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apotheme
118 abonnés
2 027 critiques
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2,5
Publiée le 20 avril 2020
Tanguy le retour arrive à nous proposez une suite qui s'accorde au premier. Néanmoins, on retrouve le même type de situation ce qui fait que ce suite ressemble trop au premier même si elle intègre de nouveaux personnages qui donnent un peu de fraîcheur.
Inutile... J'ai bien aimé le premier et j'étais donc curieuse du deuxième. Et bien bis repetita : les mêmes personnages certes mais surtout la même intrigue et les mêmes blagues... Le personnage de la fille de Tanguy est clairement trop lisse dès le départ. Et entre nous, n'aurait-elle pas pu avoir 18 ans que 16 ?! Ça aurait été plus cohérent dans l'histoire !
Cette suite est la parfaite illustration de ce qu'il ne faut pas faire : la suite d'un carton du box-office, un marqueur même de notre société. Car forcément, les comparaisons, inévitables, sont cruelles. Si l'enthousiasme des acteurs reste perceptible, il ne suffit vraiment pas à donner un allant suffisant à cette histoire, histoire qui souffre d'une écriture bâclée aux situations improbables et peu crédibles, avec des dialogues creux pour un humour surfait. Bref, un vrai carnage.
Ce film bien que totalement sympathique du aux joies de retrouver ces personnages emblématiques est totalement ridicule. Quelque gag sympathique toutefois la fin est incompréhensible... une comédie se finie toujours sur un happy end ... dans ce cas là comment les arrières grands parents du petit ne sont ils pas content de sa naissance ... bref le film porte à croire qu'ils auraient souhaité sa mort pour ne pas revivre le passé honteux et ridicule ... j'aime énormément André dusolier mais al je ne comprend pas du tout cette fin que je trouve presque dramatique
C'est clairement pas à la hauteur du premier, mais ça reste du Chatiliez, et donc bon. Franchement un peu déçue, j'ai quand même ri de bon coeur à plusieurs reprises. Et Azéma et Dussolier sont des acteurs exceptionnels !! (En revanche, la comédienne qui joue leur petit-fille, la cata totale, mais qui l'a recrutée ?). Bref, un bon moment et une comédie qui tient la route si on ne cherche pas à la comparer au premier opus devenu culte.
Une suite qui reprend les mêmes ingrédients que le premier film. Sans être mauvais, ce Tanguy 2 n'apporte rien de plus à ce qui a été fait. Ca se regarde mais c'était largement dispensable.
Tanguy était le dernier succès en 2001 d'Etienne Chatilliez, a commencé à se perdre avec la confiance règne, a renoncé à faire rire et émouvoir avec Agathe Cléry et a définitivement perdu la voix du succès et de l'estime avec le très médiocre Oncle Charles. Un reboot de Tanguy était un idée sur le papier qui paraissait séduisante, on comprends que les producteurs aient eu envie d'y aller. Tanguy le retour est malheureusement raté. Quelques bons moment du au plaisir de retrouver les personnages savoureux de Tanguy, on remerciera les réalisateurs de ne pas avoir fait les même erreur que Jea-Marie Poiré avec les Ok de Jacquouille dans la suite des visiteurs avec les étouffements de Sabine Azéma qui restent savoureux car utilisés seulement 2 fois. Le film est moue, sans intérêt. Les acteurs sont bien. On sourit quand même quelque fois, un film de confinement, pas de cinéma.
Près de dix-huit ans après le film original, Etienne CHATILIEZ livre une suite sans grande originalité. En effet, "Tanguy, le retour" a trop tendance à recopier ce que faisait son aîné. À défaut d'être tranchant, cela reste toutefois distrayant. Nous avons plaisir à retrouver Eric BERGER dans son rôle d'adulte immature, ainsi que le couple vedette d'acteurs interprétés par Sabine AZÉMA et André DUSSOLIER. Mais c'est sans grande surprise et avec une mise en scène en panne d'inspiration que nous suivons les nouvelles mésaventures du casting originel.
Dommage, le premier était presque bon de par la découverte et l'inattendu. Ici rien ne fonctionne, alors que le décor était déjà en place il y'a bien longtemps... Mais ni le scénario, ni les quelques vannes, et encore encore moins la fin ne sont à garder. Je ne suis pas difficile mais ce film est très mauvais.
