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    Astérix et Obélix : L'Empire du milieu
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    Le 7ème art
    Le 7ème art

    8 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 avril 2023
    La seule occupation durant ce film : manger des pop-cornes en faisant un point sur sa vie.
    

« Sauveur du cinéma français »: blague de mauvais goût pour si beau navet. Film à 65 millions avec le meilleur démarrage qu’un film français a pu connaître depuis ces dernières années. Étonnant ? Non. Trois semaines avant sa sortie Cannet enchaînait les plateaux pour promouvoir son film. Aurait-il peur lui-même que son long-métrage soit mauvais ?

    

Ne parlons pas de sa promotion à afficher des chanteurs, Youtubeurs, footballeurs et pseudo-comédiens pour en fin de compte nous offrir de stupides caméos de 10 secondes.
    

Ne parlons pas non plus des multiples faux raccords entre son et image ou défauts de tournage.


    Je ne dirais rien du jeu niais de la plupart des acteurs et des références lourdes et sans intérêt à l’actualité. (La Covid, les véganes, le foot etc…)



    Pour finir, je ne dirais rien non plus des blagues plus que douteuses avec des clins d’œil inintéressant à Jul ou à des matchs de foot. (n’oublions pas le rôle exemplaire de Zlatan dans la trame narrative, mais faudrait-il déjà qu’il y ait une trame narrative)

    

Pour conclure, si vous cherchez un film pour un date, n’allez pas voir ce film. Cannet peut se prétendre « sauveur du cinéma français », mais grâce à son « chef-d'œuvre », il nous prouve encore une fois que le cinéma français perd sa crédibilité et continue à fondre dans les abysses d’Hollywood.

 Mais comme vous nous l’avez répété, si nous n’allons pas voir ce film, le cinéma se meurt et si nous le critiquons, le cinéma se meurt aussi. Avec ou sans ce film, le cinéma français vie une heure critique 



    Ps : c’est pas grave Guillaume si les productions françaises ne te laisse plus créer une autre œuvre pareille.
    Moomin V
    Moomin V

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 février 2023
    Un énorme navet. J'étais gêné devant tant de débilité et de stupidité. Je ne dois pas être le public cible, celui des décérébrés qui écoutent Jul et regardent Hanounaze.
    Lucky-9
    Lucky-9

    4 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 février 2023
    J'ai passé un mauvais moment, loin de l'ambiance d'Astérix et Obélix. Les acteurs se font plaisir entre eux mais pour nous, c'est l'ennui total. Où sont passés l'humour et l'aventure ?
    christophe p
    christophe p

    11 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 février 2023
    que dire si ce n'est que ce film est affligeant d'une stupidité crasse avec de nombreux clichés ce n'est jamais drôle ce n'est jamais dynamique on s'ennuie ferme
    on a honte d'être là
    je déconseille fortement à tout le monde d'aller voir ce navet
    Boom Shaka laka
    Boom Shaka laka

    11 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 février 2023
    Film qui enchaîne les guest mais qui par rapport aux autres Astérix ne servent à rien,ils ont fait d'Astérix un personnage bête,tout fait plastique, où sont passés les 65 millions investis ?
    Branchés Culture
    Branchés Culture

    5 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 janvier 2023
    Astérix et Obélix : L'empire du milieu - Par Jupiter ! Par Toutatis ! Par Confucius ! Par pitié ! Guillaume Canet nous fait la guerre des gogols

    Avec le mois de février arrive la saison du carnaval, avec ses déguisements partant dans tous les sens: égyptiens, soldats ou dictateur romains, samouraïs, pirates, et, forcément, les gau..., les gaugau... les gogols! Car c'est tout bonnement ce qu'a fait Guillaume Canet d'Astérix, Obélix et leurs amis (une pléiade de stars) dans le nouvel épisode de la franchise (le quinzième et la cinquième adaptation live, si on exepte le téléfilm Deux Romains en Gaule) : L'empire du milieu. Pas que ce soit la pire adaptation de l'univers créé par René Goscinny et Albert Uderzo mais sans doute la pire adaptation d'une bande dessinée à l'écran. Car le déguisement ne fait pas l'esprit et à force de péter dans la route de la soie, il y a des traces de freinage immonde. Que des petits mouchoirs ne suffisent pas à effacer de nos rétines violées. "C'est oui ou bien c'est non", demande Angèle "Falbala", c'est non, non et renon! Il n'est pas frais son navet et on a allègrement franchi le Rubicon, très con. Couvert de purge!

