AlloCiné
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Un film de série B à voir comme un jeu vidéo, les scènes d'action sont convaincantes et ne s'usent pas avec les répétitions.
Mon premier (improbable) coup de coeur de l'année. Humour, action garantis. Franck Grillo est-il en train de devenir le nouveau Liam Neeson ? Il enchaîne les films d'action ces dernières années. Il est de retour dans Boss Level où il sort une prestation de bonne facture. Une sorte de Edge of tomorrow avec une bonne dose d'humour à déguster sans modération.
Contre toute attente... J'ai bien aimé et j'ai vraiment bien rigolé, comme quoi, même si le sujet a été, est, et sera encore mainte fois abordé, et d'ailleurs quelques clins d'œils y font référence, il est possible de nous surprendre
Je voulais pas le voir à cause du sujet ressassé et à cause de l'acteur que je n'apprécie pas plus que ça et... Au final, je ne vois pas d'autre que lui maintenant
Une suite ?
Je voulais pas le voir à cause du sujet ressassé et à cause de l'acteur que je n'apprécie pas plus que ça et... Au final, je ne vois pas d'autre que lui maintenant
Une suite ?
Le cas du jour sans fin commence à être vu et revu, il faut de l'innovation pour pouvoir renouveller tout ça.
Le rythme est poussé, pas de moment de ceux, des passages comiques, de l'action. Mel n'a pas son meilleur rôle mais une belle barbe. très bien.
Le rythme est poussé, pas de moment de ceux, des passages comiques, de l'action. Mel n'a pas son meilleur rôle mais une belle barbe. très bien.
Un nanard à l'action outrageusement décomplexée, sans grande originalité et avec une interprétation passable, relativement divertissant si on n'est pas trop exigeant... Les clins d'oeil à l'univers de jeux vidéo ajoutent un coté décalé sympathique, et on finit par s'attacher au personnage pour chercher à résoudre avec lui l'énigme du film.
Le Rabzz
Ça fait plaisir de voir un bon Frank Grillo, le film n'est pas ouf n'ont plus mais il fait le taf, Mel Gibson par contre c'est à la limite de la figuration, son rôle de colonel est plat et sans saveur, son personnage n'est même pas développé ce qui est une déception encore plus grande et la jolie Naomi Watts mis à part sa beauté ou on croirait quel n'a pas prit une ride depuis King Kong, son rôle est vraiment plus que secondaire.
Vu Boss Level l'histoire de Roy Pulver qui ne cesse de revivre la même journée attaqué par une horde d'assassins il doit découvrir qui a tuer sa femme Film Fun bourré d'action et de second degré le film a voir pour son casting ⭐⭐⭐
Il y a du Tarentino et du Guy Ritchie dans cet ovni ... On ne s'ennuie pas une minute et l'humour est omniprésent. Très divertissant (si on ne regarde pas le scénario de trop prêt) et bande son top ....
Bon film, bien rythmé, avec une boucle temporelle comme j'en raffole.
Cependant, la fin est un gros regret à mes yeux.. 3.5/5
Cependant, la fin est un gros regret à mes yeux.. 3.5/5
C'est un film excellent le scénario est très intéressant à la fois drôle et avec beaucoup d'action franck grillo est très bon (juste à part la dernière scène du film ou on reste un peu sur sa faim) sinon le reste est super a voir
Depuis ‘Un jour sans fin’, le film-à-reboot (à ne pas confondre avec le reboot-d’un-film) est devenu une valeur sûre du cinéma américain, étendant ses tentacules de la science-fiction (‘Source code’, par exemple) à la comédie romantique (le récent ‘Palm springs’). On pourrait aussi définir le concept comme le “film Die & Retry” d’autant plus que ‘Boss level’, juste au cas où son titre ne serait pas suffisamment explicite, se pense comme un hommage aux jeux vidéo : un type se réveille jour après jour avec des tueurs qui veulent le liquider, et la bonne connaissance des événements scriptés va lui permettre de survivre et même d’en apprendre plus sur le pourquoi du comment. Les références abondent, qu’il s’agisse d’un entraînement pour monter en XP ou de la phrase de victoire d’un pseudo- boss de fin de niveau répétée ad nauseam, faisant de Boss level’ une série B qui s’assume comme tel, ce qui est toujours bon signe quand quelqu’un de compétent est aux commandes. Joe Carnahan, capable d’excellents films de franc-tireur comme de purs productions de commande, a clairement choisi la voie de l’actionner rigolard, pour un résultat loin d’être inoubliable mais néanmoins honorable.. Le scénario nawak ne présente d’autre intérêt que de permettre à Mel Gibson de faire un petit tour de piste en bad guy machiavélique ; en revanche, les multiples façons dont trépassera Frank Grillo se savourent comme une bonne partie de Mortal Kombat.
Bon film d actions ... "un jour sans fin" version je meurs et ça recommence... une bonne distribution, pas forcément original question scénario mais ça envoie, avec de l humour ... et c est déjà pas mal
Dés son deuxième long métrage, Joe Carnahan s'est révélé grâce à son polar "Narc", film doté d'une grande noirceur. Sa carrière pris un virage à 360 et il commença à réaliser des longs métrages d'actions fun et décomplexé (si on met de côté Le territoire des loups) comme peuvent l'être Mise à prix ou encore L'agence tout risque. Boss Level est dans leurs lignée.
