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    Adoration
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    mat niro
    mat niro

    354 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juin 2020
    J'attendais beaucoup de ce film que je n'avais pu voir en salle et au final c'est la déception qui prime. On peut y suivre deux jeunes adolescents amoureux dans un périple où Paul doit gérer la maladie psychique de Gloria. C'est assez niais dans l'ensemble malgré la prestation plutôt convaincante des deux jeunes. Même si Fabrice Du Welz sait filmer la nature et nous offrir quelques instants poétiques, l'œuvre se révèle trop superficielle pour susciter l'émotion. Même Poelvoorde a du mal à relever le niveau du film...
    Nathalie R
    Nathalie R

    24 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2020
    Adoration laisse plus de sensations que de réponses à son spectateur. On a la même impression qu'après la lecture d'un poème, qu'on se répète, qu'on ressent, à la recherche d'un sens caché. Fabrice de Weltz signe ici un conte contemplatif et poétique, à la fois doux et cruel, qui ne laissera pas son spectateur indifférent.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 mai 2020
    Le film Adoration réalisé par Fabrice Du Welz mérite un 6 sur 10.

    À mon avis, c'est un film très artistique. C'est l'histoire d'un garçon, Paul, qui vit seul avec sa mère. Sa mère travaille dans un hôpital psychiatrique où Paul séjourne également. Un jour, Paul tombe amoureux de Gloria, une jeune fille souffrante de problèmes de santé mentale, une patiente de l'hôpital. Ensemble, ils fuient leurs parents et partent dans le monde entier.
    En laissant les personnages parler peu dans leurs rôles, on laisse un sentiment très étrange au spectateur. Il est claire que ce film est réalisé comme une production artistique plutôt que commerciale. Le film traite d'un thème qui n'est pas facile à saisir et c'est pourquoi je l'ai trouvé assez bien, mais je ne le recommanderais pas moi-même.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 avril 2020
    'Adoration'


    Fabrice du Welz, le réalisateur d'Adoration, vous entraîne dans l'histoire de Paul, un rêveur de 14 ans. Sa mère est une femme qui travaille dans un hôpital psychiatrique. Son père a disparu de leur vie il y a longtemps. Pendant les vacances d'été, une nouvelle patiente est arrivée, Gloria, une adolescente schizophrénique. La schizophrénie est une sorte de trouble mental... Ça veut dire que vous pouvez avoir des hallucinations, des délires et des troubles de la pensée..., que vous êtes paranoïde.

    Mais au début Paul ne sait pas que Gloria est schizophrénique. Paul tombe amoureux d'elle et ensemble, ils fuient le monde des adultes. J'ai vu ce film à Bruges, dans le cinéma Lumière qui est connu pour ses films artistiques. Adoration s'inscrit parfaitement dans ce cadre. Pendant les 10 premières minutes du film, je ne savais pas de quoi il s'agissait et certainement pas dans quelle direction le film pouvait évoluer.

    C'est un film très abstrait et artistique, parce que les acteurs parlent à peine. Le cinéaste a réussi à communiquer avec le public à travers les cignes mimiques des personnages, les gestes et la manière sobre de visualiser... c'est une œuvre d'art en soi. Malgré le fait que ce film est un grand ouvrage artistique, il est très lourd et mélancolique. Il ne présente pas la gaieté ou la joie de vivre... et il incite à méditer sur la vie.

    Durant le film, vous suivez étroitement les personnages, donc l'évolution est accentuée. À cause d'interactions soudaines, vous pouvez analyser le comportement des personnages et mieux comprendre leurs pensées.

    Je ne recommanderais certainement pas le film à mes amis ou à autres jeunes. Je pense qu'Adoration convient mieux à un public plus âgé qui aime les films mélancoliques et psychologiques.


