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Dropforged
4 critiques
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5,0
Publiée le 29 mars 2023
Je ne m'attendais a pas grand chose a part une bonne dose de baston divertissante "john wickeste" et bien non seulement je n'ai pas etais déçu mais même agréablement surpris. Déjà le lieu où se déroule le film, le Japon correspond parfaitement et fait même partie intégrante de la réussite du film. Mais le plus gros atout du film est Mary Elizabeth Winstead, je ne connaissais pas plus que ça cette actrice, et.je la trouve vraiment epatante dans ce role. Bref, si vous voulez passer une soirée sans prise de tête avec un bon film de baston , n'hésitez pas...
En tout honnêteté, je m'attendais à mieux. Certes, le rôle principal est bien joué dans sa globalité, tout comme "V", mais le rendu est quelque peu cliché de temps à autre. Des scènes parfois sur-interprétées deviennent lassante à des moments. Même si, on peut comprendre que ce style de film correspond au style de certaines et certains (dont moi-même), je ne m'y retrouve pas totalement et le rendu me paraît parfois long. La touche Japonaise est présente tout de même, mais le déroulement ne rend pas ce que l'on aurait pu espérer.
J'ai beaucoup apprécié ce film, MEW fait une très bonne killeuse. Des bonnes scènes d'action bien violentes. J'ai regardé en mode détente sans prise de tête et j'ai été servie ! Niquel pour passer un bon moment.
Soyez-en sûrs, ce « Kate » n’invente rien et ne révolutionne rien non plus. D’ailleurs il n’en a jamais l’ambition ni l’envie. Cette série B d’action procurée par Netflix semble avoir pour but simple : l’efficacité et le divertissement tout en ne prenant pas ses spectateurs pour des idiots. Et c’est réussi. Il est vrai que de prime abord tout cela pue le vu, revu et re-revu! En effet, on en a goûté depuis une petite décennie de ces films d’action où la gent féminine prend les choses en main pour mettre tout le monde d’accord. Ce qui était un fantasme de mâle de base assez peu courant sur les écrans il y a encore quelques années avec des sagas comme « Underworld » ou « Tomb Raider » et des films unitaires comme, les excellents dans leur genre, « Colombiana » ou « Atomic Blonde » avec une femme qui mettait tous les hommes au tapis semble devenu une mode, voire la norme, à l’aune du mouvement Metoo.
Il est donc loin le temps où la Ripley des « Alien », les héroïnes de Luc Besson ou encore la Sarah Connor des « Terminator » étaient les seules femmes de poigne présentes sur les écrans. Désormais c’est devenu monnaie courante et il est dur d’innover sur le terrain balisé et surchargé de ces films qui en mettent plein la vue sans testostérone entre combats et fusillades sur un mode sérieux (pas le jubilatoire « Charlie et ses drôles de dames » et ses improbables amazones en folie en somme). Et avoir un positionnement original sur le créneau devient presque mission impossible. C’est donc très bien que le script ne s’embarrasse pas de psychologie pour maquiller la banalité de la chose ou de faire du nouveau à tout prix. « Kate » s’assume comme une série B décomplexée et se focalise sur son contexte japonais où la culture du pays est assez bien mise en avant. Elle imprègne la pellicule de la plus belle des façons avec ses couleurs néons et ses prises de vues nocturnes du plus bel effet (on pense au très beau plan final par exemple).
Le concept de la tueuse à gages qui va se venger est clairement fainéant. Et même si on lui ajoute un autre concept, celui de la mort programmée puisque l’héroïne (excellente et très crédible Mary Elizabeth Winstead) a été empoisonnée, cela n’aide pas pour autant car on pense, entre autres, à « Hyper tension » avec Statham. Cette intrigue qui tient sur un bout de papier se densifie pourtant petit à petit dans les motivations des personnages et un premier degré méritoire. Ce postulat (et l’aval implicite des amateurs d’action) permet également quelques invraisemblances ou facilités qu’on ne tolérerait pas sinon. Pour ce qui est de l’action pure et dure, « Kate » excelle. C’est rythmé, rempli de scènes de combat et de fusillades impeccablement orchestrées et de séquences impressionnantes qui s’enchaînent avec maestria. Et sur ce point, le film parvient même à nous surprendre grâce à la mise en scène sérieuse du frenchie Cédric Nicolas-Troyan qui s’était fait la main sur le plutôt bon mais malaimé « Le Chasseur et la Reine des neiges ». Bref, en un mot ici, c’est l’efficacité et le respect du spectateur qui priment même si « Kate » sera vite oubliée.
