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30 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Au détour d’un puzzle hitchcockien, le cinéaste nous trimbale, n’omettant rien d’une vision sociale décharnée, intraitable, profondément injuste. Et dans la perfection de sa mise en scène, ce n’est pas la moindre des qualités de "Burning" que de tacler sans cesse l’illusion du vide, prétexte aux images saisissantes de serres de plastique, dépouillées et en feu, où ne vibre plus que le souffle de la colère.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
La suprême élégance de Burning, c’est de ne pas brûler tous ses vaisseaux à l’écran, mais de les laisser s’infiltrer dans les canaux les plus secrets de notre imaginaire.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le génie de Lee Chang-dong est de parvenir à tirer autant de si peu, à étirer son film sans le distendre, à faire d’une histoire où "il ne se passe rien" un récit universel imprévisible.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Thomas Choury
Le vertige magistral de Burning donne des frissons : celui d’une œuvre qui fait dialoguer main dans la main créateur et créatures, un film comme coécrit par son auteur et son héros, partagé comme un feu sacré que se transmettrait l’artiste et son double, le cinéaste et son acteur, le romancier et son personnage pour redonner sens au monde et mettre à bas sa hiérarchie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Huit ans après Poetry, le grand réalisateur coréen revient avec un film puissant qui porte sur l’amour, l’écriture et la faute.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Un pays tout en ébullition étouffée, menacé à chaque instant, de l’extérieur, de l’intérieur et dont le film de Lee Chang-dong prend subtilement le pouls tout autant qu’il projette des images dévorantes, d’une force rare et ravageuse, sur sa violente dualité et l’incendie qui couve sous ses serres.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Cette œuvre majeure de Lee Chang-dong, injustement écartée du dernier palmarès cannois, reste un film absolument fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Jérémy Piette
Vibrant et intense, le film de Lee Chang-dong, l’un des plus beaux du dernier Festival de Cannes, oscille entre thriller romantique et traque métaphysique tandis que les certitudes de son trio amoureux se consument à petit feu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Un grand thriller mental et politique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Alain Masson
À la fois limpide et mystérieux, maîtrisé et ambigu, "Burning" est une leçon de mise en scène et un objet de fascination.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
La beauté formelle, physique et émotionnelle du dernier film du Sud-Coréen Lee Chang-dong était pourtant évidente, tant elle possède une force insidieuse et mystérieuse qui, en même temps qu'elle enveloppe les personnages pour finalement les terrasser, saisit un spectateur foudroyé.
Transfuge
par François Bégaudeau
"Burning", le nouveau chef-d’oeuvre de Lee Chang-dong ou le cinéma comme éloge du vide.
Voici
par Daniel Blois
Sous les atours du thriller, captivant et vénéneux affleure une chronique très actuelle, cinglante et enragée, de la lutte des classes. A ne surtout pas rater.
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Mais qu’est ce qui fait de « Burning » un film aussi incandescent ? Peut-être son climat mystérieux, où les feux ne s’allument ni ne s’éteignent vraiment et où la plupart des énigmes restent en suspens…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Lili Yubari
[...] cet étrange triangle amoureux coréen bascule en un thriller fascinant, où l'imaginaire contamine petit à petit toutes les images.
L'Express
par Eric Libiot
"Burning" flirte avec le thriller, le film réaliste, la comédie dramatique. Il y a des moments de grâce inouïs, des ruptures de ton étonnantes, des embardées poétiques inattendues.