    Astérix et le cinéma, c'est une histoire qui (est) dure. Depuis 1967 et la sortie d'Astérix Le Gaulois sous l'égide des fabuleux studios Belvision et de Roger Carel (qui allait prêter sa voix à Astérix durant cinq décennies), les dessins animés se sont succédé avant, depuis 1999 et Claude Zidi, les longs-métrages incarnés par des acteurs en chair et en os. Avec des réussites et pas mal de déconvenues, surtout dans la deuxième catégorie. Car si Alexandre Astier a dynamité les codes BD en animation dans son exemplaire et euphorisant diptyque Le domaine des dieux - Le secret de la potion magique, le cinéma live, lui, a du mal à rendre vaillants ces habitants d'un village qui résiste encore et toujours à l'envahisseurs et qui nous ont plus souvent fait pitié que triper sur la toile. Si ce n'est l'incontestable sommet d'Alain Chabat avec Mission Cléopâtre. Le Nul avait tout compris, sachant se faire infidèle pour adopter les propres codes de ses délires "Canal +" aux personnages d'Albert et René. Je dois dire qu'Au service secret de sa Majesté de Laurent Tirard, avec Edouard Baer en Astérix, s'il est parmi les plus détestés, est peut-être le film le plus fidèle aux bandes dessinées originelles, inventif visuellement mais aussi textuellement, dans la traduction d'expressions anglaises en français, ce qui ne marchait évidemment pas à l'écran et n'en faisait pas un bon film. Comme quoi, la fidélité à ses limites quand on passe d'un média à un autre. Le tout est dans l'équilibre.

    Grosso Modo

    Mais revenons à l'épreuve de Guillaume Canet. Si le réalisateur s'est retrouvé à la tête de la bagatelle de 65 millions d'euros (!), c'est parce qu'il faisait partie d'un cercle très fermé de réalisateurs français, remplissant trois conditions: "avoir déjà réalisé un film en anglais, avoir gagné un César, avoir connu un gros succès en salles…" Bref, c'est loufoque, chez les commanditaires, dont Sylvie Uderzo, la connaissance de l'univers des Gaulois craints dans tout l'empire romain, et même au-delà, passait bien après ce qu'ils pensaient être la potion magique pour faire un grand succès dans les salles obscures. Vu les raisons, on n'est pas étonnés qu'à plusieurs reprises, dans ce nouveau film, on assiste à un concours de qui a la plus grosse. Et il y a là matière à gagner des Gérard plus que des César.

    Mais, alors, ce budget colossal, il se sent dans ce nouveau film? Hum... comment dire... oui, dans les décors monumentaux trouvés pour la plupart en... Auvergne, le Covix ayant empêché le gros du tournage en Chine. Quand les plans d'ensemble sur Rome, le village le plus célèbre d'Armorique, le désert, la Chine Antique ou encore cette incroyable cité perdue qui sert de prison et de base secrète pour les putschistes chinois, se marient à la musique de -M- (ou plutôt Remix), on rêve, on voyage, on y croit.

    C'est une super-production ou un fan film?

    Puis, c'est la chute libre dès qu'on se rapproche des personnages, avec des mouvements et des zooms de caméra pas toujours très heureux. Et c'est l'horreur dès que ceux-ci ouvrent la bouche. Dans le ton et l'esthétique, les quenilles, on n'y croit plus une seconde. C'est un superproduction ou c'est un fan film? C'est indigent et indigeste.

    L'histoire? Voulue "originale" (c'est à dire pas adaptée d'un album existant, n'allez pas croire...), elle tient sur un coin de nappe. Obélix (Gilles Lellouche, crédible en Gérard Depardieu) coule des jours heureux à tenter de séduire Falbala (l'inévitable Angèle, donc,) tandis qu'Astérix (Guillaume Canet, qui se taille la part du lion, ou plutôt du dragon, jusqu'à la transformation "Tex averesque" du guerrier gaulois qand il goutte à sa gourde) est en plein questionnement existentiel: doit-il continuer à manger de la viande et, cette potion magique, dont on ne sait pas ce qui la compose, pourrait-elle être nocive pour la santé? On n'a pas tant de recul que ça... enfin les Romains, si, dès qu'ils dégustent une tatane qui les envoie promener à des lieues. Astérix serait-il sceptix? Il continuera son examen de conscience en cours de route, car une caravane venue de Chine, avec une princesse à bord et un gros balourd en guise d'escorte (Jonathan Cohen, insupportable, en Graindemaîs), vient d'arriver aux portes du village, suppliant ses habitants de venir l'aider.

