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    Benni
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    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juin 2020
    " Benni" grand gagnant des " césars" allemand cette année est un drame sur l'enfance qui marque l'esprit. En effet le film doit beaucoup à sa jeune interprète Helena Zengel qui pour son jeune âge offre une interprétation spectaculaire avec des séquences d'une rare intensité sur une fillette qui a cruellement besoin d'amour et qui par son caractère violent n'a pas sa place dans la société allemande. Dommage que le film finit par lasser par son caractère répétitif entre espoir et issue sans fin.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    376 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2020
    C'est un très bon film sur le thème de l'accompagnement social et éducatif des enfants en difficulté. Et le cas de BENNI traité dans ce film est plutôt « gratiné ». Cette jeune fille de 9 ans est particulièrement perturbée dans son comportement. L'interprétation de cette jeune fille est très réussie pour un rôle très difficile à assurer.
    C'est aussi le premier long métrage de la réalisatrice de ce film qui en a également fait l'écriture. Pour cela, elle s'est immergée dans des milieux sociaux et éducatifs qui traitent ce genre de cas afin de bien s'imprégner du sujet et c'est parfaitement réussi au final. C'est donc un film sur les métiers liés à l'éducation et la réinsertion sociale d'enfants en difficulté et la réalisatrice a bien su nous faire percevoir les véritables difficultés rencontrées. Tout est parfaitement crédible et aussi très émouvant.

    Bernard CORIC.
    adèle h
    adèle h

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2020
    film poignant , sans happy end ni fin malheureuse ,film realiste,
    qui pose les questions de la limite affective entre soignant soigner.
    Parents dépasser avec leur propre enfant , espoir desespoir drame d'un systeme de santé
    genial!!!
    Jorik V
    Jorik V

    1 272 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2023
    La réalisatrice germanique Nora Fingschteidt avait réalisé une première œuvre fort remarquée un peu partout dans les festivals avant l’excellent drame « Impardonnable » porté par Sandra Bullock et sorti sur Netflix il y a un an. Il s’agit de ce film d’auteur à consonnance sociale sur une petite gamine de six ans, complètement ingérable suite à un traumatisme durant son enfance (dont on ne saura malheureusement pas grand-chose ici et c’est d’ailleurs un peu frustrant). Ballottée de foyer en foyer par l’assistance sociale, en plein décrochage scolaire, crainte par ses familles d’accueil dont la plupart ne veulent puis d’elle, la petite est un cas extrême qu’un éducateur va parvenir à apprivoiser. Un joli récit, une histoire forte et des enjeux poignants cependant handicapés par quelques défauts propres aux premières œuvres.

    D’abord, dans « Benni » on reprochera clairement une mise en scène anodine et pas toujours inspirée. La représentation des plus grosses crises de l’enfant lorsqu’on lui touche le visage est un peu facile et cliché avec son montage d’images erratique censé représenté le traumatisme et les visions de l’enfant. La réalisation de la néo-cinéaste est un peu impersonnelle ou alors coche toutes les cases de ce type de cinéma, britannique en premier lieu. En somme ce n’est pas à ce niveau que le film est le plus remarquable. Pareillement, le scénario souffre de redites perpétuelles et, par là même, le long-métrage nous apparaît donc trop long pour ce qu’il a à raconter. En gros, le film est construit de manière répétitive entre les crises de Benni et les moments d’apaisement ou ceux où son entourage cherche des solutions. Voir ce schéma se répéter une bonne dizaine de fois devient lassant, le film aurait donc pu être largement raccourci ou alors davantage développer l’aspect social comme l’incapacité des services sociaux à gérer ce type de cas particuliers.