L'Obs
par François Forestier
Avec une maestria rare, le réalisateur progresse par petites touches, suggère la présence du diable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Un superbe thriller psychologique.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Céline Rouden
Entre drame sentimental et thriller existentiel, le film du Sud-Coréen Lee Chang-dong, cinéaste aussi rare que talentueux, captive par son atmosphère nimbée de mystère.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un marivaudage qui se transforme en thriller cérébral pour déboucher sur une vénéneuse réflexion sur l’illusion. Puissant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Françoise Dargent
Lee Chang-dong s'engouffre avec une grande classe dans les blancs d'une nouvelle de Haruki Murakami et livre sa version coréenne de l'univers de l'écrivain japonais.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Lee Chang-dong signe son film le plus abstrait, le plus beau, le plus surprenant, entre thriller et brûlot social.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Film d’attente au scénario impeccablement ciselé, "Burning" est aussi un grand film de forme et de chair. Il multiplie les points d’incandescence à l’intérieur du cadre, prophétie annonçant l’embrasement final, autant qu’il fixe l’érotisme qui se dégage de son actrice principale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
À la fois film à suspense et parabole sur les inégalités sociales qui rongent le pays, ce mélodrame clinique nous captive, jusqu'à son final glaçant.
Première
par Gérard Delorme
Huit ans après Poetry, Lee Chang Dong revient avec un film intense et stimulant, qui tient de la fable existentielle, de la quête initiatique et de la réflexion sur l’art.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un superbe polar.
Télérama
par Jacques Morice
La plupart des indices sont révélés au grand jour, sans que l’on s’en rende forcément compte, tout au long de ce film sinueux, très captivant, mais sans dramatisation de l’action.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Une telle densité thématique emballée dans l’écrin d’une mise en scène flamboyante, voilà le beau cadeau que Lee Chang-dong a offert à ce Festival de Cannes. Sa plus grande réussite est d’avoir su mettre sa délicatesse habituelle au profit d’une intrigue criminelle retors.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Malgré sa belle écriture, sans complaisance, sa mise en images efficace, Lee Chang-dong étire trop son propos, nous laissant un peu sur le bord de la route.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film aux allures de thriller, plein de poésie et d'étrangeté. Mais le récit reste aussi dense et compliqué qu'un roman de William Faulkner.
Bande à part
Au détour d’un puzzle hitchcockien, le cinéaste nous trimbale, n’omettant rien d’une vision sociale décharnée, intraitable, profondément injuste. Et dans la perfection de sa mise en scène, ce n’est pas la moindre des qualités de "Burning" que de tacler sans cesse l’illusion du vide, prétexte aux images saisissantes de serres de plastique, dépouillées et en feu, où ne vibre plus que le souffle de la colère.
Cahiers du Cinéma
La suprême élégance de Burning, c’est de ne pas brûler tous ses vaisseaux à l’écran, mais de les laisser s’infiltrer dans les canaux les plus secrets de notre imaginaire.
CinemaTeaser
Le génie de Lee Chang-dong est de parvenir à tirer autant de si peu, à étirer son film sans le distendre, à faire d’une histoire où "il ne se passe rien" un récit universel imprévisible.
Critikat.com
Le vertige magistral de Burning donne des frissons : celui d’une œuvre qui fait dialoguer main dans la main créateur et créatures, un film comme coécrit par son auteur et son héros, partagé comme un feu sacré que se transmettrait l’artiste et son double, le cinéaste et son acteur, le romancier et son personnage pour redonner sens au monde et mettre à bas sa hiérarchie.
L'Humanité
Huit ans après Poetry, le grand réalisateur coréen revient avec un film puissant qui porte sur l’amour, l’écriture et la faute.
La Septième Obsession
Un pays tout en ébullition étouffée, menacé à chaque instant, de l’extérieur, de l’intérieur et dont le film de Lee Chang-dong prend subtilement le pouls tout autant qu’il projette des images dévorantes, d’une force rare et ravageuse, sur sa violente dualité et l’incendie qui couve sous ses serres.
Les Fiches du Cinéma
Cette œuvre majeure de Lee Chang-dong, injustement écartée du dernier palmarès cannois, reste un film absolument fascinant.
Libération
Vibrant et intense, le film de Lee Chang-dong, l’un des plus beaux du dernier Festival de Cannes, oscille entre thriller romantique et traque métaphysique tandis que les certitudes de son trio amoureux se consument à petit feu.
