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Ce périple oriental comporte tout ce qu'on aime dans l'univers d'Astérix : les jeux de mots, le bateau pirate, des Romains qui voltigent, des clins d'œil anachroniques et une distribution étincelante.
Asterix et Obélix : l'Empire du Milieu est dans la lignée de ses prédécesseurs, souvent drôle, toujours à l'écoute de l'actualité et aux effets spéciaux proches du dessin animé.
Sans révolutionner la franchise, Guillaume Canet propose un film d'aventures plutôt plaisant et visuellement réussi. Son duo avec Gilles Lellouche fait mouche.
Malgré un nombre de guests démesuré et un budget astronomique pour une production française, «Astérix et Obélix : l’empire du Milieu» ne parvient cependant pas à détrôner le cultissime «Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre» et ses 14,5 millions de spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le film ne mérite ni la volée de bois vert reçue avant projections sur les réseaux sociaux, ni les dithyrambes de la version Chabat : en ce sens, son titre ne ment pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le scénario tient la route (de la soie) : humour dans l’esprit de la BD, dépaysement et aventures garantis, tout en se recentrant sur Astérix et Obélix. Mention spéciale à Gilles Lellouche, qui parvient, par sa tendresse enfantine, à éclipser Gérard Depardieu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Une partie du cahier des charges nous convient : les clins d’œil à l’actu abondent, les jeux de mots aussi. (...) Les limites, c’est le reste de la charte : des effets spéciaux à foison mais parfois limites, un récit trop sage et trop peu surprenant, et l’éparpillement d’innombrables guest-stars à l’impact inégal (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Guillaume Canet en Astérix inquiet et Gilles Lellouche en Obélix faillible renouvellent l’image du couple d’irréductibles Gaulois pour cette honorable virée en chine.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Au tour de Guillaume Canet de passer les aventures des légendaires héros moustachus à la moulinette de son humour potache et de son sens de l’amitié pour une comédie d’action qui vise à séduire un public large : tout en se glissant sous les nattes blondes d’Astérix, il laisse la part belle à Gilles Lellouche, drôle et attendrissant dans le rôle d’un Obélix candide mais jamais stupide.
Canet emmène les héros en Chine, lors d’un périple sans grand relief, mais se tire avec les honneurs de cette cinquième adaptation cinématographique. Il en fait un buddy movie drôle et attachant, s’offrant d’improbables guests.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Dix ans après Au service de Sa Majesté, Guillaume Canet ne révolutionne pas la franchise mais propose un film d'aventures familial plaisant, meilleur que les deux précédents. Visuellement réussi et fidèle à l'univers de Goscinny et d'Uderzo, cet opus dispose d'un casting pléthorique.
C’est enfantin, à l’eau de rose, comme dans un teen-movie innocent : le récit sentimental du petit guerrier futé et du gros au cœur tendre est gentiment distrayant. Et l’aventure dans tout ça ? Les scénaristes Philippe Mechelen et Julien Hervé (Les Tuche) ne se sont pas foulés.
Le plus grotesque, mais aussi le plus drôle par un comique involontaire, c’est Zlatan Ibrahimovic (Antivirus). L’ancienne star du PSG, pour son premier rôle au cinéma, joue mal, mais ça colle : le légionnaire romain, dans Astérix et Obélix, ne brille pas par son génie.
Astérix et Obélix : L'Empire du Milieu n'a pas trouvé la potion magique pour le succès. Guillaume Canet n'arrive malgré tous ses efforts pas à tailler une aventure aussi drôle et marquante que ses prédécesseurs, Alain Chabat en premier lieu.
Réalisé par Guillaume Canet, le nouveau film mettant en scène les personnages d’Uderzo et Goscinny multiplie sans convaincre sketchs et vedettes, de la chanteuse Angèle au footballeur Zlatan Ibrahimovic.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Sans atteindre la folie contagieuse de l'opus d'Alain Chabat, Guillaume Canet égaye l'hiver avec un honnête divertissement familial et nous offre un instantané de la pop culture française de 2022.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Tout n’est pas réussi (les combats kung-fu, le défilé de stars accessoires, d’Angèle à McFly et Carlito, l’atonie étrange de certaines scènes), mais l'idée la plus forte est, contrairement à l’adaptation de Chabat, de remettre au cœur du récit la figure d’Astérix et d’Obélix.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ni péplum, ni western, encore moins film d’arts martiaux, peu parodique, cet Astérix ne trouve jamais l’inspiration épique qui convient à un récit picaresque déployé sur trois continents.