    Qui s'y colle? On vous laisse deviner qui va affronter le terrible Deng Tsin Qin (Bun-hay Mean, complètement à côté de ses geta, un doublage complètement con en prime, qui fait un très mauvais mauvais), rencontrer l'homme au masque de fer chinois, se confronter à César (Vincent Cassel) qui entre dans la danse par le jeu des espions et entend agrandir son empire pour soigner sa peine de coeur pharaonique. Sans oublier d'aller de coup de foudre en coup de foudre. Celle que les dieux du Septième et du Neuvième Arts font tomber sur nos têtes.

    Et maintenant une page de pub

    Pour lier le début et la fin de cette aventure voulue épix mais qui n'a pas fini de pique les yeux, le reste est à l'avenant, les auteurs (ceux qui ont écrit les Tuche, Julien Hervé et Philippe Mechelen) s'en sont donné à coeur-joie sur les noms gaulois, romains, orientaux et asiatiques mais, pour le reste, c'est un film à sketchs qui nous fait attendre à tout moment les rires préenregistrés (amorcés par des acteurs qui forcent le rire pour un rien sur le mode "oh oh oh rions ensemble, voyez comme c'est drôle) et une succession de pages de pubs pour certains guests plus là pour faire leur promo, et faussement rigoler d'eux-mêmes, qu'autre chose.

    Car oui, convoquer Angèle, Orelsan, Zlatan, MacFly et Carlito, Florent Manaudou, etc., leur tailler des affiches et leur consacrer une bande-annonce qui ne raconte rien sinon le casting de ce blockbuster made in France, c'est bien, mais encore faut-il assurer. Dès ce trailer de présentation, beaucoup d'observateurs avaient ainsi eu peur, un mauvais pressentiment. Moi, pauvre de moi, j'y croyais. Guillaume Canet, en méforme sur son dernier film, pourtant ambitieux, est loin d'être un manche bien au contraire. Puis, concernant les guests, c'est vrai, quoi, René Goscinny et Albert Uderzo (eux-mêmes de la revue à plusieurs reprises) ont bien fait jouer Annie Cordy, Les Beatles, Charles Aznavour, Lino Ventura, De Funès, Sean Connery, Kirk Douglas et bien d'autres dans leurs différents albums. Mais ils ne les prenaient pas en tant quel tels, ils utilisaient leur pouvoir iconique, leur prestance, leur emploi ou leur contre-emploi pour servir et faire avancer leur histoire. Ici? Que dalle! Angèle est là pour chanter "c'est oui ou bien c'est non" - ou comment en 30 secondes d'apparition (n'allez surtout pas croire que ces stars ont des grands rôles, ils font bouche-trou, dans le vide abyssal, et attrappe-nigauds et réseaux) se décrédibiliser totalement dans un rôle rétrograde et tape-à-l'oeil, pas vraiment féministe. Pareil pour Orelsan (Titanix) et sa terre qu'il croit être ronde. Tout tombe à plat.

    Saisi sosie

    En fait, dans moins de dix ans, euh... un an, cet Astérix sera périmé car les radios seront passées à autre chose. Pire, on attire des gamins avec leurs coqueluches du moment devant un film qui, à mes yeux, ne leur convient pas et devant lequel ne vont pas se retrouver, non plus, leurs parents. Double peine. Quand à Zlatan Ibrahimovic, Antivirus, n'en parlons pas (en français plus que passable), il est là plus que les autres pour faire bébelle, dans une séquence qui tombe comme un cheveu dans la soupe et fait virer Astérix et Obélix en mode 300. Une autre page de pub dégoulinante d'égo. C'est pathétix. Et tant qu'à aller chercher d'autres références (on les a toutes mais pas les bonnes, avec de gros sabots, loin de la finesse goscinnienne), il y a aussi un passage navrant (enfin plus navrant encore que toutes les autres) faisant un "clin d'oeil" à la série Kung-fu et son petit scarabée.

    Pire, preuve du manque total d'idées et d'investissement dans ce périple jaune, Guillaume Canet ressuce ni plus ni moins des idées des précédents films. Et notamment du Chabat. D'abord, c'est Gérard Darmon (inoubliable Amonbofils de Mission Cléopâtre) qui est le narrateur de ce nouvel opus. Puis, au rayon des anachronismes, on croise une voiture speedée et décapotée (certes, elle a de la gueule, elle) et des messages échangés par pigeons voyageurs qui bippent comme des téléphones portables. Ça a déjà été fait. Tout comme ces nombreux coups de coeur entre les différents protagonistes (ben oui, février, c'est aussi le mois de la Saint-Valentin) qui sont surlignés par une chanson (comme le Ti Amo culte dans Mission Cléopâtre) que nous vous laisserons le déplaisir de découvrir si nous vous avons donné l'envie d'aller voir ce film... ou pas. Le "tchic et tchic aïe aïe" n'est pas loin non plus. Cet empire du milieu, c'est la fuite des cerveaux, l'avènement des recycleurs, des irréductibles très réducteurs. Ce n'est plus un film, c'est une encyclopédie indigente, larmoyante. Ce n'est pas juste enrobé, c'est grotesque

    Tout le monde cabotine, sauf Idéfix...

