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Votre avis sur Tanguy, le retour ?
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Ce deuxième volet de Tanguy 16 ans plus tard a un goût de réchauffé. En effet, on retrouve avec plaisir le couple Dussollier/Azéma qui prend toujours autant de plaisir à user d'artifices pour faire partir leur rejeton et sa fille mais globalement la mayonnaise ne prend pas. On esquisse un sourire parfois mais jamais de franche rigolade et cette suite s'enlise pour parfois tomber dans le grotesque avec du comique de répétition sur les problèmes de prostate de Dussollier. Un ensemble sans saveur malgré le plaisir de retrouver le duo de parents détonants.
Trop nul! Que du cliché sur les chinois comme quoi on récupère les white trash. Malheureusement comme la plus part des films, inutile de faire une suite.
« Tanguy, le retour » de Étienne Chatiliez est pour moi la juxtaposition de 2 parties.
La première correspond au retour chez ses parents de Tanguy et de sa fille Zhu (18 ans qui prépare son bac pour bien sûr faire médecine et qui est bien sûr adepte de Lao Tseu et de Confucius.), suite au départ de Mei Lin, l’épouse Shanghaïenne de Tanguy … mais ce n’est qu’un mauvais remake du « Tanguy » de 2001 sans grand suspens et avec nombre de « lourdeurs » : la prostate de André Dussollier et ses trous de mémoire ; l’arthrose et les tics de Sabine Azéma ; les « amis » imbuvables du golf et les restaurants huppés.
La seconde partie correspond au retour devenu inattendu de Mei Lin avec des conséquences assez cocasses et une fin de type « arroseur arrosé » que je vous laisse découvrir.
L’effet d’innovation et de surprise induit par le premier Tanguy vient hélas gâcher ce film avec un jeu d’acteurs pour ma part souvent trop poussé. A part la déco qui est superbe, il n’y a rien de plus avec ce dernier Chatilliez, certes plaisant à voir mais avec une grande impression de déjà-vu.
La première correspond au retour chez ses parents de Tanguy et de sa fille Zhu (18 ans qui prépare son bac pour bien sûr faire médecine et qui est bien sûr adepte de Lao Tseu et de Confucius.), suite au départ de Mei Lin, l’épouse Shanghaïenne de Tanguy … mais ce n’est qu’un mauvais remake du « Tanguy » de 2001 sans grand suspens et avec nombre de « lourdeurs » : la prostate de André Dussollier et ses trous de mémoire ; l’arthrose et les tics de Sabine Azéma ; les « amis » imbuvables du golf et les restaurants huppés.
La seconde partie correspond au retour devenu inattendu de Mei Lin avec des conséquences assez cocasses et une fin de type « arroseur arrosé » que je vous laisse découvrir.
L’effet d’innovation et de surprise induit par le premier Tanguy vient hélas gâcher ce film avec un jeu d’acteurs pour ma part souvent trop poussé. A part la déco qui est superbe, il n’y a rien de plus avec ce dernier Chatilliez, certes plaisant à voir mais avec une grande impression de déjà-vu.
Si « Tanguy, le retour » n’est pas un chef d’oeuvre et sera peut-être vite oublié, je trouve qu’il ne mérite pas les notes désastreuses des critiques sur les sites de cinéma.
D’accord, la plupart des gags sentent le réchauffé (sauf celui du vélo), le rythme du film est assez mou, mais c’est très sympathique de retrouver les 3 acteurs principaux du premier opus.
Sabine Azéma et André Dussolier sont excellents.
Dans leur magnifique appartement parisien, Edith et Paul Guetz vivent une retraite dorée malgré quelques soucis de santé.
Un jour, Tanguy qui a maintenant 44 ans, arrive de Pékin, accompagné par sa fille de 17 ans, Zhu. Sa femme vient de le quitter.
Le père et sa fille s’incrustent, de fil en aiguille, font entrer leurs amis et familles dans la vie du couple de retraités, qui trouve cela insupportable.
Au final, Edith et Paul paraissent assez égoïstes, sans aucun esprit de famille, alors que l’entourage de Tanguy apporte une note de gaieté et de solidarité. Les valeurs du premier opus ne sont plus les mêmes ici. Je ne regrette pas d’y être allée.
Mon blog : larroseurarrose.com
D’accord, la plupart des gags sentent le réchauffé (sauf celui du vélo), le rythme du film est assez mou, mais c’est très sympathique de retrouver les 3 acteurs principaux du premier opus.
Sabine Azéma et André Dussolier sont excellents.
Dans leur magnifique appartement parisien, Edith et Paul Guetz vivent une retraite dorée malgré quelques soucis de santé.
