pas se prendre au sérieux dans les séquences de tuerie (à la Tarantino : c'est très violent, mais très drôle si l'on a l'humour sadique qui va avec... Oui, on a bien rigolé), et une intrigue de revanche que l'on suit jusqu'au bout, en regrettant même la fin "la boucle est bouclée" sans surprise qu'elle nous offre (et empêchant ainsi une suite, ce qu'on n'aurait pas boudé, revoir ce personnage badass dans d'autres aventures, pourquoi pas). Kate est un personnage oscillant entre Ellen Ripley (Alien) et Terminator (avec de nombreuses références, entre la veste kaki, l’œil rouge, la clope au bec et le gros flingue sorti à tout va sur une punchline amusante), et clairement, cela faisait longtemps que l'on n'avait pas vu une dame tenir ce genre de rôle, cela nous a fait du bien. Surtout en binôme avec la jeune miss qui apporte plus de douceur et d'émotions (un brin) à leurs scènes de collaboration. On a tellement aimé le côté "fun" assumé qu'on a vite passé l'éponge sur l'aspect "bébête" de ce type de films bourrins et décalés à la fois, avec une préférence pour la "scène de la cigarette" qui nous a tiré un petit rire (on ne s'y attendait pas). Beaucoup de "badasserie" et de violence amusée, on comprend que cela ne convienne pas à tout le monde, mais subjectivement on a vraiment aimé ce personnage "Terminator au féminin" d'une Winstead électrisante.
Minutieuse et prodigieusement douée, Kate est l'exemple même de la machine à tuer parfaitement rodée et au sommet de son art. Mais voilà qu'un jour elle échoue à éliminer sa cible, un yakuza à Tokyo. Elle découvre alors qu'elle a été empoisonnée et va subir une exécution par mort lente qui lui laisse moins de 24 heures pour se venger de ses assassins.
C’est la seconde réalisation du Français Nicolas-Troyan après le blockbuster Le Chasseur et la reine des glaces (2016). Le scénario a été écrit par Umair Aleem.
Je me disais voilà un énième film de “killeuse” mais il arrive à montre du caractère et être très bon.
Arrivant sur Netflix deux mois après la sortie de Bloody Milkshake au cinéma, j’avais un doute sur la capacité de ce film à se démarquer. Cependant, force est de constater que Mary Elizabeth Winstead crée quelque chose dans son rôle de Kate.Elle a ce petit truc qui rend son personnage attachant. On a envie de la suivre dans cette aventure. L’actrice, qui avait brillé en 2016 dans 10 Cloverfield Lane, m’a vraiment convaincu. J’avoue que j’avais aussi regardé pour la présence de Woody Harrelson mais malheureusement il est vraiment relégué au second plan, même si j’ai savouré chaque apparition. Au passage, l’obsession de Kate pour le Boom Boom Lemon renvoie à celle qu’avait Woody Harrelson pour les Twinkies dans Zombieland. Un clin d’oeil que j’ai apprécié.
C’est la présence de la jeune Miku Patricia Martineau qui va être une belle valeur ajoutée. La Canadienne est le symbole de la vitalité que veut apporter ce film d’action. Celle-ci est pétillante et j’ai beaucoup aimé son style rentre dedans. Elle est cash dans ses réponses et n’hésitera pas à utiliser des termes assez vulgaires. Sa relation avec Kate va être un élément accrocheur. Les deux se complètent bien.
Kate va aussi avoir la particularité d’être violent. Ayant un travail de tueuse à gages, forcément le sang va couler. Les passages de combat sont très bien faits. Ils sont fluides et vifs. Cela donne une certaine dynamique que j’ai beaucoup aimée. Nous n’avons pas le temps de nous ennuyer. Parfois, il y aura aussi quelques prises de risque plus ou moins bien senti comme le passage de la voiture. Dommage que ce ne soit pas plus répété car ça fait un peu sorti de nulle part. C’est tout de même amusant et a le mérite d’exister pour apporter de la variété.
Le gros point faible vient du scénario. Je sais que dans un film d’action, on n’est pas là pour cela, mais tout de même ce n’est pas terrible. Tout ce qui tourner autour de l’intrigue n’est pas toujours limpide. Je pense notamment au personnage de Varrick, et tout ce qu’il représente. Qui est réellement derrière lui, pourquoi a-t-il était choisie pour s’occuper de Kate enfant ? On adore nous balancer des agences secrètes dans ce genre de film, mais là le scénario ne se préoccupe même pas d’expliquer le pourquoi du comment. Même le personnage de Kate ne va pas être approfondi. J’ai adoré son style et j’aurai aimé donc en savoir plus sur elle. Par moments, on nous balance des flashbacks mais ce n’est pas du tout parlant. J’espère que ce n’est pas une stratégie pour vendre un prequel. Connaissant les exploitants une ouverture est toujours possible.
dans la lignée de Atomic Bomb, Bloody Milkshake et Jolt, voilà Kate. Mary Elizabeth Winstead campe une tueuse à gage très particulière. on pourra reprocher au film d'être trop sanglant, mais tout est justifié. M.E.W m'a souvent prouvé qu'elle était une bonne actrice, mais là, elle est impressionnante. j'ai beaucoup aimé ce film.
Prenez Nikita mais sans relation forte avec son maître, un John Wick mais maritalement empoté, un compte à rebours mortel mais complètement désamorcé par des scènes humoristiques à la WTF japonaise et une actrice en décomposition qui souffre assez peu. Une bande son J-Pop donc discutable à l'oreille. Woody Harelson mais qui passe pour prendre son chèque. Tout est dit. Loin d'être merveilleux, mais bon pour un dimanche après midi chez mémé et encore ça dépend de quelle mémé, le Scrabble est plus captivant.