Jamais drôle et indigent en matière de fabrication, Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu est un bien beau gâchis d’argent qui semble constamment avoir vingt ans de retard. On lui préférera notre titre alternatif : Anachronix et Anecdotix.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Astérix et Obélix vont en Chine. C’est à peu près tout. Extrêmement mal écrit, ce nouvel épisode est surtout incroyablement mal produit. Comme si, tout étant trop possible dans ce film trop riche, plus personne n’avait eu envie de rien. Pas drôle. Voire triste.
N'en déplaise au sauveur autoproclamé du cinéma français, son « Astérix & Obélix : L’Empire du milieu » est un navet à 65 millions d'euros. La raison ? Une écriture défaillante, davantage soucieuse de la rentabilité commerciale que de la cohérence narrative.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
« Il n’y a pas de suspense dans mes histoires, déclarait René Goscinny en 1967. La trame n’est qu’un prétexte pour faire des gags. » Alors, cherchons les gags. Après un rapide inventaire des figures imposées, expédiées dès le prologue, ce qui compte pour les auteurs (les deux scénaristes des Tuche), c’est d’envoyer tout ce monde dans un nouveau décor.
20 Minutes
La grande et bonne surprise du film, c’est Gilles Lellouche. Il embrasse le rôle d’Obélix avec une gourmandise palpable.
Closer
Ce blockbuster déploie un humour ravageur.
Femme Actuelle
Ce périple oriental comporte tout ce qu'on aime dans l'univers d'Astérix : les jeux de mots, le bateau pirate, des Romains qui voltigent, des clins d'œil anachroniques et une distribution étincelante.
Franceinfo Culture
Asterix et Obélix : l'Empire du Milieu est dans la lignée de ses prédécesseurs, souvent drôle, toujours à l'écoute de l'actualité et aux effets spéciaux proches du dessin animé.
LCI
Mais la vraie botte secrète du film, c’est l’amitié entre les deux héros, joués avec malice et tendresse par Guillaume Canet et Gilles Lellouche.
Public
Les effets spéciaux sont canons et les dialogues mortels !
Télé 2 semaines
Sans révolutionner la franchise, Guillaume Canet propose un film d'aventures plutôt plaisant et visuellement réussi. Son duo avec Gilles Lellouche fait mouche.
Télé 7 Jours
Des punchlines en série, des clins d’œil savoureux, un casting impérial : petits et grands sont également gâtés par cette potion ludique.
CNews
Malgré un nombre de guests démesuré et un budget astronomique pour une production française, «Astérix et Obélix : l’empire du Milieu» ne parvient cependant pas à détrôner le cultissime «Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre» et ses 14,5 millions de spectateurs.
L'Obs
Le film ne mérite ni la volée de bois vert reçue avant projections sur les réseaux sociaux, ni les dithyrambes de la version Chabat : en ce sens, son titre ne ment pas.
La Croix
Le scénario tient la route (de la soie) : humour dans l’esprit de la BD, dépaysement et aventures garantis, tout en se recentrant sur Astérix et Obélix. Mention spéciale à Gilles Lellouche, qui parvient, par sa tendresse enfantine, à éclipser Gérard Depardieu.
La Voix du Nord
Une partie du cahier des charges nous convient : les clins d’œil à l’actu abondent, les jeux de mots aussi. (...) Les limites, c’est le reste de la charte : des effets spéciaux à foison mais parfois limites, un récit trop sage et trop peu surprenant, et l’éparpillement d’innombrables guest-stars à l’impact inégal (...).
Le Figaro
Guillaume Canet en Astérix inquiet et Gilles Lellouche en Obélix faillible renouvellent l’image du couple d’irréductibles Gaulois pour cette honorable virée en chine.
Le Journal du Dimanche
Au tour de Guillaume Canet de passer les aventures des légendaires héros moustachus à la moulinette de son humour potache et de son sens de l’amitié pour une comédie d’action qui vise à séduire un public large : tout en se glissant sous les nattes blondes d’Astérix, il laisse la part belle à Gilles Lellouche, drôle et attendrissant dans le rôle d’un Obélix candide mais jamais stupide.
Le Parisien
Réalisé par Guillaume Canet, « Astérix et Obélix : l’Empire du milieu » se révèle divertissant mais manque de modernité, d’irrévérence et de folie.
Le Point
Pas facile d'inventer un nouvel Astérix sans une BD originale. Cela donne un aimable divertissement.
Paris Match
Canet emmène les héros en Chine, lors d’un périple sans grand relief, mais se tire avec les honneurs de cette cinquième adaptation cinématographique. Il en fait un buddy movie drôle et attachant, s’offrant d’improbables guests.
Télé Loisirs
Dix ans après Au service de Sa Majesté, Guillaume Canet ne révolutionne pas la franchise mais propose un film d'aventures familial plaisant, meilleur que les deux précédents. Visuellement réussi et fidèle à l'univers de Goscinny et d'Uderzo, cet opus dispose d'un casting pléthorique.
