Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce qui est remarquable, c’est la délicatesse de son approche. Évitant toute outrance avec ce personnage de travelo usé et peu sophistiqué, il fait la folle sans en rajouter comme un Michel Serrault de sinistre mémoire – y compris dans la dimension festive du protagoniste, qui n’est pas absente non plus.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Voici
par La Rédaction
Au Chili, pendant la dictature de Pinochet, un vieux travesti est abordé par un jeune révolutionnaire qui lui demande de cacher des documents dans son appartement. Entre eux, se noue une relation délicate et forte, faite de de risques et de retenue.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Drôles, tendres ou poignantes, toutes les facettes du film passent par Alfredo Castro.
L'Obs
par François Forestier
Le film distille une émotion étonnante, pour une love story ponctuée d’instants d’humour, dominée par Alfredo Castro, magnifique acteur, directeur d’une troupe nommée « Théâtre de la Mémoire », qui se bat contre l’oubli des années de peste brune au Chili.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une narration fluide et des images soignées au service d’un formidable récit sur les faux-semblants.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par François Léger
Un vrai film de personnages, touchant et vibrant, qui aurait juste gagné à ne pas autant mettre de côté la dictature de Pinochet.
Positif
par William Le Personnic
Le film de Rodrigo Sepúlveda fait preuve d’une réelle qualité de filmage, avec des cadres d’une sobriété élégante et une photographie aux teintes pastel pour dépeindre une époque aux contours ombrageux.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Quand la lutte communiste contre la dictature Pinochet au Chili se mêle d’amour et d’amitié, cela donne un film touchant et bourré de délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si la mise en scène, rehaussée par une photo soignée, est un peu sage, l’ensemble séduit par sa finesse et sa drôlerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le film fait ressortir intelligemment le paradoxe d’une gauche révolutionnaire qui s’est souvent désintéressée du sort des homosexuels. C’est à la fois la limite de ce drame sentimental, le scénario tournant parfois un peu en rond, et sa force, le réalisateur assumant le parti pris d’un récit resserré sur l’intime.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
[Un] film, qui n’a rien de l’éclat de son auteur original, mais vaut pour l’interprétation nuancée d’Alfredo Castro, face à qui Leonardo Ortizgris semble totalement éteint.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par François Léger
Très beau, même si l’obstination de Sepulveda à dépolitiser son film l’empêche d’accéder à un niveau supérieur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Doué pour les atmosphères, le réalisateur fait vibrer une vie de solitude où, soudain, de vrais sentiments se mêlent à ceux des chansons mélos, comme celle citée par le titre, interprétée par Lola Flores. Le beau guérillero est un peu lisse mais le travesti a, comme son interprète, Alfredo Castro, un magnétisme magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La mise en scène est flottante, simple illustration d’un récit par ailleurs émouvant. Mais le film ne se montre pas du tout à la hauteur de l’œuvre très politique de Lemebel. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
Ce qui est remarquable, c’est la délicatesse de son approche. Évitant toute outrance avec ce personnage de travelo usé et peu sophistiqué, il fait la folle sans en rajouter comme un Michel Serrault de sinistre mémoire – y compris dans la dimension festive du protagoniste, qui n’est pas absente non plus.
Voici
Au Chili, pendant la dictature de Pinochet, un vieux travesti est abordé par un jeune révolutionnaire qui lui demande de cacher des documents dans son appartement. Entre eux, se noue une relation délicate et forte, faite de de risques et de retenue.
Femme Actuelle
Drôles, tendres ou poignantes, toutes les facettes du film passent par Alfredo Castro.
L'Obs
Le film distille une émotion étonnante, pour une love story ponctuée d’instants d’humour, dominée par Alfredo Castro, magnifique acteur, directeur d’une troupe nommée « Théâtre de la Mémoire », qui se bat contre l’oubli des années de peste brune au Chili.
Les Fiches du Cinéma
Une narration fluide et des images soignées au service d’un formidable récit sur les faux-semblants.
Ouest France
Un vrai film de personnages, touchant et vibrant, qui aurait juste gagné à ne pas autant mettre de côté la dictature de Pinochet.
Positif
Le film de Rodrigo Sepúlveda fait preuve d’une réelle qualité de filmage, avec des cadres d’une sobriété élégante et une photographie aux teintes pastel pour dépeindre une époque aux contours ombrageux.
aVoir-aLire.com
Quand la lutte communiste contre la dictature Pinochet au Chili se mêle d’amour et d’amitié, cela donne un film touchant et bourré de délicatesse.
Le Journal du Dimanche
Si la mise en scène, rehaussée par une photo soignée, est un peu sage, l’ensemble séduit par sa finesse et sa drôlerie.
Le Monde
Le film fait ressortir intelligemment le paradoxe d’une gauche révolutionnaire qui s’est souvent désintéressée du sort des homosexuels. C’est à la fois la limite de ce drame sentimental, le scénario tournant parfois un peu en rond, et sa force, le réalisateur assumant le parti pris d’un récit resserré sur l’intime.
Libération
[Un] film, qui n’a rien de l’éclat de son auteur original, mais vaut pour l’interprétation nuancée d’Alfredo Castro, face à qui Leonardo Ortizgris semble totalement éteint.
Première
Très beau, même si l’obstination de Sepulveda à dépolitiser son film l’empêche d’accéder à un niveau supérieur.
Télérama
Doué pour les atmosphères, le réalisateur fait vibrer une vie de solitude où, soudain, de vrais sentiments se mêlent à ceux des chansons mélos, comme celle citée par le titre, interprétée par Lola Flores. Le beau guérillero est un peu lisse mais le travesti a, comme son interprète, Alfredo Castro, un magnétisme magnifique.
Les Inrockuptibles
La mise en scène est flottante, simple illustration d’un récit par ailleurs émouvant. Mais le film ne se montre pas du tout à la hauteur de l’œuvre très politique de Lemebel. Dommage.