    (Manon Bohyn, 16 ans, Bruges – 2020)
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈

    142 abonnés 1 143 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 avril 2020
    L'histoire est sympa à suivre car on a envie de savoir comment leur voyage va se dérouler, et bien évidement pas comme ils l'auraient espéré. Les deux jeunes enfants jouent vraiment super bien. Après il y a quelques longueurs par moment. On manque d'explication sur le cas de Gloria ainsi que son passé et son entourage... Le film est mal filmé, ça m'a quand même assez dérangé.
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    80 abonnés 817 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2020
    Après "Calvaire" et "Alléluia", Fabrice du Welz revient avec une fugue amoureuse plus lumineuse qu'à son habitude, mais certainement pas plus assagie. Un film dont la force vient surtout de celle de ses deux jeunes acteurs.
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 février 2020
    Paul (Thomas Gioria) est un jeune garçon solitaire élevée par sa mère célibataire qui travaille dans une clinique psychiatrique. C'est là qu'il rencontre Gloria (Fabntine Harduin), une jeune fille qui vient d'y être enfermée. Gloria convainc Paul qu'elle est victime d'un complot et obtient son concours pour s'évader.

    Fabrice Du Welz est un réalisateur belge qui a commencé sa carrière par plusieurs films d'épouvante. "Calvaire", "Vanyan" et aujourd'hui "Adoration" ont pour point commun de se dérouler en pleine nature, dans une forêt tour à tour hospitalière et menaçante. C'est elle le principal acteur de ce river movie qui voit les deux adolescents descendre un cours d'eau pour échapper à leurs poursuivants. Dans leur fuite, ils rencontreront un couple de touristes flamands puis le vieux gardien d'un terrain désaffecté.

    L'apparition dans ce rôle de Benoît Poelvoorde au dernier tiers du film manque voler la vedette aux deux enfants qui en sont les principaux protagonistes. On avait déjà vu Thomas Gioria dans "Jusqu'à la garde" (il y interprétait le rôle du fils de Denis Ménochet et de Léa Drucker, brinquebalé entre ses deux parents) et Fantine Harduin dans "Happy End" (où elle jouait la petite-fille de Jean-Louis Trintignant).

    Mais la justesse du jeu de ces deux jeunes acteurs ne suffit pas à sauver "Adoration" qui s'englue maladroitement dans une série de lieux communs maniéristes sur la démence, la nature et les premières amours.
    leotain
    leotain

    9 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2020
    ADORATION est un film étrange : une réadaptation un peu glauque des contes de fées. Le concept m'a beaucoup plu même si au final, le film a quelques longueurs. Les deux acteurs ont quelque chose d'hypnotique mais le véritable atout du film est son image qui est superbe, sensible et chaleureuse. Essayer d'y aller tant que le film est encore un peu à l'affiche.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 974 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 février 2020
    Un film touchant où le jeune Paul tombe amoureux de Gloria, malade internée dans un hôpital psychiatrique. Leur relation destructrice est subliment interprétée.
    William Dardeau
    William Dardeau

    32 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 février 2020
    Il semble bien que le réalisateur de Adoration ait ses adorateurs ! Un contributeur s'excuse même durant des dizaines de lignes de ne pas avoir aimé le film, alors qu'il était un inconditionnel des précédents. Je serai plus concis, et ne ferai pas de références aux autres films de Fabrice du Welz que je n'ai pas vu. Adoration est ennuyeux, prétentieux, filmé à la va comme je te pousse , avec des dialogues niveau sixième. Le problème avec ce type de film est celui que je dénonce souvent avec un certain cinéma français actuel: aucun travail sur le scénario, aucun travail sur les dialogues (d'ailleurs quand la gamine hurle, on ne comprend rien à ce qu'elle dit), en fait aucun travail sur rien ! Si Fabrice veut filmer des paysages, des oiseaux, les nuages, qu'il fasse un documentaire. En plus les deux ados sont horripilants. Les adorateurs se sont fourvoyés, il faudrait qu'ils se reprennent . Film à fuir évidemment.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 361 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2020
    Le jeune Thomas Gioria nous avait touché dans le “Jusqu’à la garde” de Xavier Legrand. A 16 ans, il est déjà sur le devant de la scène avec “Adoration” où il incarne un adolescent solitaire. Il rencontre Gloria, une patiente de la clinique psychiatrique où travaille sa mère. Follement amoureux, Paul et Gloria vont s’enfuir, loin des adultes. Crédible et très ancré dans la réalité, “Adoration” fascine par sa mise en scène surréaliste où les deux protagonistes nous emmène dans un road movie psychologique et mélancolique. Bien que singulière, la fragilité de l’oeuvre la rend difficilement touchante.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    M_wombat
    M_wombat

