Cette suite de "Tanguy", une nouvelle fois réalisée par Étienne Chatiliez et sortie en 2019, n'est honnêtement pas terrible. Nous retrouvons donc Tanguy qui retourne habiter chez ses parents, cette fois avec sa fille, suite à une rupture. Bon, voilà dès le synopsis, on voit tout de suite vers quoi le film veut aller et je préviens tout de suite que le scénario ne nous réserve pas de surprises. C'est-à-dire que nous avons, grosso-modo, le même scénario que celui du précédent film, ce qui est bien dommage ! Le film est donc une grosse déception, enfin sauf si on voyait le coup venir dans le synopsis et dans la bande-annonce, car il était très attendu et le réalisateur sait habituellement toujours se renouveler en proposant des histoires et des thèmes originaux. Nous avons toujours eu quelque chose de recherché et de surtout très cynique envers divers sujets représentatifs de la société en général. Ici, nous avons donc le même sujet que le premier film mais rien n'a réellement changé. De plus, nous avons les mêmes gags et la surprise n'est plus là, ce n'est que du réchauffé. Il y a bien-sûr des scènes drôles et le film reste divertissant dans l'ensemble mais j'en attendais bien plus de la part du réalisateur. Cependant, en ce qui concerne la fin, elle ne tombe pas dans le prévisible et nous réserve quelques bonnes surprises. Du côté des acteurs, nous retrouvons principalement Éric Berger, Sabine Azéma et André Dussollier qui jouent toujours aussi bien. "Tanguy, le retour" est donc dans l'ensemble une belle déception.
Décidément, Étienne Chatilliez n’y arrive plus. Même le retour dans le nid parental de Tanguy, 16 ans après son envol, n’a pas permis au réalisateur de se refaire une petite santé. A aucun moment la mayonnaise prend, c’est plat et même pas drôle. Seul André Dussollier sauve les meubles.
Autant le premier était bien, autant cette suite est une daube absolue. On ne rit jamais, les parents sont méchants, Tanguy et sa famille sont niais. Même sous acide et avec 2 g d'alcool tout cela vous fera pitié. Bref encore un nanard de plus dans le cinéma français.
Tanguy avait finalement quitté le nid. Heureux, ses parents vivaient leur liberté de la meilleure des façons. Golf, dîner entre amis, moments "séries télé", tout y était. Mais un jour, alors que rien ne semblait perturber ce couple de retraités, Tanguy est revenu… avec sa fille Zhu. Fraîchement largué par sa femme chinoise et désemparé, il n'a trouvé d'autres solutions que de revenir en France chez ses parents chéris. Effet garanti même si parfois déjà vu.
Tout simplement affligeant. Malgré des critiques désastreuses, j'ai voulu me faire ma propre idée. J'ai vite été fixé; je rarement vu un film aussi mauvais que ce soit dans le jeu des acteurs, la mise en scène et le scénario. Un navet absolu.
Nous craignons toujours les suites de films dix ou vingt ans plus tard. En 2001, le “Tanguy” d’Etienne Chatiliez fût un succès énorme vu par 4,3 millions de spectateurs. Sabine Azéma et André Dussollier jouaient les parents d’Eric Berger, qui vivait encore chez eux à vingt-huit ans. Bien qu’il soit charmant, ils décidèrent de lui faire vivre un enfer pour qu’il quitte enfin leur luxueux appartement. Dans “Tanguy le retour”, l’homme désormais âgé de quarante-quatre ans revient au domicile familial et avec sa fille cette fois. En effet, l’épouse les a quittés. Les parents vont devoir supporter de nouveau sa gentillesse oppressante. Nous ne serons pas étonnés de constater que cette suite est une copie du premier volet. Bien que nous ne nous attendions à aucune surprise, Chatiliez aurait pu pimenter davantage ses gags. En fin de compte, “Tanguy le retour” est édulcoré dans ses souvenirs et ses bons sentiments. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Puisqu'il faut 100 caractères pour laisser un avis : direction d'acteurs lamentable , scenar écrit entre l entrée et le plat du midi , jeu sans conviction ,Azema/Dussolier nécessiteux, les autres .. inutile de les citer . Bref ,Chatiliez vieillit mal .