Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Transfuge
par Damien Aubel
[...] le film de Louis Meunier réussit ce petit miracle : faire entendre les battements de coeur de l'amour fou dans la camisole fondamentaliste qui garotte Kaboul.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si la fiction est presque élémentaire (avec néanmoins une belle tragédie amoureuse), elle tire sa force de ses indéniables qualités documentaires. Cela reflète en partie les conditions pénibles du tournage – durant lequel l’équipe du film a subi l’attaque de talibans. Il s’en dégage une impression permanente de vérité et de danger.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sur fond d’histoire d’amour, un manifeste bienfaisant en faveur de la culture et des libertés.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
La belle idée du film, et son immense courage, est d’opposer au terrorisme un désir de fiction, de démontrer que, dans un pays menacé par l’obscurantisme, le simple fait de vouloir raconter une histoire, et de ressusciter son histoire est déjà un acte politique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Yannick Lemarié
Louis Meunier ne cherche pas à embellir la réalité, mais il refuse de la simplifier au point de donner à son drame, du moins dans la première partie, les accents d'une comédie. Pour cela, il peut compter sur une caméra légère, sur une musique sensible et, surtout, sur la belle énergie de ses comédiens qui, plutôt que de s'affliger, préfèrent prendre leur destin en main jusqu'au bout.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le témoignage saisissant sur la vie quotidienne à Kaboul se double d’un éloge vibrant de la culture comme arme de résistance à l’oppression.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Olivier Tallès
Un long métrage émouvant et original.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Marine Quinchon
On ne peut cependant qu’être admiratif devant la sincérité de ce projet militant, un portrait de la société afghane qui a valu à l’actrice principale, la seule restée dans ce pays où la guerre est partout, des menaces de mort.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marcos Uzal
On regrette cependant que ce film édifiant soit si démonstratif et finalement naïf à force d’enfouir la violence sous l’émotion et l’optimisme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sophie Benamon
Le film est joyeux, romantique, grave. Illuminé de la figure combattante de la comédienne Roya Hedari, il témoigne d’un passé aujourd’hui révolu : l’espace de cet instant où la culture a éclairé Kaboul. Ne le ratez pas.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Nicolas Schaller
Parce qu'ils ont tenté de renouer avec cette époque, Meunier et son équipe ont été la cible de menaces, d'une fusillade et même d'un incendie criminel. Cela les a contraints à fermer le lieu. Reste cet hommage au cinéma populaire afghan, très maladroit dans sa forme, dont le making of, " Kabul Cinema ", est nettement plus fort.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
Louis Meunier a souhaité rendre hommage à l'héritage artistique de la ville en imaginant une intrigue (parfois à dormir debout) autour de la rénovation du lieu (...).
Transfuge
[...] le film de Louis Meunier réussit ce petit miracle : faire entendre les battements de coeur de l'amour fou dans la camisole fondamentaliste qui garotte Kaboul.
L'Humanité
Si la fiction est presque élémentaire (avec néanmoins une belle tragédie amoureuse), elle tire sa force de ses indéniables qualités documentaires. Cela reflète en partie les conditions pénibles du tournage – durant lequel l’équipe du film a subi l’attaque de talibans. Il s’en dégage une impression permanente de vérité et de danger.
Les Fiches du Cinéma
Sur fond d’histoire d’amour, un manifeste bienfaisant en faveur de la culture et des libertés.
Les Inrockuptibles
La belle idée du film, et son immense courage, est d’opposer au terrorisme un désir de fiction, de démontrer que, dans un pays menacé par l’obscurantisme, le simple fait de vouloir raconter une histoire, et de ressusciter son histoire est déjà un acte politique.
Positif
Louis Meunier ne cherche pas à embellir la réalité, mais il refuse de la simplifier au point de donner à son drame, du moins dans la première partie, les accents d'une comédie. Pour cela, il peut compter sur une caméra légère, sur une musique sensible et, surtout, sur la belle énergie de ses comédiens qui, plutôt que de s'affliger, préfèrent prendre leur destin en main jusqu'au bout.
Télérama
Le témoignage saisissant sur la vie quotidienne à Kaboul se double d’un éloge vibrant de la culture comme arme de résistance à l’oppression.
La Croix
Un long métrage émouvant et original.
Le Parisien
On ne peut cependant qu’être admiratif devant la sincérité de ce projet militant, un portrait de la société afghane qui a valu à l’actrice principale, la seule restée dans ce pays où la guerre est partout, des menaces de mort.
Libération
On regrette cependant que ce film édifiant soit si démonstratif et finalement naïf à force d’enfouir la violence sous l’émotion et l’optimisme.
Première
Le film est joyeux, romantique, grave. Illuminé de la figure combattante de la comédienne Roya Hedari, il témoigne d’un passé aujourd’hui révolu : l’espace de cet instant où la culture a éclairé Kaboul. Ne le ratez pas.
L'Obs
Parce qu'ils ont tenté de renouer avec cette époque, Meunier et son équipe ont été la cible de menaces, d'une fusillade et même d'un incendie criminel. Cela les a contraints à fermer le lieu. Reste cet hommage au cinéma populaire afghan, très maladroit dans sa forme, dont le making of, " Kabul Cinema ", est nettement plus fort.
Le Monde
Louis Meunier a souhaité rendre hommage à l'héritage artistique de la ville en imaginant une intrigue (parfois à dormir debout) autour de la rénovation du lieu (...).