    Les prestations des acteurs sont gênantes aussi. Si j'étais méchant, je dirais que tout le monde cabotine sauf Idéfix. Guillaume Canet n'est absolument pas investi dans ce pauvre Astérix. Il est mou, on dirait qu'il n'y croit pas. On l'a dit, les guests sont très souvent faux, appuyant le jeu. On a mal pour Pierre Richard en Panoramix, Franck Gastambide galère en Barbe-Rouge, la direction d'acteur fait déjouer le César de Vincent Cassel, Marion Cotillard est là pour nous percer les timpans.

    On peut sauver Gilles Lellouche qui réussit un honorable Obélix (un peu trop poussé aux gloussements, pour tenter de communiquer le rire aux spectateurs en pleine crise d'apoplexie?) - et dont on se demande au vu de ses qualités de réalisateur s'il n'aurait pas réussi un bien meilleur film que son camarade -; Philippe Katerine tient haut la lyre son rôle de barde décérébré (avec toutes les parodies qui vont avec); Ramzy est poussif mais attachant en Epidemaïs, roi de l'esbroufe qui entend bien pécho la reine des yen dans son cachot perdu dans le trou du cul du monde; et José Garcia est complètement folle en Biopix, l'hagiographe de César. Ah, oui, elle n'a pas eu les honneurs des affiches comme tous ces gens du showbiz qui se révèlent piêtres, mais l'actrice qui joue Bibine, tenancière d'un petit bistrot dans un petit port de la Méditerranée, crève l'écran. Y compris quand elle chante Piaf. Puis, rayon showcase, le final avec -M- clôture cette catastrophe ambulante sur une note enfin (guitar) héroïque. Sinon, les habitants du village campés par de vrais comédiens (Lamy, Chicandier, Commandeur, etc.), bien que furtifs, s'en sortent pas trop mal, comme les Romains Yann Papin, François Desagnat et Manu Payet.

    "On peut peut-être passer aux choses sérieuses?"

    Au beau milieu du film, un des héros se demandait, texto: "On peut peut-être passer aux choses sérieuses?" On les attend toujours tant le ciel est tombé sur la tête des Gaulois, des Romains, des Chinois et des spectateurs, y compris ceux qui ne jurent que par les Reels et TikTok et qui, espérons-le, seront assez intelligents que pour ne pas se laisser avoir, corrompre par l'appel de quelques influenceurs qui ont une poignée de secondes à l'écran. Et qui ne reflètent absolument pas ce qu'est ce joyau du Neuvième Art qu'est Astérix et Obélix.

    « Pour vous remercier selon la tradition normande, nous allons vous offrir un grand festin…
    – Ne vous donnez pas ce mal, votre départ nous suffit. Partir, c’est nourrir un peu. » (Goscinny et Uderzo)

    Sic transit gloria mundi. C'est un film malade, sclérosé et tournant en rond, qui nous fait soupirer après dix minutes, que nous "offre" Guillaume Canet. Astérix, c'était bel et bien du chinois pour lui, et il nous pose un sacré lapin avec ce produit de contrefaçon en chine, toc. Cacophonix épidémix qui, au moins, donnera lieu à un album adapté par Olivier Gay et illustré par Fabrice Tarrin, sans doute avec plus de style et de classe.

    https://branchesculture.com/2023/01/31/asterix-et-obelix-lempire-du-milieu-film-guillaume-canet-rate-bd-gilles-lellouche-cabotinage-angele-zlatan-sketchs-mauvais-influenceurs-tiktok-stars-chine-aventure-comedie-blockbuster-pire-adaptation/
    stephanhome
    stephanhome

    4 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 février 2023
    quelle tristesse
    un produit marketé bien loin des BD, des pseudo stars qui cabotinent et pompent le budget colossal du film. On se demande d'ailleurs souvent où est passé le pognon.
    Le scenario a été vu cent fois et surtout Canet n'imprime pas sa marque et se contente de singer Chabat et l'humour canal avec 20 ans de retard et moins de talent car on ne rie quasiment jamais (un comble). Les clins d'œil à la pop culture ou l'actualité sont legion et le plus souvent tombent à plat avec parfois un léger goût de malaise.
    On passera sur l'acting souvent desastreux (palme d'or à Marion Cotillard) même si Gille Lellouche s'en sort honorablement.
    Quant aux guest, le film est à leur service plutôt que le contraire ce qui n'est pas la définition même du cinema et de l'art de raconter une histoire.

