Les Femmes de la rivière qui pleure : Critique presse
Les Femmes de la rivière qui pleure
Note moyenne
3,0
7 titres de presse
Transfuge
L'Obs
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Positif
Première
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Transfuge
par Léocadie Handke
Sheron Dayoc ne joue pas le jeu de beaucoup de films qui prétendent remettre en cause la violence tout en la représentant. Par le rêve, il la dépasse.
L'Obs
par François Forestier
Tourné en deux semaines, le film, quête patiente d’une paix impossible, est joué par deux non-actrices (l’une est infirmière, l’autre, secrétaire adjointe du département de l’intérieur de la Région autonome) : beauté des images, dignité du message, poids dévastateur du passé. Une découverte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le récit est mené avec un didactisme élégant, et la manière dont l’espace et les paysages sont filmés ne cède jamais à la tentation de la joliesse.
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Escalade de violence entre deux familles rivales dans la région de Mindanao, aux Philippines. Bilan : plusieurs morts et un film en demi-teinte, dans lequel des dialogues rabâchés desservent une tragédie qui trouve dans le silence ses plus belles scènes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Hubert Niogret
En refusant parfois l’inévitable dramaturgie, le cinéaste s’expose à l’aplatissement de son récit, malgré tout le soin ou le talent des éléments mis en jeu.
Première
par Thierry Cheze
A la fois très bel objet cinématographique et œuvre politique essentielle sur un coin du monde dont, de France, on entend peu la douleur ; Les femmes de la rivière qui pleure (et ses remarquables comédiens non professionnels) vaut la découverte.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Luc Chessel
"Les Femmes de la rivière" qui pleure cherche une solution à la situation qu’il décrit, un terme à la violence, qui ne peut être qu’un moyen terme. Cela anoblit son propos mais mine sa mise en scène. Il n’y a pas d’espoir au cinéma, seulement le décompte des morts et le chant de l’eau, choses que Sheron Dayoc sait plutôt bien décrire : il aurait pu s’en tenir là et nous laisser le reste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
Sheron Dayoc ne joue pas le jeu de beaucoup de films qui prétendent remettre en cause la violence tout en la représentant. Par le rêve, il la dépasse.
L'Obs
Tourné en deux semaines, le film, quête patiente d’une paix impossible, est joué par deux non-actrices (l’une est infirmière, l’autre, secrétaire adjointe du département de l’intérieur de la Région autonome) : beauté des images, dignité du message, poids dévastateur du passé. Une découverte.
Le Monde
Le récit est mené avec un didactisme élégant, et la manière dont l’espace et les paysages sont filmés ne cède jamais à la tentation de la joliesse.
Les Fiches du Cinéma
Escalade de violence entre deux familles rivales dans la région de Mindanao, aux Philippines. Bilan : plusieurs morts et un film en demi-teinte, dans lequel des dialogues rabâchés desservent une tragédie qui trouve dans le silence ses plus belles scènes.
Positif
En refusant parfois l’inévitable dramaturgie, le cinéaste s’expose à l’aplatissement de son récit, malgré tout le soin ou le talent des éléments mis en jeu.
Première
A la fois très bel objet cinématographique et œuvre politique essentielle sur un coin du monde dont, de France, on entend peu la douleur ; Les femmes de la rivière qui pleure (et ses remarquables comédiens non professionnels) vaut la découverte.
Libération
"Les Femmes de la rivière" qui pleure cherche une solution à la situation qu’il décrit, un terme à la violence, qui ne peut être qu’un moyen terme. Cela anoblit son propos mais mine sa mise en scène. Il n’y a pas d’espoir au cinéma, seulement le décompte des morts et le chant de l’eau, choses que Sheron Dayoc sait plutôt bien décrire : il aurait pu s’en tenir là et nous laisser le reste.