Le film reprend le concept d'Un jour sans fin déjà, vu cette année avec Palm Springs. Dans son registre, il possède un peu les mêmes qualités et mêmes défauts que ce dernier même si il est moins abouti.
Très référencé jeu vidéo, le héros doit franchir des sortes de niveau, combattre des boss (rappelant certains personnages de Mise à prix) pour pouvoir avancer dans la journée. Comme pour ce média, le film est rempli de easter egg. On retrouve un caméo de son réalisateur ou encore une pique très drôle envoyé par Frank Grillo à Liam Neeson (présent dans Le Territoire des Loups de ce même Carnahan).
Le film commence sur les chapeaux de roues. Il rend son concept jouissif en enchaînant des situations à la fois badass et très drôle. Il réussit à garder un rythme soutenu tout le long en évitant le plus possible la sensation de répétition même si il nous arrive au bout d'un moment à un peu la ressentir. Le film peut faire parfois penser à Hyper tension dans son côté gros délire.
Le souci du film vient principalement, lorsqu'il se prend au sérieux même si étrangement l'émotion se dégageant de la relation entre son héros et de son fils fonctionne. Puis surtout les enjeux sont très classique, vu et revu dans ce genre de film et le grand méchant est très archétypal. Heureusement qu'il est joué par le charismatique Mel Gibson. Naomi Watts, incroyable actrice, n'a pas non plus grand chose à se mettre sous la dent et son personnage manque cruellement de souche. Frank Grillo massif au possible semble s'éclatait comme un fou et on s'amuse autant que lui le voir enchaînait des situations à la fois drôle et explosives.
Bref Boss Level ne révolutionne en rien ce genre de film. Les enjeux et le final sont assez simpliste, et le film n'est jamais aussi bon que lorsque il s'éclate de son concept grâce à un montage énergique, et un Frank Grillo charismatique. Un bon défouloir.
Le film reprend le concept d'Un jour sans fin déjà, vu cette année avec Palm Springs. Dans son registre, il possède un peu les mêmes qualités et mêmes défauts que ce dernier même si il est moins abouti.
Très référencé jeu vidéo, le héros doit franchir des sortes de niveau, combattre des boss (rappelant certains personnages de Mise à prix) pour pouvoir avancer dans la journée. Comme pour ce média, le film est rempli de easter egg. On retrouve un caméo de son réalisateur ou encore une pique très drôle envoyé par Frank Grillo à Liam Neeson (présent dans Le Territoire des Loups de ce même Carnahan).
Le film commence sur les chapeaux de roues. Il rend son concept jouissif en enchaînant des situations à la fois badass et très drôle. Il réussit à garder un rythme soutenu tout le long en évitant le plus possible la sensation de répétition même si il nous arrive au bout d'un moment à un peu la ressentir. Le film peut faire parfois penser à Hyper tension dans son côté gros délire.
Le souci du film vient principalement, lorsqu'il se prend au sérieux même si étrangement l'émotion se dégageant de la relation entre son héros et de son fils fonctionne. Puis surtout les enjeux sont très classique, vu et revu dans ce genre de film et le grand méchant est très archétypal. Heureusement qu'il est joué par le charismatique Mel Gibson. Naomi Watts, incroyable actrice, n'a pas non plus grand chose à se mettre sous la dent et son personnage manque cruellement de souche. Frank Grillo massif au possible semble s'éclatait comme un fou et on s'amuse autant que lui le voir enchaînait des situations à la fois drôle et explosives.
Bref Boss Level ne révolutionne en rien ce genre de film. Les enjeux et le final sont assez simpliste, et le film n'est jamais aussi bon que lorsque il s'éclate de son concept grâce à un montage énergique, et un Frank Grillo charismatique. Un bon défouloir.
J'adore les films sur le temps et Un jour sans fin étant est l'un de mes préférés. Ce n'est pas le niveaux de ce film bien sûr mais il est très bien écrit et exécuté. Je suis plus que surpris et mes attentes ont été plus que satisfaites. Les dialogues, l'exécution, la valeur sentimentale, les personnages et les scènes d'action sont excellentes. Il n'y a rien que j'ai détesté et surtout rien que je changerais dans cette histoire. Je le regarderais même à nouveau à l'avenir et c'est une très bonne chose pour un film...
Jubilatoire, sans complexes, jouissif et survitaminé.
La scène de début du jeu vidéo est magistrale et sera exploitée avec tous ses variants et angles durant tout le film, car dans ces retro-games, on reprend tout depuis le début.
Jouissif second degré : la tête tranchée tombe et rebondit dans l'escalator, ANABOLISANT et STEROIDE le poursuivent, épée au milieu du front tel une licorne, la mitrailleuse finale de l'enfer, le flingue de Hitler à 750000$,...
Le prototype OSIRIS est un peu kitsch mais c'est normal c'est un retro-game.
Jouissif je me répète...
La scène de début du jeu vidéo est magistrale et sera exploitée avec tous ses variants et angles durant tout le film, car dans ces retro-games, on reprend tout depuis le début.
Jouissif second degré : la tête tranchée tombe et rebondit dans l'escalator, ANABOLISANT et STEROIDE le poursuivent, épée au milieu du front tel une licorne, la mitrailleuse finale de l'enfer, le flingue de Hitler à 750000$,...
Le prototype OSIRIS est un peu kitsch mais c'est normal c'est un retro-game.
Jouissif je me répète...
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