Après "Le crime de l'Orient Express", Kenneth Branagh poursuit son envolée dans ce qui pourrait à l'avenir devenir une trilogie "Hercule Poirot", un policier très exotique et brulant emmener par un casting de haute volée même si pour la moitié de ce dernier, il m'est bien inconnu. De Gal Gadot ("DCEU", "Fast & Furious 4") à Emma Mackey ("Eiffel") en passant par Letitia Wright ("MCU"), toute ces femmes ont suent nous convaincre au travers de leur caractère et réaction sincère. Gal et Emma ont été dès le début, de véritable femmes fatales, limite Playmates et donc femmes de charme comme lors de cette soirée dansante ou Emma joue l'érotisme fort, Gal complétant par son parler, sa mise en scène ainsi que par le fort moment à Abou Simbel, des actrices totalement imprégnées de leur rôle dans un décors totalement exotique. Les autres membres, ayant pour certains bien plus d'expérience cinématographique, reste également à leur place et maque de leur talent.
Sur le plan visuel et technique, Branagh à complètement réussi à réaliser des plans fluides, non bougeant et toujours statique, élégant et propres, plusieurs mini plans séquences pour nombres de scènes impeccable et à l'esthétique bluffant. La photo dont l'éclairage plateau fut parfait, les décors furent aussi splendide, cet énorme navire de croisière en guise de personnage secondaire fut par contre assez basique, impossible de réellement dire s'il s'agit bien d'un navire des années 30 à 40. Les temples égyptiens furent parfaitement exploiter malgré une imposante et bien malheureusement maigre qualité numérique. Pour un film 20th Century Studio et produit par Ridley Scott, le numérique ne fut pas présent, certes très coloré, très "lubrifier" et scintillant, les plans réels combinés aux digitaux furent beaucoup facile à différencier.
Mais je n'peux pas non plus cacher mon plaisir d'avoir vu des lumières parfaitement bien gérer. Enfin, Branagh lui-même en incarnation un nouvelle fois d'un des policiers les plus connu au monde, une parler, une gesticule et mise en scène toujours si bien gérer, au service d'un scénario d'abord simple à suivre, mais sur le milieu et fin, s'il y eu quelques évidence dès le départ, le complément resta compliquer à parfaitement suivre. Le Nil à frappé, ou Poirot ira t-il désormais poser ses valises ?