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un scénario déjà vu mais bien réalisé. l'ambiance kawaii / cyberpunk des décores est un grand plus. bref un bon film pour les amateurs du genre. bien au dessus de ce que propose Netflix habituellement.
Un énième produit Netflix édulcoré, estampillé Action et dézingage d'asiatiques... Si l'on excepte la première course poursuite en voiture et 2-3 gunfights endiablés et bien mis en scène, il ne reste pas grand chose à Kate pour sortir du lot. Parce que ce genre de films, on en voit à la pelle à longueur d'année et renouveler le genre n'est pas chose aisée, malgré la présence de 2 très bons acteurs. Un film d'action lambda, qui ne vous demandera pas une réflexion ultra poussée.
un film à la John Wick. Personnellement j'ai préféré Kate aux 3 John Wick. Mary Elisabeth Winstead est une actrice que j'adore et encore une fois elle livre une prestation de qualité. L'ambiance japonaise ajouté indéniablement quelque chose à ce film d'action. Bon après rien d'original, le mini twist on le voit arriver 1h avant et tout est très bateau mais bon John Wick ne faisait pas mieux.
Un scénario sans intérêt mais qui se permet néanmoins d'être un vrai fouillis, des scènes de combat bien clichés qu'on a déjà vu mille fois, un ressort dramatique qui ne fonctionne jamais. Rien de passionnant même si l'actrice principale fait ce qu'elle peut (mais sans susciter d'empathie pour son personnage)
Un film d'action , mélangé d'espionnage . On est dans du sous-Nikita , et toute cette veine de femme espionne hyper active et violente , tueuse.. Beaucoup d'action , un peu gore ,avec de beaux paysages japonais et les villes illuminées. Bien sûr les Yakuzas sont là aussi . Le film est bien rythmé, le scénario un peu bancal, mais le film tient surtout grâce à l'interprétation de l'actrice principale , excellente , qui tient le film a bout de bras.
Variante du film d'action de l'après-John Wick (2014), Kate voit enfin Mary Elizabeth Winstead porter l'ensemble d'un film sur ses épaules. Il était temps. Pour un rôle absolument pas glamour, et très physique. Elle interprète une tueuse, formée depuis l'adolescence par Woody Harrelson (que le type casting désigne dès sa première apparition comme le méchant du film; aucune surprise) qui se retrouve empoisonnée et cherche à savoir qui l'a fait et pour quoi pendant les quelques heures qui lui reste à vivre. Les scénaristes ont été traumatisés par Nikita (1990, Luc Besson). Et quitte à broder sur les clichés, nous aurions aimé que la fin du film nous révélât que le poison n'était finalement pas mortel. Car le film est une succession de combats et clichés, sur le, et au Japon, dans des rues étroites ou en intérieurs, très spectaculaires, avec ce personnage de Kate qui meurt à petit feu devant nos yeux. Heureusement, le scénario intègre le personnage Miku Patricia Martineau, ce qui relance l'intrigue et permet de maintenir l'intérêt du spectateur. S'il est satisfaisant sur le plan technique, l'histoire trop convenue l'empêche d'être une réussite. À voir pour Mary Elisabeth Winstead.
Hop , on refait le coup de l'héroïne badass mais on transpose l'environnement au Japon... Néons criard et coutumes bizarres.... spoiler: Histoire rebattue de la tueuse trahie qui veut comprendre et qui se venge , on voit venir de loin la conclusion, et les faux twists ... Avantage : il est moins long que la plupart des films Netflix....
Les notes mauvaises que je vois ici doivent être des lecteurs de Télérama ou des Inrocks car franchement ce film de baston fait le job. Rythme, combats supers, jeu parfait de l'héroïne. Idéal pour les esthètes de la mandale.