    Cependant, on ne peut nier l’extraordinaire force de frappe émotionnelle de ce premier long-métrage fait avec le cœur. Pas de chantage à l’émotion ni vraiment de pathos excessif, l’émotion nous parvient naturellement, sans forcer, comme par exemple lorsque l’assistance sociale à court d’idées et à bout de nerfs éclate en sanglots. Simple et bouleversant. La relation entre cet éducateur et la petite est également bien retranscrite et de toute beauté. Mais que serait « Benni » si l’équipe derrière le casting de ce film n’avait pas déniché la perle parfaite pour le rôle. En effet, la jeune Helena Zengel est tout bonnement époustouflante dans un rôle vraiment pas facile. C’est ce qui s’appelle une tornade, aussi bien dans son jeu que dans son comportement. Elle fait passer une gamme d’émotions incroyable parfois même plus nuancé que certains bons acteurs adultes. Elle a d’ailleurs depuis tourné avec Tom Hanks dans « La Mission ». Le film lui doit beaucoup et malgré ses quelques défauts et maladresses, il marque l’esprit.

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    elriad
    elriad

    433 abonnés 1 859 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2022
    Bernadette, Benni pour tout le monde, va sur ses 10 ans, et sa vie se résume à être trimballée de famille d'accueil en foyer. Car sa mère, instable, ne parvient pas à gérer la jeune fille en proie à de violentes crises. Il faut dire que Benni est plus que perturbée. Victime d'un traumatisme d'enfance, elle devient en quelques secondes d'une violence effrayante, crache, mord, insulte, donne coups de pieds et coups de poings sans pouvoir être raisonnée. Elle a d'ailleurs un traitement pour cela.
    Réaliste, la caméra suit la plongée de cette gamine obsédée par le désir de retourner vivre chez sa mère. Le spectateur en apnée ne voit aucune lumière à l'horizon de ce film dur, malgré éducateurs et auxiliaire d'école qui feront tout pour lui rendre une vie plus équilibrée. La grande révélation est bien sûr Helena Zengel, qui du haut de ses 13 ans porte le film sur ses épaules. Albrecht Schuch, bluffant avec son personnage dans le très bon "Berlin Alexanderplatz" donne la réplique. Pas aussi puissant que le magnifique " Mommy", réalisé en 2014 par Xavier Dolan, mais un film sincère, récompensé à juste titre avec un nombre d'entrées record en Allemagne.
    PLR
    PLR

    466 abonnés 1 559 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juin 2020
    Ça fait partie de ces films coup de poing sur des sujets difficiles. En d’autres temps à la télévision, un tel sujet aurait été suivi d’un débat pour explorer davantage le tenants et aboutissants psychologiques ou psychiatriques de la situation telle que décrite. Ici, on restera dans le factuel. Le spectateur essaiera bien de discerner quelque chose, une cause, un effet, une situation de cause à effet et ce faisant chercher peut-être une lueur d’espoir, un point de sortie bien qu’il ne soit guère accompagné par le scénario. Sans doute les spécialistes de l’enfance, des troubles neurologiques, de la pédopsychiatrie, des enfants « cinglés » (comme traduit de l’allemand dans le sous-titrage français), que d’aucuns essayent d’éduquer avec les impôts des autres (l’Allemagne profonde qui n’a rien à envier à la France identique), trouveront davantage leurs points de repère. Comme à la sortie d’un film catastrophe, les parents d’enfants « ordinaires » (autant que tout un chacun peut l’être) seront soulagés pour eux-mêmes d’y avoir échappé ! Quant à ceux qui sont confrontés à un tel drame au sein de leur famille, mieux vaut qu’ils n’aillent pas voir ce film au risque de retourner le couteau dans la plaie. C’est qu’elle est dangereuse pour les autres la petite Benni ! Steve dans Mommy (2014) ne l’était pas moins. Et sauf à imaginer l’asile psychiatrique (on dira hôpital ou centre fermé) quand Benni aura l’âge, il ne semble pas qu’une solution puisse se dessiner. Malgré les efforts éducatifs, la mobilisation de moyens, l’empathie, un pas en avant et rapidement deux en arrière. Ce film est donc aussi un hommage à ceux dont c’est le travail d’accompagner jusqu’à leur propre épuisement parfois ou envie de renoncer.
    Aulanius
    Aulanius