Un jour, Tanguy qui a maintenant 44 ans, arrive de Pékin, accompagné par sa fille de 17 ans, Zhu. Sa femme vient de le quitter.
Le père et sa fille s’incrustent, de fil en aiguille, font entrer leurs amis et familles dans la vie du couple de retraités, qui trouve cela insupportable.
Au final, Edith et Paul paraissent assez égoïstes, sans aucun esprit de famille, alors que l’entourage de Tanguy apporte une note de gaieté et de solidarité. Les valeurs du premier opus ne sont plus les mêmes ici. Je ne regrette pas d’y être allée.
Mon blog : larroseurarrose.com
Difficile de qualifier de décevant un film que personne n'attendait, mais force est de constater que si le premier était original et rythmé ce second volet n'apporte rien, se contentant de recycler la même histoire, en moins bien, en moins drôle. Chatillez fait le service minimum, rajoutant des personnages pour meubler son histoire (procédé classique des séries tv. sauf que la on ne parle pas d'un 20e épisode mais bien d'un 2e opus). C'est d'autant plus dommage qu'il y avait quelques bonnes pistes (notamment leurs amis qui se disent que même si leur fils est colant, il les aime et s'occupe d'eux) et des embrions d'idées (Tanguy se retrouvant à la place de ses parents vivant la même chose avec sa fille) mais l'écriture paresseuse et l'image grise et triste finissent d'enterrer définitivement un film qui n'avait, sous cette forme, aucune raison d'exister. Ennuyeux.
La musique de la bande annonce inquiète un peu mais on a envi d être surpris. Les balles de golfs croisée avec des lithographies japonaise .... pourquoi pas.
Démarrage très long. Décors hyper visible
Scénario revisité du premier. C est la Difficulté du deuxième
Le jeu d acteur pas vraiment à la hauteur. On peut dire assez peusant . Peut être une répartie imprévisible sur le lot .... Les autres sont entendues et sans provoquer la distraction que j espérais.
Démarrage très long. Décors hyper visible
Scénario revisité du premier. C est la Difficulté du deuxième
Le jeu d acteur pas vraiment à la hauteur. On peut dire assez peusant . Peut être une répartie imprévisible sur le lot .... Les autres sont entendues et sans provoquer la distraction que j espérais.
Pas déçue du film. Des références au 1er film choisies avec goût. Bons jeux d'acteurs comme pour le premier. Une belle fin 😂... Et je finirai par dire, parent un jour parent toujours... ;-)
Je ne comprends pas ces critiques négatives.
Sabine Azema et André Dussolier toujours excellents dans leur rôle.
merci pour l'expression de leur art.Des thématiques transposables dans une réalité.
jJ'ai passé un très bon moment.
Sabine Azema et André Dussolier toujours excellents dans leur rôle.
merci pour l'expression de leur art.Des thématiques transposables dans une réalité.
jJ'ai passé un très bon moment.
très bon 2ème épisodes, le jeu des différends acteurs est excellent, même les séquences attendues sont un plaisir à voir. je recommande cette comédie typiquement française et largement au-dessus du jeu américain.
nul de nul. Duselier est pathétique avec sa prostate. Un (mal) réchauffé de Tanguy... bref, sans intérêt
18 ans après la sortie du premier "Tanguy", Etienne Chatiliez a eu manifestement envie de nous raconter la suite des aventures de cet homme qui n'arrivait pas à quitter le nid familial même à 28 ans...
Tanguy a désormais 44 ans et il vit maintenant en Chine avec son épouse Meï et sa fille de 16 ans Zhu.
En France, un soir que Paul et Edith vivent tranquillement leur retraite devant une série télé, Tanguy débarque : sa femme l'a quitté, il cherche asile pour sa fille et lui pour (soit disant) quelques jours...
Le cauchemar du rejeton qui revient s'incruster longuement chez papa-maman recommence alors...
Le film de 2001 ne m'avait pas enthousiasmé plus que cela à l'époque, on retrouve ici toutes les ficèles comiques du premier volet.
Les personnages secondaires (y compris celui de Tanguy) ne sont pas vraiment convaincants, le seul vrai côté savoureux est le couple Sabine Azéma-André Dussollier délicieusement énervé de voir leur fils à nouveau à la sauce incruste.
Divertissant mais pas très innovant non plus.
Site www.cinemadourg.free.fr
Tanguy a désormais 44 ans et il vit maintenant en Chine avec son épouse Meï et sa fille de 16 ans Zhu.
En France, un soir que Paul et Edith vivent tranquillement leur retraite devant une série télé, Tanguy débarque : sa femme l'a quitté, il cherche asile pour sa fille et lui pour (soit disant) quelques jours...
Le cauchemar du rejeton qui revient s'incruster longuement chez papa-maman recommence alors...