Paris Match
Un grand thriller mental et politique.
Positif
À la fois limpide et mystérieux, maîtrisé et ambigu, "Burning" est une leçon de mise en scène et un objet de fascination.
Studio Magazine
La beauté formelle, physique et émotionnelle du dernier film du Sud-Coréen Lee Chang-dong était pourtant évidente, tant elle possède une force insidieuse et mystérieuse qui, en même temps qu'elle enveloppe les personnages pour finalement les terrasser, saisit un spectateur foudroyé.
Transfuge
"Burning", le nouveau chef-d’oeuvre de Lee Chang-dong ou le cinéma comme éloge du vide.
Voici
Sous les atours du thriller, captivant et vénéneux affleure une chronique très actuelle, cinglante et enragée, de la lutte des classes. A ne surtout pas rater.
20 Minutes
Mais qu’est ce qui fait de « Burning » un film aussi incandescent ? Peut-être son climat mystérieux, où les feux ne s’allument ni ne s’éteignent vraiment et où la plupart des énigmes restent en suspens…
BIBA
[...] cet étrange triangle amoureux coréen bascule en un thriller fascinant, où l'imaginaire contamine petit à petit toutes les images.
L'Express
"Burning" flirte avec le thriller, le film réaliste, la comédie dramatique. Il y a des moments de grâce inouïs, des ruptures de ton étonnantes, des embardées poétiques inattendues.
L'Obs
Avec une maestria rare, le réalisateur progresse par petites touches, suggère la présence du diable.
LCI
Un superbe thriller psychologique.
La Croix
Entre drame sentimental et thriller existentiel, le film du Sud-Coréen Lee Chang-dong, cinéaste aussi rare que talentueux, captive par son atmosphère nimbée de mystère.
La Voix du Nord
Un marivaudage qui se transforme en thriller cérébral pour déboucher sur une vénéneuse réflexion sur l’illusion. Puissant.
Le Figaro
Lee Chang-dong s'engouffre avec une grande classe dans les blancs d'une nouvelle de Haruki Murakami et livre sa version coréenne de l'univers de l'écrivain japonais.
Le Monde
Lee Chang-dong signe son film le plus abstrait, le plus beau, le plus surprenant, entre thriller et brûlot social.
Les Inrockuptibles
Film d’attente au scénario impeccablement ciselé, "Burning" est aussi un grand film de forme et de chair. Il multiplie les points d’incandescence à l’intérieur du cadre, prophétie annonçant l’embrasement final, autant qu’il fixe l’érotisme qui se dégage de son actrice principale.
Marie Claire
À la fois film à suspense et parabole sur les inégalités sociales qui rongent le pays, ce mélodrame clinique nous captive, jusqu'à son final glaçant.
Première
Huit ans après Poetry, Lee Chang Dong revient avec un film intense et stimulant, qui tient de la fable existentielle, de la quête initiatique et de la réflexion sur l’art.
Sud Ouest
Un superbe polar.
Télérama
La plupart des indices sont révélés au grand jour, sans que l’on s’en rende forcément compte, tout au long de ce film sinueux, très captivant, mais sans dramatisation de l’action.
aVoir-aLire.com
Une telle densité thématique emballée dans l’écrin d’une mise en scène flamboyante, voilà le beau cadeau que Lee Chang-dong a offert à ce Festival de Cannes. Sa plus grande réussite est d’avoir su mettre sa délicatesse habituelle au profit d’une intrigue criminelle retors.
Franceinfo Culture
Malgré sa belle écriture, sans complaisance, sa mise en images efficace, Lee Chang-dong étire trop son propos, nous laissant un peu sur le bord de la route.
Ouest France
Un film aux allures de thriller, plein de poésie et d'étrangeté. Mais le récit reste aussi dense et compliqué qu'un roman de William Faulkner.