    19 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 février 2020
    J'ai marché.... mais à côté du film. Si les deux rôles principaux sont excellents, la caméra qui zoom et tremblote de manière intempestive est très fatigante.
    ffred
    ffred

    1 698 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 janvier 2020
    A part Vinyan que j'ai détesté, j'ai plutôt apprécié tous les films de Fabrice du Welz. Après Calvaire et Alléluia, voici le troisième volet de sa trilogie des Ardennes. Adoration possède indéniablement une certaine ambiance. On frissonne parfois, on se demande comment cela va se terminer et on s'attache au personnage du jeune garçon. Il est plutôt bien interprété par Thomas Gioria la révélation de Jusqu'à la garde, bien meilleur que Fantine Hardouin (Happy End, Dans la brume) sa jeune partenaire. Malheureusement, cela s'arrête à peu près là. Il manque une puissance, une force, une certaine noirceur pour vraiment nous faire vibrer et nous captiver complètement. Cela finit un peu par tourner en rond. L'arrivée du personnage de Benoit Poelvoorde remonte un peu tout ça mais ne sauve pas grand chose. Au final, je me suis un peu ennuyé et je n'ai pas vraiment adhéré à cette histoire d'amour entre adolescents en cavale. Déception donc de la part du réalisateur après plusieurs films efficaces. Attendons le prochain...
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2020
    Avec Adoration, Fabrice Du Welz signe une œuvre singulière sur l’histoire d’amour très particulière entre deux adolescents parfaitement campés par Thomas Gioria et surtout une Fantine Hardouin assez terrifiante (notons que Benoît Poelvoorde possède un rôle assez secondaire mais important pour l’histoire). Le cinéaste signe une œuvre assez intrigante et très ambiguë qui peut troubler le spectateur amateur de films de genre mais qui peut le couper du grand public.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 331 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 janvier 2020
    Il y a des fois où, comme face à cet « Adoration », je reste totalement de marbre, insensible, du début jusqu’à la fin.

    Alors dans ces moments là je me pose la question : qu’est-ce qui cloche au point que je n’arrive pas DU TOUT à rentrer dans le film ?
    Une question qui m’a d’autant plus hanté dans le cas présent puisqu’avec « Adoration », j’avais affaire à un film dont le réalisateur m’est pourtant très cher puisqu’il s’agit de Fabrice du Welz.

    Alors certes, c’est vrai que j’ai eu du mal avec sa caméra au poing qui tremblait pour un rien ; avec ses quelques zooms brutaux qu’il fait parfois dans l’espoir de surappuyer certaines émotions ; ou bien encore avec sa photographie jaunie assez baveuse et que je n’ai pas trouvé très raccord avec les lieux, les thématiques et même les costumes. (Quand la couleur portée en permanence par ton héroïne c’est le rouge, tu ne choisis pas le jaune comme teinte dominante. Enfin bon, moi je dis ça, ce n’est peut-être qu’une affaire de goûts après tout…)

    Mais malgré tous ces petits soucis formels, je me dois tout de même de reconnaître qu’au-delà de ça, « Adoration » s’efforce de construire une histoire touchante entre deux adolescents tout en sachant éviter les pièges les plus fréquents.
    Ses personnages sont plutôt crédibles. Non seulement leur écriture tient la route mais en plus ils sont tous deux remarquablement interprétés par les pourtant très jeunes Thomas Gioria et Fantine Harduin. Et à cela s’ajoute même de nombreuses tentatives formelles qui cherchent à exacerber les sens, que ce soit par des effets de lumière, de montage ou bien par des nappes musicales.
    Et pourtant, malgré tout cela, rien n’y a fait. Je suis resté de glace.
    Toujours à l’extérieur de ce film.
    Exaspéré même…