    196 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 décembre 2023
    Le film est vraiment très touchant, sur ça on ne peut pas dire le contraire. La jeune actrice principale joue super bien pour son âge et j'ai pu retrouver celui qui joue son AVS (que j'avais adoré dans "Bad Banks"). J'ai bien aimé la relation entre les deux. C'est hélas des histoires qui arrivent très souvent dans la vie, trop souvent même. Niveau fond, c'est assez réussi mais quelques hics sur la forme malgré tout. Déjà, j'ai trouvé insupportable que l'on entende des hurlements tout du long, vraiment c'était trop à ce niveau là. On tourne en rond par moments et c'est répétitif. C'est une bonne réalisation allemande, pas déçu mais je pense qu'avec certains ingrédient en plus, ça aurait pu être une vraie réussite. À vous de juger maintenant. 12/20.
    orlandolove
    orlandolove

    135 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2020
    Un film très intense, visiblement très documenté et remarquablement interprété. La mise en scène est engagée et fonctionne plutôt bien. Nos émotions font les montagnes russes, selon un mécanisme scénaristique qui peut paraître un peu répétitif sur la durée.
    Charles R
    Charles R

    51 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 juillet 2020
    Un petit conseil formulé d’emblée : si vous recherchez un film de divertissement propre à saluer le déconfinement, n’allez surtout pas voir Benni qui est l’un des films les plus éprouvants que l’on puisse imaginer. Mais si vous avez une armure d’acier qui vous protège des empathies cinématographiques, n’hésitez pas : ce film est tout bonnement admirable.
    Bernadette, surnommée Benni, est une petite fille de neuf ans, une jolie blondinette qui sait avoir un sourire d’ange. Mais son esprit est atrocement perturbé, au point qu’elle ne peut supporter qu’on lui touche le visage, ce qui déclenche alors des crises qui se traduisent par des cris interminables et une attitude d’une violence extrême. Délaissée par une mère totalement incapable de se prendre en charge elle-même et d’assumer son rôle de mère, Benni est ballottée de services sociaux en familles d’accueil et se voit refuser l’accès aux innombrables foyers sollicités, tant sa conduite s’avère ingérable. Seul un éducateur s’occupera pleinement d’elle, mais à ses risques et périls surtout lorsqu’il l’introduit dans son propre foyer.
    Le propos de la réalisatrice Nora Fingscheidt est clair : comment un être fragile – en l’occurrence un enfant – peut-il s’intégrer dans une société qui n’est pas faite pour lui ? Comment la société des êtres « normaux » peut-elle prendre en charge une personne à l’esprit malade et qui peut constituer un véritable danger physique et moral pour son entourage ? La réponse la plus appropriée serait l’amour, cet amour qui lui fait tant défaut dans sa famille comme dans ses relations avec les autres enfants. Mais Nora Fingscheidt se garde bien d’apporter des solutions angéliques à ce problème : aussi le film s’achèvera sur un énième point d’interrogation.
    Saluons en tout cas l’extrême virtuosité avec laquelle la cinéaste sait nous introduire au cœur de la maladie mentale. Et l’on ne pourra que faire le rapprochement avec l’inoubliable Mommy de Xavier Dolan. Oh, il est des scènes pénibles à voir et à entendre : lors des crises de l’enfant, l’écran se couvre de motifs abstraits et vivement colorés défilant selon un montage radical et la musique se fait agressive au possible. Ainsi tout voyeurisme est évité : c’est au spectateur de vivre le temps d’une crise la douleur paroxystique qu’éprouve la petite Benni.
    Il fallait une jeune actrice hors du commun : la cinéaste l’a rencontrée en la personne d’Helena Zengel, une petite rebelle hyperactive qui a trouvé dans son rôle un moyen de donner libre cours à son incroyable énergie. Ajoutons un casting remarquable dont se détachent Albrecht Schuch, admirable d’humanité dans son rôle d’éducateur, et Gabriela Maria Schmeide, qui incarne avec une belle humilité la directrice du centre social. Sans aucune démagogie et sans la moindre compassion larmoyante, le film se présente ainsi comme un hommage aux travailleurs sociaux et en particulier aux éducateurs qui exercent leur mission avec un dévouement exemplaire et dont l’action est trop souvent méconnue, voire tenue pour négligeable par les pouvoirs publics.
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2020
    Bernadette a neuf ans trois quarts. Hyperactive, elle est sourde à toute forme d'autorité et résiste avec la dernière violence à ceux qui entendent la lui imposer. Sa mère a baissé les bras. Les services sociaux ont pris, sans succès le relais.

