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    Adoration
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    42 critiques spectateurs

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    M_wombat
    M_wombat

    19 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 février 2020
    J'ai marché.... mais à côté du film. Si les deux rôles principaux sont excellents, la caméra qui zoom et tremblote de manière intempestive est très fatigante.
    velocio
    velocio

    1 302 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2020
    ""Adoration" est le 6ème long métrage du réalisateur belge Fabrice Du Welz. C’est en 2004 qu’il a réalisé "Calvaire", son premier long métrage, présenté à la Semaine de la Critique de 2014 et triplement primé au Festival au Festival du Film Fantastique de Gérardmer 2005. Ce film était le premier volet de sa trilogie ardennaise, trilogie qu’il termine avec "Adoration", présenté hors compétition au dernier Festival de Locarno. Entre temps, il y a eu, bien sûr, le deuxième volet, "Alléluia", en 2014, et 3 autres films, dont une incursion dans le thriller avec "Colt 45" en 2014 et des premiers pas américains avec "Message from the king" en 2017.

    Dans le parc qui entoure un asile psychiatrique, un petit oiseau blessé et un gamin de 13/14 ans, Paul, qui prend soin de lui avec beaucoup de précautions. Si Paul se trouve là, c’est parce que sa mère est une employée de cet asile. Par contre, Gloria, une adolescente à peine plus âgée que Paul et dont il fait la connaissance, est dans cet asile en tant que patiente. D’ailleurs la directrice de l’asile met en garde Paul et sa mère, donnant le conseil très ferme à Paul de cesser de rencontrer Gloria. Elle est pourtant attachante, cette Gloria ! On peut d’ailleurs dire que, à certains moments, son comportement semble tout à fait normal. A certains moments …! Car, à d’autres moments, il est patent que quelque chose, chez elle, ne tourne pas vraiment rond et il lui arrive même, parfois, d’adopter un comportement dangereux, pour elle, pour son entourage, pour les deux. En plus, dit-elle la vérité lorsqu’elle affirme à Paul que ses parents sont morts dans un accident d’avion lorsqu’elle avait 5 ans et que c’est son oncle qui l’a fait enfermer afin de récupérer l’héritage ? Malgré les recommandations de la directrice de l’établissement psychiatrique, Paul, subjugué par Gloria, en adoration devant elle, ne résiste pas à apporter son aide à cette dernière dans l’organisation d’une fuite vers le monde extérieur, un monde qui va leur donner la sensation enivrante d’avoir conquis la liberté, un monde dans lequel leur jeunesse va venir parfois se confronter à celui des adultes.

    Avec ses partis pris très intéressants, les oiseaux, les gros plans sur les visages et sur les yeux, les tunnels et les cours d’eau, la brume très souvent présente, le mélange de réalisme poétique et d’onirisme, ""Adoration" narre de façon convaincante une histoire d’amour très particulière entre deux adolescents tout en montrant que la frontière entre ce qu’on appelle folie et normalité est souvent très ténue.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 janvier 2020
    Dans mon avis, c’est un film avec plusieurs vues, mais premièrement je veux dire que c’est très que le film est préparé pour un raison de artistique. J’ai remarqué ça dans des petites choses par exemple que les personnages ne parlent beaucoup et il n’y a pas beaucoup de tense. Il y a aussi des éléments qui ne sont pas très plausible, mais ce n’est pas un problème parce que l’emphases est fixé sur l’élément que Gloria, la fille avec qui Paul tombe amoureux, a des troubles mentales. Deuxièmement je pense que c’est une très beau film d’un sujet qui n’est pas très évident, parce que c’est un sujet interdit. L’histoire du un garçon qui tombe amoureux avec une fille ayant des trouble psychiatriques m’a touché dans mon cœur. Mais c’est un film très artistique, donc le film est fait pour un public limité, mais je recommanderai cette film.
    mat niro
    mat niro