    Mais alors que s’est-il donc passé entre cet « Adoration » et moi ?
    …ou plutôt que ne s’est-il PAS passé ?
    Car en réalité le problème est bien là.
    Il tient non pas dans ce qui est mais plutôt dans ce qui manque
    Or, selon moi, ce qui manque ici à cet « Adoration » c’est de l’élan.
    Pour espérer émouvoir, encore faut-il que le film soit capable de mouvoir.
    A un moment donné, il faut donc forcément que survienne une pichenette ou un déséquilibre qui sorte le spectateur de son immobilisme, de ses certitudes, voire de sa léthargie.
    Or, avec « Adoration », cette pichenette ou ce déséquilibre, chez moi, ils ne sont jamais venus.

    Et la raison à tout cela me semble bien simple.
    Dès la première minute de film, j’avais déjà toute l’intrigue en main.
    J’avais compris qui était ce garçon, ce qui le caractérisait et comment il allait évoluer puis finir. De la même manière que j’avais déjà tout compris de qui était la fille, de ce qui la caractérisait et de comment elle allait évoluer puis finir.
    Un vrai sentier dégagé jusqu’au point d’arrivée.
    Une longue piste d’aéroport d’1h40 allumée d’un bout à l’autre.
    Zéro surprise. Rien que de l’évidence.

    Alors OK, on peut très bien commencer un film comme ça et puis finalement rentrer dedans, progressivement. Mais pour que cette chose survienne, encore faut-il qu’à un moment ou à un autre, le film nous apporte une situation à laquelle on ne s’attendait pas. Une scène qui offre un angle qu’on n’avait pas anticipé. Un décalage. Une richesse.
    Or là, plus le film avançait et plus il ne faisait que confirmer ce que je savais déjà depuis le départ.
    Pire, à force de rester aussi longtemps sur son sentier des attendus et des évidences, il a fini par me lasser. M’ennuyer. M’exaspérer…

    Alors peut-être est-ce sévère de claquer la porte assez sèchement au nez de cet « Adoration ».
    Une étoile sur cinq possibles, c’est violent tout de même, et j’en ai parfaitement conscience.
    Seulement voilà, quand un film – aussi bien joué et aussi honorablement réalisé soit-il – ne parvient à AUCUN moment à me prendre à défaut, c’est qu’au fond il n’a rien de plus à dire que ce que je connais déjà.
    Moi, cet « Adoration », je ne sais pas où je l’ai déjà vu, mais j’ai vraiment l’impression de l’avoir déjà vu mille fois.
    Cette histoire – aussi bien jouée soit-elle – au fond elle est atrocement banale. Prédictible. Et au fond, même purement illustratrice.

    Et moi tout ça, ça m’amène à la conclusion suivante.
    On a beau être un très bon conteur et disposer des meilleurs outils pour transmettre ses récits, quand on n’a rien à dire, toutes ces qualités deviennent vite bien vaines.
    Inutile d’espérer un bon café d’un excellent moulin qui n’a pas de grain.
    Car au fond « Adoration » c’est ça. Ce n’est même pas un mauvais café. C’est juste pas de café du tout. C’est un moulin qu’on regarde tourner à vide, la tasse à la main, à attendre comme un imbécile ce qui ne surviendra pourtant jamais.

    Triste constat donc venant de Fabrice du Welz.
    Lui qui s’était plaint que son expérience américaine l’avait brimé de toute part, voilà que son retour en Europe aboutit à un film aphone.
    C’est d’ailleurs là tout le mal de ce type d’« adoration ».
    A vouloir rester aveugle pour préserver son amour, on en perd sa lucidité.
    Et à défaut d’avoir perdu son cinéma, ici, Fabrice du Welz a tout de même perdu tout le reste, ce qui, au vu du résultat, semble au final presque pire…

    Mais bon… Après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
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