Le film de 2001 ne m'avait pas enthousiasmé plus que cela à l'époque, on retrouve ici toutes les ficèles comiques du premier volet.
Les personnages secondaires (y compris celui de Tanguy) ne sont pas vraiment convaincants, le seul vrai côté savoureux est le couple Sabine Azéma-André Dussollier délicieusement énervé de voir leur fils à nouveau à la sauce incruste.
Divertissant mais pas très innovant non plus.
Site www.cinemadourg.free.fr
Déçus. Nous avons décidé d'ignorer les mauvaises critiques pour nous forger un avis, nostalgique de l'excellent premier film.
Si on prend plaisir à retrouver le casting d'origine (à l'exception de JP Rouve et de la grand mère hillarante qui sont absents), on se retrouve très vite face à un gros soucis de rythme et d'écriture. Chatiliez ne redorera pas son blason avec ce film, c'est certain. L'époque des dialogues et répliques cultes est bien loin, tout autant que le cynisme et le féroce qui animaient ses films jusqu'au début des années 2000.
Avec Tanguy, le retour, les acteurs font ce qu'ils peuvent pour sauver ce film. Le couple très bourgeois et très Parisien "Azema/ Dussolier" marche toujours et Tanguy est fidèle à lui même. Mais, ils n'arriveront pas à faire oublier ce scénario tellement bancal, plat et réchauffé que cela rend les situations absurdes et surtout pas drôles. A la limite, le film "retour chez ma mère" qui aborde un thème presque similaire, est mieux pensé et pourtant c'est pas une référence.
On tourne donc la page Chatiliez et on se dit que c'est pas dans les années 2010 qu'il aura retrouvé tout ce qu'on aimait dans "La Vie est un long fleuve tranquille" ou "Tatie Danielle".
Si on prend plaisir à retrouver le casting d'origine (à l'exception de JP Rouve et de la grand mère hillarante qui sont absents), on se retrouve très vite face à un gros soucis de rythme et d'écriture. Chatiliez ne redorera pas son blason avec ce film, c'est certain. L'époque des dialogues et répliques cultes est bien loin, tout autant que le cynisme et le féroce qui animaient ses films jusqu'au début des années 2000.
Avec Tanguy, le retour, les acteurs font ce qu'ils peuvent pour sauver ce film. Le couple très bourgeois et très Parisien "Azema/ Dussolier" marche toujours et Tanguy est fidèle à lui même. Mais, ils n'arriveront pas à faire oublier ce scénario tellement bancal, plat et réchauffé que cela rend les situations absurdes et surtout pas drôles. A la limite, le film "retour chez ma mère" qui aborde un thème presque similaire, est mieux pensé et pourtant c'est pas une référence.
On tourne donc la page Chatiliez et on se dit que c'est pas dans les années 2010 qu'il aura retrouvé tout ce qu'on aimait dans "La Vie est un long fleuve tranquille" ou "Tatie Danielle".
C’est une chronique actuelle de deux générations un peu caricaturale mais bien rendue avec un humour affuté qui fait plaisir. Quand le film se termine on a envie qu’il continue : les acteurs sont performants, tous ! Et la réalisation est juste, précise en servant bien l’histoire sans rechercher d’effets particuliers. À voir pour passer un bon moment.
MINABLE. Un mot pour résumer ce ratage en force. Dans la droite lignée des films subventionnés, Tanguy 2 le retour est d'une pitoyable lourdeur : dialogues, citations, scénario, montage, jeu des acteurs = tout est poussif, "ça râme" ! Entre l'arthrose et la prostatite on a finalement l'impression de mâcher un vieux chewing-gum.
On vient de casser la nostalgie. Les retours aux anciennes références des années 90 ont ici trouvé leur mort. Une suite qui ne tient que sur le succès de son premier, aucune histoire si ce n'est la même. J'appréhendais de voir le personnage de Zhu jouer tellement cela sonne faux, et je ne blâme pas que l'actrice qui a bien du mal a rendre vivant un texte fade, et une mise en scène bâclée.
Le film commence à peu près jamais, les tentatives d'amuser tombent à plat, il n'y a aucun message, aucune conséquence.
J'ai même réussi à ressortir avec plus de sensations à la fin de Walter (pourtant sans scénario), qu'ici.
Ici, je sors de salle sans joie, sans tristesse, sans inspiration, comme en pleine dépression.
Le film commence à peu près jamais, les tentatives d'amuser tombent à plat, il n'y a aucun message, aucune conséquence.
J'ai même réussi à ressortir avec plus de sensations à la fin de Walter (pourtant sans scénario), qu'ici.
Ici, je sors de salle sans joie, sans tristesse, sans inspiration, comme en pleine dépression.
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