    353 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juin 2020
    J'attendais beaucoup de ce film que je n'avais pu voir en salle et au final c'est la déception qui prime. On peut y suivre deux jeunes adolescents amoureux dans un périple où Paul doit gérer la maladie psychique de Gloria. C'est assez niais dans l'ensemble malgré la prestation plutôt convaincante des deux jeunes. Même si Fabrice Du Welz sait filmer la nature et nous offrir quelques instants poétiques, l'œuvre se révèle trop superficielle pour susciter l'émotion. Même Poelvoorde a du mal à relever le niveau du film...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 novembre 2020
    Adoration est à ce point conscient de tout, de ses effets de style, de ses mouvements de caméra, de son cadrage volontairement mal cadré, qu’il ne touche jamais l’inconscient du geste pur, tant recherché, impossible à obtenir, ne pouvant être qu’une quête. Là se tient la confusion à l’origine même de l’échec du film : le réalisateur pense qu’une approche « artisanale » du cinéma – terme qu’aime employer Fabrice du Welz dans ses interviews – équivaut forcément à se raccorder à quelque chose d’ancestral, de premier voire de primitif, oubliant au passage qu’il est l’héritier d’un certain nombre d’outils et de savoir-faire dont il ne saurait se soulager. On retrouve, devant Adoration, une impression similaire à celle que peut dégager le mythe du bon sauvage pour un lecteur d’aujourd’hui : une fiction, fausse par définition, qui se considère comme vraie, non plus du point de vue de ses faits, mais du point de vue de sa forme. Et il faut bien reconnaître que le long métrage s’avère fort laid, hideux par instants, porté par une caméra tremblotante censée mimer l’instabilité, alors que le spectateur se demande si le projectionniste n’est pas en train de saboter sa séance. On pense à des films, à beaucoup de films : à La Nuit de Chasseur de Charles Laughton (1955), aux Amants Criminels de François Ozon (1999), aux Géants de Bouli Lanners (2011). On oubliera Adoration, petit conte faussement naïf qui se sert de l’errance comme d’un prétexte à une démonstration de forme théorique et stérile.
    nonoxy
    nonoxy

    42 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 février 2021
    Mais quel ennui... c'est long, c'est lent, c'est lassant, l'image n'est pas belle, je n'ai pas accroché du tout...
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 546 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 août 2020
    Chaque rencontre que font les personnages au cours de leur échappée se solde ainsi par un meurtre !!! De l’employée de la clinique jusqu’à Hinkel (Benoît Poelvoorde) un homme bouleversé par la mort de sa femme et à qui Paul semble s’identifier. Le film se referme sur une image glaçante du couple observant une nuée d’oiseaux avec une expression radicalement différente : tandis que Gloria sourit, Paul affiche un air angoissé semblant percevoir dans cet envol un mauvais présage. Le film est marqué dès son début par la fatalité. Lorsque Paul montre avec enthousiasme un oiseau à l’adolescente qui lui annonce impitoyable sa mort prochaine. Comparée de manière insistante aux volatiles dont Paul aime prendre soin celui-ci apparaît comme un oiseau de mauvais augure pour le film. Si Adoration prend le parti de l’épure il n’échappe cependant pas à une forme de lourdeur : la métaphore de l’oiseau de malheur se poursuit ainsi avec une poule (???) que Gloria pense envoyée par son oncle dans le but de lui nuire. Les dialogues sont parfois incompréhensibles et le tout est très mal filmé. Répétant inlassablement les même scènes de la jeune fille qui rencontre un être voit en lui une menace et le détruit. Adoration n’aborde hélas que trop superficiellement la folie de son personnage qui semblait être son sujet principal...
    ffred
    ffred

    1 696 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 janvier 2020
    A part Vinyan que j'ai détesté, j'ai plutôt apprécié tous les films de Fabrice du Welz. Après Calvaire et Alléluia, voici le troisième volet de sa trilogie des Ardennes. Adoration possède indéniablement une certaine ambiance. On frissonne parfois, on se demande comment cela va se terminer et on s'attache au personnage du jeune garçon. Il est plutôt bien interprété par Thomas Gioria la révélation de Jusqu'à la garde, bien meilleur que Fantine Hardouin (Happy End, Dans la brume) sa jeune partenaire. Malheureusement, cela s'arrête à peu près là. Il manque une puissance, une force, une certaine noirceur pour vraiment nous faire vibrer et nous captiver complètement. Cela finit un peu par tourner en rond. L'arrivée du personnage de Benoit Poelvoorde remonte un peu tout ça mais ne sauve pas grand chose. Au final, je me suis un peu ennuyé et je n'ai pas vraiment adhéré à cette histoire d'amour entre adolescents en cavale. Déception donc de la part du réalisateur après plusieurs films efficaces. Attendons le prochain...
    Dionys C.
    Dionys C.