Télérama
Si cet opus ne tutoie pas les sommets atteints par Alain Chabat en 2002, il possède quelques qualités bienvenues.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est enfantin, à l’eau de rose, comme dans un teen-movie innocent : le récit sentimental du petit guerrier futé et du gros au cœur tendre est gentiment distrayant. Et l’aventure dans tout ça ? Les scénaristes Philippe Mechelen et Julien Hervé (Les Tuche) ne se sont pas foulés.
Le Dauphiné Libéré
Le plus grotesque, mais aussi le plus drôle par un comique involontaire, c’est Zlatan Ibrahimovic (Antivirus). L’ancienne star du PSG, pour son premier rôle au cinéma, joue mal, mais ça colle : le légionnaire romain, dans Astérix et Obélix, ne brille pas par son génie.
Le Journal du Geek
Astérix et Obélix : L'Empire du Milieu n'a pas trouvé la potion magique pour le succès. Guillaume Canet n'arrive malgré tous ses efforts pas à tailler une aventure aussi drôle et marquante que ses prédécesseurs, Alain Chabat en premier lieu.
Le Monde
Réalisé par Guillaume Canet, le nouveau film mettant en scène les personnages d’Uderzo et Goscinny multiplie sans convaincre sketchs et vedettes, de la chanteuse Angèle au footballeur Zlatan Ibrahimovic.
Les Echos
Sans atteindre la folie contagieuse de l'opus d'Alain Chabat, Guillaume Canet égaye l'hiver avec un honnête divertissement familial et nous offre un instantané de la pop culture française de 2022.
Ouest France
Même les scènes d'action sont un peu molles, sauf celles qui s'inspirent des arts martiaux asiatiques. Alors on sourit, sans plus.
Première
Tout n’est pas réussi (les combats kung-fu, le défilé de stars accessoires, d’Angèle à McFly et Carlito, l’atonie étrange de certaines scènes), mais l'idée la plus forte est, contrairement à l’adaptation de Chabat, de remettre au cœur du récit la figure d’Astérix et d’Obélix.
Sud Ouest
Une comédie sans vulgarité ni cynisme, mais sans grand relief non plus. Trop lisse, trop sage.
Voici
Un divertissement aussi léger qu'un banquet de sangliers à volonté.
aVoir-aLire.com
N’est pas Alain Chabat qui souhaite mettre en scène les deux célèbres héros gaulois. Ce nouvel opus est décevant, long et sans saveur.
Cahiers du Cinéma
Ni péplum, ni western, encore moins film d’arts martiaux, peu parodique, cet Astérix ne trouve jamais l’inspiration épique qui convient à un récit picaresque déployé sur trois continents.
CinemaTeaser
En dépit d’un budget pléthorique de 65 millions d’euros, l’esthétique souffre d’une incurie surprenante.
Critikat.com
De ce film pénible et pachydermique, on retient tout de même la présence de José Garcia : il est une oasis de génie comique dans un désert de nullité.
Ecran Large
Jamais drôle et indigent en matière de fabrication, Astérix et Obélix : L’Empire du Milieu est un bien beau gâchis d’argent qui semble constamment avoir vingt ans de retard. On lui préférera notre titre alternatif : Anachronix et Anecdotix.
GQ
C'est une cruelle déception pour le cinéma français : Astérix et Obélix : L'Empire du Milieu est un film raté.
Les Fiches du Cinéma
Astérix et Obélix vont en Chine. C’est à peu près tout. Extrêmement mal écrit, ce nouvel épisode est surtout incroyablement mal produit. Comme si, tout étant trop possible dans ce film trop riche, plus personne n’avait eu envie de rien. Pas drôle. Voire triste.
Les Inrockuptibles
Le blockbuster qui doit tous nous sauver est presque intégralement raté : une belle leçon d’arrogance gauloise.
Libération
Gorgée d’un trop-plein d’idées qui tombent à plat, la marmite de potion se révèle bien froide.
Marianne
N'en déplaise au sauveur autoproclamé du cinéma français, son « Astérix & Obélix : L’Empire du milieu » est un navet à 65 millions d'euros. La raison ? Une écriture défaillante, davantage soucieuse de la rentabilité commerciale que de la cohérence narrative.
Positif
« Il n’y a pas de suspense dans mes histoires, déclarait René Goscinny en 1967. La trame n’est qu’un prétexte pour faire des gags. » Alors, cherchons les gags. Après un rapide inventaire des figures imposées, expédiées dès le prologue, ce qui compte pour les auteurs (les deux scénaristes des Tuche), c’est d’envoyer tout ce monde dans un nouveau décor.