CASSE TETE CHINOIS. Qui se contente de peu a toutes les qualités du monde. Le retour du roi dans son palais. Les souvenirs reviennent et les larmes du bon temps roulent sur ce sol froid et glissant. Etienne Chatiliez n'a plus de confiance, plus de bonheur. Qui ne progresse pas chaque jour, recule chaque jour.
Un film qui ne sert à rien. Comment ça ? Et bien : qui n'a rien à raconter, ne fait absolument pas rire ni même esquisser une quelconque émotion (n'importe laquelle), n'a pas de fin (pour cela, il faudrait déjà commencer) et est au comble du mauvais jeu d'acteurs. En effet, l'histoire est purement anecdotique (le premier opus se serait amplement suffit à lui-même, quand on voit l'absence totale d'enjeu du second) et la situation qu'on nous présente à la fin du film ne constitue pas une conclusion, on aurait même pu démarrer les gags amusants avec l'arrivéespoiler: du bébé chez les deux personnes âgées. Mais non. Car Tanguy, Le Retour n'a aucun gag. Rien de cocasse ni même une réplique amusante, tout se passe dans le calme plat, et les "hips" nerveux que fait Sabine Azéma sont plus agaçants qu'autre chose... Tout est très mal joué et ne nous fait ressentir que le coup de vieux qu'a pris l'ensemble du casting qui surjoue pour compenser. Bien au-delà de "pas drôle" et "dispensable", Tanguy Le Retour est une pure perte de temps.
Malgré une bande annonce qui ne me motivait pas pour aller voir le film, je dois dire que j'ai été surpris dans le bon sens du terme , en effet, même si l'on peut juger qu'il est un peu moins bon que le premier, le film reste plaisant et drole à regarder.
Une déception.spoiler: En quoi trafiquer les freins du vélo va inciter Tanguy à partir de la maison ? C'est risqué et dangereux car cela peut tuer Tanguy et sa fille. Les parents sont-ils à ce point désespérés pour envisager un départ qui s'apparenterait à un sabotage meurtrier ? Faire du bruit dans l'appartement, je comprends. Faire en sorte que le séjour de Tanguy et sa fille soit pourri, je comprends, mais trafiquer les freins des vélos... Il fallait bien justifier la fin du film me direz-vous, et le côté cartoon avec les gesticulations de Paul à sa fenêtre. Seulement, on n'est pas chez Albert Dupontel ! Si mes souvenirs sont bons, dans le premier volet, Edith avait des idées de meurtre. De là à les mettre en pratique... Paul, me semble-t-il, avait engagé des gros-bras pour casser la figure à son fils. Tanguy avait même intenté un procès contre ses parents qui lui devaient assistance. Les parents étaient désespérés. Dans ce second volet, seize ans ont passé. Seize années durant lesquelles les parents ont rendu régulièrement visite à leur grand bambin. Ils ont fait la connaissance de sa femme, de sa fille et de la Chine. On peut imaginer que la hache de guerre a été enterrée ou à défaut plantée au sol. Cela ne signifie pas pour autant que tout a été oublié. Or, c'est le sentiment que cela m'a donné durant une bonne demi-heure (peut-être plus) dans ce retour. Certes, je veux bien croire que l'installation de Tanguy avec sa fille soit interprétée par les parents comme provisoire ; mais la façon dont le traumatisme est apparu m'a paru soudain. N'aurait-il pas mieux valu percevoir les toutes premières interrogations de Paul et d'Edith au lendemain de l'installation de Tanguy ? Faire référence à ce passé douloureux tout en balayant l'idée de le revivre ? On ne sent pas tout ça dès le départ. Je ne dis pas qu'il fallait installer la situation dès les premières minutes de son arrivée, mais une phrase, une réflexion sarcastique, un doute auraient pu évoquer l'angoisse vécue seize années en arrière. Au lieu de ça, pendant près d'une heure, le film s'agite comme Paul, et rien ne vient car le récit s'éternise dans un quotidien inintéressant. Puis tout se précipite avec brusquerie. J'ai à peine souri et j'ai ressenti une certaine pesanteur. Une déception vous dis-je...
Ce deuxième opus (à l'époque le premier laissa une empreinte sympathique à défaut d'être inoubliable) donne la désagréable impression de s'adonner au remplissage mais sans contenir le moindre ressort comique. Quant à la seule bonne idée du script (l'inversion des rôles avec les parents qui deviennent dépendants), elle est terriblement mal exploitée.