    L'enfant a souvent été présenté, dans la littérature ou au cinéma, chez Dickens ou Hugo, comme la victime innocente d'un ordre implacable. C'est récemment, avec "Les Quatre Cents Coups" de Truffaut qu'il a été érigé en sujet autonome, au moins autant acteur que victime de sa propre destinée. On en trouvait la figure dans un autre film allemand, "Jack", que j'avais classé dans mon Top 10 de l'année 2015 mais qui hélas était passé inaperçu.

    C'est précisément cette ambiguïté dans le personnage de Benni qui la rend plus crédible et plus intéressante. Malgré sa blondeur et ses yeux bleus, Benni n'a rien d'angélique. Un traumatisme dans sa petite enfance (viol ? tentative d'infanticide ?) déclenche des réactions d'une rare violence dès qu'on lui touche le visage. Sa soif inextinguible d'amour maternel est constamment trahie par les fausses promesses de sa mère. Toutes les solutions de rechange que lui proposent inlassablement les services sociaux, incarnés par Mme Bafané, cette assistante sociale d'une infinie patience au centre de la scène la plus déchirante du film, et par Micha, cet éducateur jeune père de famille qui la prendra sous son aile au risque d'y perdre la distance, sont pour Benni des pis-aller inacceptables.

    Le film pourrait faire du sur-place, s'enfermer dans une succession infiniment répétée de rémissions (un séjour en forêt avec Micha) et de rechutes (une nouvelle fugue, une nouvelle bagarre). Chaque espoir que fait naître l'amélioration de l'état de Benni semble condamné à être fatalement douché par une nouvelle déception. Sans doute, le scénario avance-t-il sur ce rythme binaire. Mais il a l'intelligence d'offrir suffisamment de bifurcations pour ne pas être prévisible. Et surtout, il laisse suspendu, jusqu'au plan ultime, dont je ne suis d'ailleurs pas certain d'avoir épuisé le sens, le sort de l'héroïne : chute ou guérison ?

