Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Mon amour est ce grand voyage hypnotique de justesse dans la description des maux et des beautés, ce geste de cinéaste, humble et miraculeux, qui traverse la planète pour interroger la mémoire des autres et mieux regarder la mort en face.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Serge Kaganski
Entre documentaire, essai d’arrachement à soi et récit amoureux, David Teboul a entrepris là un gigantesque voyage filmique, géographique, culturel, existentiel et nous embarque à notre tour dans son transit sibérien [...]. Un film comme une puissante et totale expérience pour le tiers spectateur que nous sommes.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un magnifique documentaire sur lequel planent les ombres de Marguerite Duras et d’Alain Resnais.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Vincent Thabourey
Mon amour est un défi, une injonction poétique qui interpelle le temps, l’espace et l’intime. En dépit de ses incursions égotiques, ce voyage intérieur mérite le détour.
Télérama
par Louis Guichard
Le résultat tient la distance (près de trois heures), rappelle parfois le lancinant film oublié de Frédéric Mitterrand, Lettres d’amour en Somalie (1982), et fascine durablement par son insondable profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Sophie Grassin
Travaillé par la culpabilité de n’avoir pu sauver l’homme qu’il aimait, David Teboul la conjure dans ce requiem lyrique et prenant qui parvient à traiter du deuil de manière universelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Véritable mausolée cinématographique construit à la mémoire de cet amour perdu, le film surmonte l’écueil de sa durée (près de trois heures) par la beauté de sa photographie et son rythme envoûtant, mais il nous met aussi parfois mal à l’aise tant David Teboul va loin dans la mise à nu de ses sentiments.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Murielle Joudet
On connaît surtout David Teboul pour ses documentaires télévisés, sophistiqués, reconnaissables au premier regard par leur style qui entremêle l’essai cinématographique à l’écriture de soi, fait parfois mine de rater son sujet pour mieux le retrouver. (...) Plus frontalement subjectif, Mon amour s’ouvre sur la lettre d’un amant, Frédéric, avec lequel David Teboul a partagé dix ans de sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Par ce double mouvement en apparence artificiel, Teboul crée une oeuvre d’une fluidité renversante, où on prend plaisir à s’abandonner.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Mais alors que le deuil pouvait être dépassé, voire débordé par la rencontre, le montage parallèle rabat ces paroles lointaines et les destins terribles qu’elles charrient (effondrement du monde soviétique, alcoolisme, violences familiales, meurtres, prison) au seul souvenir du défunt, soit à une mélancolie d’ordre privatif. La Sibérie filmée par Teboul reste un territoire abstrait, le support d’un processus intime.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Guidé par une voix off très littéraire qui convoque Duras, Mon amour est une (très) longue enquête intime qui mêle, sans complètement y parvenir, documentaire et autofiction. C’est dommage, car la partie sibérienne est très belle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
Mon amour est ce grand voyage hypnotique de justesse dans la description des maux et des beautés, ce geste de cinéaste, humble et miraculeux, qui traverse la planète pour interroger la mémoire des autres et mieux regarder la mort en face.
Transfuge
Entre documentaire, essai d’arrachement à soi et récit amoureux, David Teboul a entrepris là un gigantesque voyage filmique, géographique, culturel, existentiel et nous embarque à notre tour dans son transit sibérien [...]. Un film comme une puissante et totale expérience pour le tiers spectateur que nous sommes.
Le Journal du Dimanche
Un magnifique documentaire sur lequel planent les ombres de Marguerite Duras et d’Alain Resnais.
Positif
Mon amour est un défi, une injonction poétique qui interpelle le temps, l’espace et l’intime. En dépit de ses incursions égotiques, ce voyage intérieur mérite le détour.
Télérama
Le résultat tient la distance (près de trois heures), rappelle parfois le lancinant film oublié de Frédéric Mitterrand, Lettres d’amour en Somalie (1982), et fascine durablement par son insondable profondeur.
L'Obs
Travaillé par la culpabilité de n’avoir pu sauver l’homme qu’il aimait, David Teboul la conjure dans ce requiem lyrique et prenant qui parvient à traiter du deuil de manière universelle.
La Croix
Véritable mausolée cinématographique construit à la mémoire de cet amour perdu, le film surmonte l’écueil de sa durée (près de trois heures) par la beauté de sa photographie et son rythme envoûtant, mais il nous met aussi parfois mal à l’aise tant David Teboul va loin dans la mise à nu de ses sentiments.
Le Monde
On connaît surtout David Teboul pour ses documentaires télévisés, sophistiqués, reconnaissables au premier regard par leur style qui entremêle l’essai cinématographique à l’écriture de soi, fait parfois mine de rater son sujet pour mieux le retrouver. (...) Plus frontalement subjectif, Mon amour s’ouvre sur la lettre d’un amant, Frédéric, avec lequel David Teboul a partagé dix ans de sa vie.
Première
Par ce double mouvement en apparence artificiel, Teboul crée une oeuvre d’une fluidité renversante, où on prend plaisir à s’abandonner.
Cahiers du Cinéma
Mais alors que le deuil pouvait être dépassé, voire débordé par la rencontre, le montage parallèle rabat ces paroles lointaines et les destins terribles qu’elles charrient (effondrement du monde soviétique, alcoolisme, violences familiales, meurtres, prison) au seul souvenir du défunt, soit à une mélancolie d’ordre privatif. La Sibérie filmée par Teboul reste un territoire abstrait, le support d’un processus intime.
L'Humanité
Guidé par une voix off très littéraire qui convoque Duras, Mon amour est une (très) longue enquête intime qui mêle, sans complètement y parvenir, documentaire et autofiction. C’est dommage, car la partie sibérienne est très belle.