AlloCiné
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Votre avis sur Tanguy, le retour ?
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Une suite plutôt bien réussie..mais évidemment on ne retrouve plus l’originalité du premier volet...normal...plus l’effet de surprise....
Pourtant on sourit encore ....Et Sabine Azema et Dussolier sont irrésistibles.....
Pourtant on sourit encore ....Et Sabine Azema et Dussolier sont irrésistibles.....
Une intrigue longue pour une chute prévisible peu de moment drôle je déconseille ce film a ceux qui veulent aller le voir
Sympathique mais sans plus, pas assez de scènes comiques à mon goût, l’histoire n’est pas si mal mais elle est un peut redondante
Sans être catastrophique, ce film n'est simplement pas bon.
Les acteurs qui surjouent (Sabine Azema en tête) en arrivent à compenser ceux qui jouent simplement mal. Seul André Dussolier reste bon dans son rôle.
Les gags sont réchauffés, les scènes aussi, mais quelques passages fonctionnent néanmoins.
Une suite dispensable, qui sera autant oubliée que le premier volet restera marquant.
Les acteurs qui surjouent (Sabine Azema en tête) en arrivent à compenser ceux qui jouent simplement mal. Seul André Dussolier reste bon dans son rôle.
Les gags sont réchauffés, les scènes aussi, mais quelques passages fonctionnent néanmoins.
Une suite dispensable, qui sera autant oubliée que le premier volet restera marquant.
Dommage. J'y suis allé en avant première en présence de Tanguy et du producteurs, avec un très bon souvenir du premier.
Je me suis ennuyé à mourir... Très très déçu.
Je me suis ennuyé à mourir... Très très déçu.
Malheureusement on ne rit pas souvent, ces moments se comptent sur les doigts d'une main pour plusieurs raisons : tout d'abord le thème de départ (séparation, sans domicile, enfant à charge) ne prête pas à rire pendant au moins la première demie heure ensuite l'aspect comique s'effondre quand on est trop méchant avec des personnes gentilles ou en difficulté
spoiler:
notamment quand le personnage d'André Dussollier drogue ses petits enfants ou qu'il scie les freins du vélo de son fils
cela va trop loin, d'ailleurs à ce moment là, personne ne rit dans la salle de cinéma et on sent une certaine gêne voire une indignation de la part des spectateurs. Ce dernier point prouve que les comédiens ne sont en rien la cause de ce demi échec mais c'est bien le scénario qui pose problème.
cela va trop loin, d'ailleurs à ce moment là, personne ne rit dans la salle de cinéma et on sent une certaine gêne voire une indignation de la part des spectateurs. Ce dernier point prouve que les comédiens ne sont en rien la cause de ce demi échec mais c'est bien le scénario qui pose problème.
pas très innovant , ce nouvel opus avec un sujet déjà traité au cinéma... plein d'invraisemblances scénaristiques , les scènes comiques tombent a l'eau et si la fin avait été le début du film....la cela aurait été drôle et plus avant gardiste...un mixte "tatie Danielle" et "Tanguy".
Que le terme "Tanguy" ait pu passer dans le langage courant, pour désigner les adulescents accrochés au domicile familial, montre bien à quel point le premier opus de Chatiliez avait visé juste... Un peu méfiant par principe quand un cinéaste tente de tirer sur une ficelle ayant fait ses preuves, j'ai quand même voulu me laisser tenter, d'autant plus que j'avais été scotché en son temps par la saga des Groseille et des Duquesnoy, autant que par Tatie Danielle... Mal m'en a pris ! Après une première heure pour le moins poussive renforçant mon aversion pour les bobos friqués qui ronronnent égoïstement dans leur appartement de luxe, à un jet d'autolib d'un terrain de golf parisien (si l'intention de Chatiliez était de dresser un portrait au vitriol de ce milieu, c'est toujours ça qu'il aura réussi), j'ai pu sourire un peu quand Dussolier et Azéma commencent à déterrer la hache de guerre, ressortant, pour mettre tout le monde dehors, les manips qui nous avaient bien fait rire il y a plus de dix ans. Sourire un peu, donc... Mais j'irai jusqu'à reconnaître qu'un certain malaise m'a insidieusement envahi, à songer qu'en ayant acheté ma place je cautionnais une pochade à la limite de la xénophobie, voire du racisme, pochade qui assimile peu ou prou le péril jeune et le péril jaune. J'en veux pour preuve cette réplique impitoyable de S.Azéma, parlant des perspectives de la belle-famille au cas où les manigances pour la faire décaniller seraient couronnées de succès : "Ils pourront toujours ouvrir un tabac !". Portrait à charge, je veux bien. Mauvais goût assumé, j'ai un peu de mal, même si c'est pour renforcer le côté vitriolé du portrait... Et je ne parle pas de la pléthore de proverbes chinois oiseux... Bref, le comique de répétition ça va un moment, mais cette redite là, on pourra avantageusement s'en dispenser...
