Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Libération
par Marcos Uzal
Ainsi, par son point de vue, par sa forme, par le parcours qu’il nous propose, "Nul homme n’est une île" est comme un immense et superbe panoramique horizontal dévoilant une autre société possible, un autre horizon barrant très concrètement la verticalité des pouvoirs politiciens et des marchés capitalistes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
La singularité du film tient à sa manière de placer ces questionnements sous les auspices d’une pensée et d’une vision esthétiques.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Dominique Marchais est un réalisateur de films d’action. Il en découle qu’il n’oublie pas de rendre sensibles la transparence de l’air, l’intensité de certains bleus, la chaleur qui forme les fruits. La touffeur âcre d’une branche de thym passe le Rhin.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Dans Nul homme n’est une île, il n’y a ni volonté militante, ni une quelconque glorification du repli sur soi dans cette évocation des chemins de traverse que certains citoyens ont décidé d’emprunter. Simplement le constat que, à l’échelle locale, la recherche du bien commun et la réappropriation du territoire peuvent, en nous reconnectant à la nature et au paysage, nous rendre tout simplement heureux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Solidarité et respect du territoire sont les maîtres mots de ce film plein de bon sens d’où jaillit une lueur d’espoir.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
De Sicile en Autriche via la Suisse, quelques expériences tendues à rendre du sens à la vie en la mettant en harmonie avec l’environnement : les groupes d’achats solidaires en agriculture, l’artisanat, l’architecture… La preuve qu’une autre économie est possible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
À côté de tous les discours anxiogènes sur la mondialisation et sur l'impuissance des Etats et des politiques, "Nul homme n'est une île" apporte une note d'espoir mesurée.
Positif
par Vincent Thabourey
Loin d'être un simple collage de hauts faits écologiques qui se contenteraient de valoriser benoîtement les "circuits courts", il produit du discours, et qui plus est, du discours politique. C'est un plaidoyer pour le développement de l'intelligence collective, un manifeste pour de nouveaux modes de gouvernance, notamment en Europe.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le documentaire de Dominique Marchais (à qui l’on doit notamment « La ligne de partage des eaux ») s’ouvre paisiblement sur la contemplation de la fresque qui orne la salle des Neuf à Sienne « Allégorie et effets du bon et du mauvais gouvernement » d’Ambrogio Lorenzetti. Sept siècles plus tard, ses enseignements sont toujours d’actualité et plus que jamais précieux.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Frédéric Strauss
Un voyage étonnant et plein d’enseignements.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
C’est un grand film politique, redonnant au mot son poids et sa noblesse, invitant chaque citoyen à croire à nouveau dans la force du collectif pour bâtir la cité d’aujourd’hui et de demain.
Le Monde
par Mathieu Macheret
La mise en scène de Dominique Marchais consiste à mettre tous ces éléments « à plat », et il ne faudrait pas trop vite en conclure à une « platitude » de son cinéma. Si la beauté du monde est son seul sujet – car sujet d’inquiétude –, il ne se permet pas pour autant d’enchérir sur elle, pour mieux restituer les idées, les propos de chacun, la frontalité des lieux, dans toute leur clarté. Cette clarté de pensée qui est le gage de tout « bon gouvernement », y compris celui des images.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
Ainsi, par son point de vue, par sa forme, par le parcours qu’il nous propose, "Nul homme n’est une île" est comme un immense et superbe panoramique horizontal dévoilant une autre société possible, un autre horizon barrant très concrètement la verticalité des pouvoirs politiciens et des marchés capitalistes.
Cahiers du Cinéma
La singularité du film tient à sa manière de placer ces questionnements sous les auspices d’une pensée et d’une vision esthétiques.
L'Humanité
Dominique Marchais est un réalisateur de films d’action. Il en découle qu’il n’oublie pas de rendre sensibles la transparence de l’air, l’intensité de certains bleus, la chaleur qui forme les fruits. La touffeur âcre d’une branche de thym passe le Rhin.
La Croix
Dans Nul homme n’est une île, il n’y a ni volonté militante, ni une quelconque glorification du repli sur soi dans cette évocation des chemins de traverse que certains citoyens ont décidé d’emprunter. Simplement le constat que, à l’échelle locale, la recherche du bien commun et la réappropriation du territoire peuvent, en nous reconnectant à la nature et au paysage, nous rendre tout simplement heureux.
Le Journal du Dimanche
Solidarité et respect du territoire sont les maîtres mots de ce film plein de bon sens d’où jaillit une lueur d’espoir.
Les Fiches du Cinéma
De Sicile en Autriche via la Suisse, quelques expériences tendues à rendre du sens à la vie en la mettant en harmonie avec l’environnement : les groupes d’achats solidaires en agriculture, l’artisanat, l’architecture… La preuve qu’une autre économie est possible.
Les Inrockuptibles
À côté de tous les discours anxiogènes sur la mondialisation et sur l'impuissance des Etats et des politiques, "Nul homme n'est une île" apporte une note d'espoir mesurée.
Positif
Loin d'être un simple collage de hauts faits écologiques qui se contenteraient de valoriser benoîtement les "circuits courts", il produit du discours, et qui plus est, du discours politique. C'est un plaidoyer pour le développement de l'intelligence collective, un manifeste pour de nouveaux modes de gouvernance, notamment en Europe.
Sud Ouest
Le documentaire de Dominique Marchais (à qui l’on doit notamment « La ligne de partage des eaux ») s’ouvre paisiblement sur la contemplation de la fresque qui orne la salle des Neuf à Sienne « Allégorie et effets du bon et du mauvais gouvernement » d’Ambrogio Lorenzetti. Sept siècles plus tard, ses enseignements sont toujours d’actualité et plus que jamais précieux.
Télérama
Un voyage étonnant et plein d’enseignements.
La Septième Obsession
C’est un grand film politique, redonnant au mot son poids et sa noblesse, invitant chaque citoyen à croire à nouveau dans la force du collectif pour bâtir la cité d’aujourd’hui et de demain.
Le Monde
La mise en scène de Dominique Marchais consiste à mettre tous ces éléments « à plat », et il ne faudrait pas trop vite en conclure à une « platitude » de son cinéma. Si la beauté du monde est son seul sujet – car sujet d’inquiétude –, il ne se permet pas pour autant d’enchérir sur elle, pour mieux restituer les idées, les propos de chacun, la frontalité des lieux, dans toute leur clarté. Cette clarté de pensée qui est le gage de tout « bon gouvernement », y compris celui des images.