    bref, c'est incroyablement mediocre et mercantile. Une vraie deception et si on ne peut à l'avenir financer ce type de film faute de spectateurs ( dixit Canet le larmoyant) et bien tant mieux.
    Vinrcain
    Vinrcain

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 février 2023
    Le pire Astérix à mon goût, Guillaume Canet s'auto proclame "sauveur du cinéma français", mais pourtant quand on voit le résultat, nous ne voyons pas trop où se trouve le sauvetage, car au lieu de le sauver, il l'a tué. Ce film est une catastrophe, les personnages sont insupportables, les guess stars des réseaux sociaux invités à jouer dans le film pour ramener du monde alors qu'il n'apparaissent que 15 secondes à l'écran, scénario absent et scènes d'actions mal faite et discours progressistes complètement stupide et inutile. Bref passez votre chemin et allez voir des films de qualité plutôt que cette daube qui ne sert qu'à ramener de l'argent.
    sylvain F.
    sylvain F.

    29 abonnés 258 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 février 2023
    J'ai vu le film hier soir et ça fait bien longtemps que je n'ai pas vu un film aussi mauvais que celui ci les blagues sont nul les acteurs sont mauvais l'histoire est du déjà vu
    Olione007
    Olione007

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 février 2023
    Vu en avant première, ce film est une catastrophe. Histoire poussive, humour pas drôle. Tous les acteurs sont catastrophiques. C'est une machine à sous uniquement. Les gosses ne riaient pas et un quart de la salle est parti avant la fin. Certains disent que les critiques négatives sont gratuites. Ce à quoi je répondrais si on veut parler de gratuité. Un bon conseil, attendez que ce film soit sur une plate-forme de films et séries. Vous économiserez et vous vois rendrez compte que les mauvaises critiques sont celles qui se rapprochent le plus de la réalité.
    Cyril Mémès
    Cyril Mémès

    30 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 février 2023
    Un bon navet comme seul le cinéma français sait en faire. Le film repose sur du néant, une bande de potes qui s'amuse à jouer dans un film "Astérix" (on pourrait longuement revenir sur le fait que le film, hormis les costumes et le titre, n'a rien à voir avec l'Œuvre de Goscinny et d'Uderzo) mais qui jamais n'embarque le spectateur dans ce délire. Tout tombe à l'eau, c'est un véritable entre-soi, des blagues du niveau d'un "tire sur mon doigt". Le film est "égoïste" : on sent davantage un délire un peu égotique de Canet qui voulait faire son film Astérix et qui a pour cela invité tous ses potes, quitte à cracher sur l'oeuvre originale. Des allures de spectacle de fin d'année d'un BDE d'école de commerce avec un budget de 65 millions d'euros, où on place tous les membres du BDE pour la vanne et le délire entre acteurs, mais sans aucun intérêt pour le film, le scénario (d'ailleurs inexistant), et aucun intérêt non plus pour le spectateur. À la fin, on a un sentiment de frustration et de colère : le film n'est pas là pour faire plaisir aux spectateurs (il y a même des références méta qui le font comprendre très clairement), mais aux acteurs français qui ont joué dedans, histoire qu'un jour dans leur vie, ils puissent dire "J'ai joué dans Astérix"... Mais quel piètre Astérix.
    hubby
    hubby

    9 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 février 2023
    Soyons clair, ça n'a rien à voir avec le génie de la BD de GOSCINNY et UDERZO. ça n'est absoument pas drôle et les acteurs jouent très mal.
    Markus
    Markus

    7 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 février 2023
    que dire de plus que ce que la demie étoile que j'ai mis au film...
    c'est le maximum que j'ai pu mettre pour noter ce film alors qu'il mérite moins.
    scènes sur-jouées dans le meilleur des cas acteurs moyens malgré la présence des têtes d'affiches.
    Mickael G.
    Mickael G.

    10 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 février 2023
    Vu en avant première ! Passer votre chemin, c'est lent c'est cheap, même les acteurs n'y croient plus...mention spéciale tout de même a José Garcia au top...
    Et pour ceux qui voulaient voir leurs stars comme McFly et Carlito passer votre chemin, on les voient que quelques min.
    Cypont Dupryen
    Cypont Dupryen

    4 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 février 2023
    Pathétique du début à la fin ! Vouloir faire du Chabat ne suffit pas il faut le talent là il y a rien du tout ... ridicule
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