Le film avait l'air vraiment super. J'étais ravie de pouvoir voir la suite de Tanguy 1 et qu'elle déception ! Il y a un très mauvais jeu des acteurs, le scénario est vraiment bateau ... Bref, une suite n'était pas nécessaire
Le film a du mal à démarrer, ensemble assez mou et décevant par rapport au 1er opus.
Peu de "crasses" ou répétitions des précédentes !
Pas de grand fou-rire, ni de grand plaisir !
Peu de "crasses" ou répétitions des précédentes !
Pas de grand fou-rire, ni de grand plaisir !
Un vrai plaisir de retrouver Tanguy le fusionnel (alias Eric Berger,) et ses nouvelles péripéties
Le personnage, a à présent charge de famille. Les traits saillants,, stéréotypés de l'étudiant maladroit, ingénu. et collant font place à plus de pondérénce même si le cordon familial reste l'inéluctable éntrave à son 'improbable passage à l'âge adulte.
Sabine Azema est toujours excellente, le regard malicieux (même si l'œil pétille un peu moins.)
André Dussolier, dans l' archétype du Parisien aisé, s'intégrait mieux ds le décor plus chic et , plus parisien de Tanguy I. Ici l'appartement lamda ikea est 'une boîte impersonnelle sans aucun charme.
Peut-être est-ce pour mieux faire ressortir les traits des personnages et sur le fond froid et neutre d'un lieu dépourvu d'âme.
En bref nous avons bien aimé avec une étoile de moins tt de même que pour le 1er...
Le personnage, a à présent charge de famille. Les traits saillants,, stéréotypés de l'étudiant maladroit, ingénu. et collant font place à plus de pondérénce même si le cordon familial reste l'inéluctable éntrave à son 'improbable passage à l'âge adulte.
Sabine Azema est toujours excellente, le regard malicieux (même si l'œil pétille un peu moins.)
André Dussolier, dans l' archétype du Parisien aisé, s'intégrait mieux ds le décor plus chic et , plus parisien de Tanguy I. Ici l'appartement lamda ikea est 'une boîte impersonnelle sans aucun charme.
Peut-être est-ce pour mieux faire ressortir les traits des personnages et sur le fond froid et neutre d'un lieu dépourvu d'âme.
En bref nous avons bien aimé avec une étoile de moins tt de même que pour le 1er...
Nous avions adoré le premier...Tanguy le retour, est long, ennuyeux, pas drôle. Absence de scénario, grosses ficelles. Très déçu, heureusement qu'il y a Azema et Dussolier.
La bande annonce me donner envi, moi qui ne suis pas difficile à faire rigoler, entre un jeu d’acteur extrêmement négligeant, un film dans le quel on voudrais rentrer mais que l’on n’y arrive pas.
Les blagues sont lourdes, gênantes.
On ne sais vraiment pas où vas le film et surtout la fin est affligeante.
Une vrai d’exception
Les blagues sont lourdes, gênantes.
On ne sais vraiment pas où vas le film et surtout la fin est affligeante.
Une vrai d’exception
Méfiez vous des contrefaçons. Préférez l'original à la copie... A moins que ce ne soit une mise en garde très attendue mais ici très maladroite contre la famille dans ce qu'il y a de pire – (famille au sens famille étendue). Certes, on n'avait pas besoin de Meryl Streep pour jouer le rôle d'Edith, mais Sabine Azéma a trois expressions en stock – si encore elles étaient drôles. Heureusement il y Messieurs Dussolier et Berger. Attendez que cela passe à la télé, vous pourrez zapper...
Pourquoi dénigrer ce film qui ne reprend, qu'en partie, les ressorts comiques du premier opus. La deuxième partie est originale en mettant en place un scénario inversé dans la situation familiale. C'est sur qu'il n'y a pas de quoi en faire le film de l'année mais c'est à voir quand même.
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