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6 critiques presse
Critikat.com
par Ariane Beauvillard
À quarante ans, le cinéaste s'attachait déjà à reformuler les données du classicisme et à en extraire une substantifique moelle, celle de la profondeur mystérieuse de cet étrange métier qu'est celui de regarder.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jean De Baroncelli
"Chinatown" est l'œuvre d'un virtuose. Et les virtuoses de cette classe sont rares. Le Monde, 20 décembre 74
Télérama
par Alain Remond
"Chinatown" est le film policier parfait, parce qu'il est bien plus qu'un simple film policier. Il est l'aboutissement d'un genre. Télérama, 21 décembre 74
Cahiers du Cinéma
par Pascal Kané
"Chinatown", c'est aussi Hollywood, un Hollywood crépusculaire aux lumières presque éteintes, mais qu'on ne peut se décider à quitter. (…) Tableau lugubre à base de désanchantement, de régression, de pulsion de mort. Cahiers du cinéma 256, février-mars 75
Libération
par J.F.B.
Imaginez un roman policier où l'on renoncerait, après avoir eu l'appétit aiguisé de rebondissements en fausses pistes, à connaître l'intrigue, le cœur soulagé, trois pages avant la fin. Mais l'image est là, toute nue, et Polanski insensiblement en a rendu prisonnier. Libération, 13 février 83
Positif
par Jacques Segond
(…) une réussite comme celle de "Chinatown" n'ajoute sans doute pas grand-chose à l'œuvre "personnelle" de Roman Polanski mais elle devrait lui permettre de poursuivre sa carrière et de repartir vers la création de formes davantages libérées des conventions génériques. Positif 164, décembre 74
Critikat.com
À quarante ans, le cinéaste s'attachait déjà à reformuler les données du classicisme et à en extraire une substantifique moelle, celle de la profondeur mystérieuse de cet étrange métier qu'est celui de regarder.
Le Monde
"Chinatown" est l'œuvre d'un virtuose. Et les virtuoses de cette classe sont rares. Le Monde, 20 décembre 74
Télérama
"Chinatown" est le film policier parfait, parce qu'il est bien plus qu'un simple film policier. Il est l'aboutissement d'un genre. Télérama, 21 décembre 74
Cahiers du Cinéma
"Chinatown", c'est aussi Hollywood, un Hollywood crépusculaire aux lumières presque éteintes, mais qu'on ne peut se décider à quitter. (…) Tableau lugubre à base de désanchantement, de régression, de pulsion de mort. Cahiers du cinéma 256, février-mars 75
Libération
Imaginez un roman policier où l'on renoncerait, après avoir eu l'appétit aiguisé de rebondissements en fausses pistes, à connaître l'intrigue, le cœur soulagé, trois pages avant la fin. Mais l'image est là, toute nue, et Polanski insensiblement en a rendu prisonnier. Libération, 13 février 83
Positif
(…) une réussite comme celle de "Chinatown" n'ajoute sans doute pas grand-chose à l'œuvre "personnelle" de Roman Polanski mais elle devrait lui permettre de poursuivre sa carrière et de repartir vers la création de formes davantages libérées des conventions génériques. Positif 164, décembre 74