    Le titre original du film, "Systemsprenger" (dynamiteur du système), donne à la jeune Benni une dimension politique qu'elle n'a pas : elle ne dynamite pas le système, pas plus que l'attention inépuisable quoique stérile qu'une cohorte d'éducateurs lui prodigue démontrerait je-ne-sais-quel gaspillage de l'argent public. Le titre français, "Benni", est bien meilleur qui recentre le film sur son seul sujet : son héroïne.
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juillet 2020
    C’est un film plein, entier, aussi énergique que sa jeune héroïne échappée des ghettos traditionnels de l’enfance pour assouvir une colère permanente, une rage incessante envers ce monde dans lequel elle n’arrive pas à se situer. Avec une mise en scène vertigineuse ( ad-hoc au sujet) ,la réalisatrice s’accorde sur un montage strident, coupé au couteau, qui n’en finit pas de ressasser les mauvais coups. 9 ans le personnage, trois ans de plus pour la comédienne qui est extraordinaire. Comment peut-elle aussi bien jouer l’enfermement, exprimer la rage et la colère, se donner sans retenue dans un personnage impossible ? Certaines scènes de violence sont hyper-dures à supporter , mais le film là encore est entièrement cohérent avec cet enfant qui ne sait pas comment grandir. Les questions demeurent souvent sans réponse. Le problème posé figure toujours au rang d’un quotidien désespérant. On y croise bien ces éducateurs qui jusqu’au bout de leur limite tentent de garder une main tendu vers ce petit bout de femme en totale perdition. Indomptable, insaisissable , intraitable , ingérable . Un film urgent …
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 août 2020
    Benni, une petite fille de 9 ans, est ingérable ; mais du type relevant de la maladie psychiatrique. A chaque contrariété, elle pète littéralement un câble avec une rare violence que même les adultes ne parviennent à contenir. Educateurs, familles d’accueil, AVS ; tous se cassent les dents mais s’investissent à fond pour lui trouver une solution et éviter l’hôpital psychiatrique aussi bien que le centre fermé à ses 12 ans. Et c’est bien le seul atout de ce film : montrer le dévouement des encadrants sociaux. A part çà, le scénario de ce film est une ritournelle sans fin : proposition de solution, mieux être de la gamine, pétage de plomb de la môme, et retour à la case départ et le tout dans un fracas d’hystérie, de violence (limite soutenable) et de musique heurtant les tympans. Tout çà pour çà ; nous montrer des gamins pour lesquels aucune solution de ne peut être trouvé. Et 2 heures à mettre la tête sous l’eau des spectateurs puis à les immerger à nouveau, c’est long et épuisant et çà n’apporte pas grand-chose au débat. A moins que, on y voie le rôle nocif d’une mère qui effrayé à juste titre par sa fille ne l’abandonne jamais vraiment et se rappelle à intervalles réguliers à son souvenir par des promesses de retour futur au foyer. Rertou qu’elle ne parvient pas à honorer et qui déstructure totalement sa fille. Ne faudrait-il pas que la société choisisse de couper le lien parental plutôt que de le maintenir coute que coute afin de laisser aux enfants une possibilité de redémarrage ? Epuisant, fatiguant, violent, et aucune lumière au bout du chemin même dans sa relation avec son éducateur. Relation sans intérêt car mal écrite avec des incohérences béantes lorsque l’on présente un professionnel du secteur social. Ne perdez pas votre temps et surtout votre énergie devant ce film.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    Ciné2909
    Ciné2909

    69 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 août 2020
    Si vous vous apprêtez à devenir parents, vous devriez peut-être passer votre chemin. On est bien loin de l’enfant sage comme une image ; avec Benni c’est plutôt un tempérament explosif pouvant se manifester jusqu’à des violences physiques. La petite fille n’en est pas moins attachante lorsqu’on considère le contexte familial et le sentiment d’abandon éprouvé. Un rôle complexe dans le sens où l’interprétation peut facilement partir dans l’excès mais la jeune Helena Zengel se montre juste formidable. A chacune de ses crises, un certain malaise traverse l’écran et le spectateur se sent aussi impuissant que les acteurs de l’histoire. Voilà un film incroyablement intense dont on ne sort pas totalement indemne.
    Maite.ferhat
    Maite.ferhat

    70 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 juillet 2020
    Benni est un film poignant, qui se vit de l'intérieur, et d'une vérité à couper le souffle. Soyez prêt et ayez le coeur accroché...

    Ceci dit, les acteurs sont au top, tous ! Et bien sûr, J'ai été époustouflée par la prestation d'Helena Zengel. J'ai hâte de la découvrir dans une autre oeuvre.
    Ghighi19
    Ghighi19

    67 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 janvier 2024
    Un film qui finit par taper sur le système. La gamine est insupportable ce qui fait que nous ne sommes jamais émus ni attendris par ce qu il peut lui arriver . Du coup on passe à côté de ce qu a voulu l auteur ...enfin je suppose.
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