    10 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 janvier 2022
    Cela aurait pu être un très beau scénario malheureusement très mal réalisé, mal filmé, beaucoup trop de lenteurs sans vraiment d'atmosphère, beaucoup d'incohérences et surtout une image très moche... Bref un film belge très commun, noir, déprimant comme l'est trop souvent le cinéma belge. S'il n'y avait pas eu la bonne prestation de Fantine Harduin, toujours excellente dans ses rôles d'ados très perturbées ("Les osselets", "Happy end"), le film n'aurait guère mérité plus d'une étoile. Poelvoorde, dont le rôle est très court, sauve la mise dans son rôle de quinquagénaire déprimé mais c'est là son état normal quand il ne sort pas le grand jeu du comique excessif auquel seuls ceux qui ne le connaissent pas peuvent croire. Décidément le cinéma belge, à l'instar des frères Dardenne, est vraiment à fuir, à l'exception de Jacquot van Dormael !
    Fabien S.
    Fabien S.

    544 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2021
    Un film magnifique sur un garçon qui tombe en adoration envers une fille avec le formidable Benoit Poelvoorde.
    ElleHache
    ElleHache

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 janvier 2020
    Des images époustouflantes de beauté, de jeunes acteurs incroyablement justes malgré la difficulté de leur rôle, une réalisation soignée, ... Le tout au service d'un conte poétique et cruel sur l'amour... A voir absolument !
    Théo Pouillet
    Théo Pouillet

    6 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2020
    Étrange et dérangeant, une belle excursion amoureuse où deux jeunes acteurs très talentueux vont tenter de vivre d'amour et d'eau fraiche sous la menace constante de la maladie. C'est beau, maitrisé et très bien dirigé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 avril 2020
    'Adoration'


    Fabrice du Welz, le réalisateur d'Adoration, vous entraîne dans l'histoire de Paul, un rêveur de 14 ans. Sa mère est une femme qui travaille dans un hôpital psychiatrique. Son père a disparu de leur vie il y a longtemps. Pendant les vacances d'été, une nouvelle patiente est arrivée, Gloria, une adolescente schizophrénique. La schizophrénie est une sorte de trouble mental... Ça veut dire que vous pouvez avoir des hallucinations, des délires et des troubles de la pensée..., que vous êtes paranoïde.

    Mais au début Paul ne sait pas que Gloria est schizophrénique. Paul tombe amoureux d'elle et ensemble, ils fuient le monde des adultes. J'ai vu ce film à Bruges, dans le cinéma Lumière qui est connu pour ses films artistiques. Adoration s'inscrit parfaitement dans ce cadre. Pendant les 10 premières minutes du film, je ne savais pas de quoi il s'agissait et certainement pas dans quelle direction le film pouvait évoluer.

    C'est un film très abstrait et artistique, parce que les acteurs parlent à peine. Le cinéaste a réussi à communiquer avec le public à travers les cignes mimiques des personnages, les gestes et la manière sobre de visualiser... c'est une œuvre d'art en soi. Malgré le fait que ce film est un grand ouvrage artistique, il est très lourd et mélancolique. Il ne présente pas la gaieté ou la joie de vivre... et il incite à méditer sur la vie.

    Durant le film, vous suivez étroitement les personnages, donc l'évolution est accentuée. À cause d'interactions soudaines, vous pouvez analyser le comportement des personnages et mieux comprendre leurs pensées.

    Je ne recommanderais certainement pas le film à mes amis ou à autres jeunes. Je pense qu'Adoration convient mieux à un public plus âgé qui aime les films mélancoliques et psychologiques.


    (Manon Bohyn, 16 ans, Bruges – 2020)
    Min S
    Min S

    58 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 septembre 2020
    Un film à rhytme lent, je n'ai pas vraiment accroché à l'univers, les personnages je ne les ai pas trouvé attachants. L'histoire ok mais sans plus
    Nathalie R
    Nathalie R

    24 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2020
    Adoration laisse plus de sensations que de réponses à son spectateur. On a la même impression qu'après la lecture d'un poème, qu'on se répète, qu'on ressent, à la recherche d'un sens caché. Fabrice de Weltz signe ici un conte contemplatif et poétique, à la fois doux et cruel, qui ne laissera pas son spectateur indifférent.
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