Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Parisien
par Michel Valentin
C’est Jared Leto le principal atout de cette fiction, les autres acteurs étant ici réduit au simple rôle de faire-valoir [...]. Si le paquet a été mis sur les effets spéciaux, qui tentent d’être originaux notamment pour symboliser la vitesse de ces créatures surnaturelles, le scénario se révèle, lui, très traditionnel et sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Jared Leto est au top de sa performance, notamment quand Morbius est affaibli par sa maladie et peine à se déplacer.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Assez habilement, le film respire le romantisme discret, en misant sur la noirceur attirante du personnage, ainsi qu'à un sous-texte érotique… assez insolite chez Marvel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Deux vertus s’attachent à ce film. La première consiste à rabattre le genre sur un autre genre, plus classique : le film de vampire. [...] L’autre vertu est l’indéniable beauté du film, tout particulièrement dans les scènes d’action.
Mad Movies
par Gilles Esposito
Contre toute attente, ce Morbius s'avère regardable dans sa tentative de puiser dans deux thèmes très anciens du fantastique : le vampire et l'apprenti-sorcier.
Télé Loisirs
par Émilie Leoni
Crépusculaire et spectaculaire, ce premier film consacré à l'antihéros de l'écurie Marvel vaut pour son atmosphère lugubre et l'abattage des comédiens, Jared Leto en tête, épatant sous les traits du vampire vivant.
L'Ecran Fantastique
par Arnold Petit
Incarné par un Jared Leto très impliqué, et semblant parfois tout droit sorti d'une case de bande dessinée, Morbius paraît toutefois ici privé d'une grande partie de ce qui faisait sa substantielle moelle sur papier, devenant un anti-héros plus lisse et prévisible, promené dans un récit aux enjeux et rebondissements qui ne le sont malheureusement pas moins.
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Morbius devait montrer les crocs avec son premier long-métrage chez Sony, on a à peine eu droit à une molaire. Le vampire de Marvel fait grise mine, et même Jared Leto ne parviendra pas le sauver. Sans être un ratage complet, comme Venom 2 a pu l’être, Morbius ne s’imposera sans doute pas dans la légende. Un long-métrage loin d’être immortel.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Médiocre et sans grand intérêt, ce nouveau projet anti-héroïque confirme l’incapacité d’une industrie à imposer des antagonistes complexes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
La panoplie d’effets spéciaux et la direction artistique sont de l’ordre du très disgracieux et du très ringard, dans une réminiscence du gothisme vampirique grand public des années 2000.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Saturation totale face à Morbius, abime de nullité, tellement vide et insipide qu'il n'y a même plus de mot pour le définir. Après Venom, Sony construit en tout cas le plus grand des édifices hollywoodiens du néant cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
IGN France
par Erwan Lafleuriel
C'est comme si on avait absorbé toute la substance vitale du film avant de le projeter en salle. Morbius est une oeuvre vampirisée, une goule à qui il ne reste rien.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Libération
par Luc Chessel
Morbius de Daniel Espinosa est nullissime par quelque bout qu’on le prenne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
C’est Jared Leto le principal atout de cette fiction, les autres acteurs étant ici réduit au simple rôle de faire-valoir [...]. Si le paquet a été mis sur les effets spéciaux, qui tentent d’être originaux notamment pour symboliser la vitesse de ces créatures surnaturelles, le scénario se révèle, lui, très traditionnel et sans surprise.
20 Minutes
Jared Leto est au top de sa performance, notamment quand Morbius est affaibli par sa maladie et peine à se déplacer.
Le Figaro
Assez habilement, le film respire le romantisme discret, en misant sur la noirceur attirante du personnage, ainsi qu'à un sous-texte érotique… assez insolite chez Marvel.
Le Monde
Deux vertus s’attachent à ce film. La première consiste à rabattre le genre sur un autre genre, plus classique : le film de vampire. [...] L’autre vertu est l’indéniable beauté du film, tout particulièrement dans les scènes d’action.
Mad Movies
Contre toute attente, ce Morbius s'avère regardable dans sa tentative de puiser dans deux thèmes très anciens du fantastique : le vampire et l'apprenti-sorcier.
Télé Loisirs
Crépusculaire et spectaculaire, ce premier film consacré à l'antihéros de l'écurie Marvel vaut pour son atmosphère lugubre et l'abattage des comédiens, Jared Leto en tête, épatant sous les traits du vampire vivant.
L'Ecran Fantastique
Incarné par un Jared Leto très impliqué, et semblant parfois tout droit sorti d'une case de bande dessinée, Morbius paraît toutefois ici privé d'une grande partie de ce qui faisait sa substantielle moelle sur papier, devenant un anti-héros plus lisse et prévisible, promené dans un récit aux enjeux et rebondissements qui ne le sont malheureusement pas moins.
Le Journal du Geek
Morbius devait montrer les crocs avec son premier long-métrage chez Sony, on a à peine eu droit à une molaire. Le vampire de Marvel fait grise mine, et même Jared Leto ne parviendra pas le sauver. Sans être un ratage complet, comme Venom 2 a pu l’être, Morbius ne s’imposera sans doute pas dans la légende. Un long-métrage loin d’être immortel.
Les Fiches du Cinéma
Médiocre et sans grand intérêt, ce nouveau projet anti-héroïque confirme l’incapacité d’une industrie à imposer des antagonistes complexes.
Les Inrockuptibles
La panoplie d’effets spéciaux et la direction artistique sont de l’ordre du très disgracieux et du très ringard, dans une réminiscence du gothisme vampirique grand public des années 2000.
Ecran Large
Saturation totale face à Morbius, abime de nullité, tellement vide et insipide qu'il n'y a même plus de mot pour le définir. Après Venom, Sony construit en tout cas le plus grand des édifices hollywoodiens du néant cinématographique.
IGN France
C'est comme si on avait absorbé toute la substance vitale du film avant de le projeter en salle. Morbius est une oeuvre vampirisée, une goule à qui il ne reste rien.
Libération
Morbius de Daniel Espinosa est nullissime par quelque bout qu’on le prenne.