Pas mal ces petits films, sans pour autant que ça devienne hilarant ça a le mérite de faire sourire. Quoi que j'avoue que le dernier petit film sur le centre de contrôle à l'intérieur du corps humain a réussit à me faire rire aux éclats ! Par contre, faudra m'expliquer pourquoi il est marqué interdit au -16 ans ? a mon avis il y a erreur vu qu'il n'y a rien de choquant dans ce film.
Ce n'est pas du grand Woody Allen, mais le résultat est là : on rit! Je ne vois pas vraiment pourquoi il est interdit au moins de 16 ans car il n'y a aucune image obcène.
En chef doeuvre de la parodie américaine, il y a «Everything you always wanted to know about sex* but were afraid to ask» (USA, 1972) de Woody Allen. Gouailleur globalement, ses sketchs, individuellement observés, sont des parodies maîtrisées dun genre particulier du cinéma. Tantôt pastiche du film historique tantôt parodie du film damour puis suivent des caricatures du film dauteur italien, du film familial, de lémission de télévision, du film dhorreur de série B et du film de science-fiction. Tout cela orchestré autour de questions sexuelles, tabous encore pour le début des années 70. Adaptant avec lironie quon lui connaît, le livre scientifique du docteur Reuben, Woody Allen adapte les questionnements scientifiques du livre pour créer des scènes cocasses où les subtilités des différents styles de mise en scènes sont aussi drôles que les grossièretés des histoires. «Everything » est aussi le premier film dAllen où il lon dénote un véritable effort de mise en scène, où la musique jazz tant utilisée dans luvre dAllen fait ici pour la première fois acte de singularité. En faisant une telle uvre, Woody Allen opère lévolution de sa filmographie qui le mènera jusquà «Match Point» (USA, 2005) en passant par «Manhattan Murder Mystery» (USA, 1993), cest-à-dire des films variés, tous empreints dun humour réflexif sur la condition humaine au sein des affres de la vie. Là, dans ce troisième film, Woody Allen fait encore montre de ses dialogues potaches, de ses situations incongrues, ce qui sera pour déplaire aux admiratifs du narcissisme auto-dérisoire dAllen. Ici Allen ne sattèle encore quau rire facile, à celui gratuit qui ne fera plus que border ses films. Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur lhumour lourd mais liminaire de Woody Allen se trouve dans ce petit bijou de la parodie, un genre depuis bien mort dont même David Zucker nest pas à même de ressusciter.
C'est bête mais tellement drôle ! Moi qui d'habitude n'aime pas les films comiques basés sur le sexe, celui-là n'est absolument pas du genre "humour potache", il est drôle sans être vulgaire, le dernier étant l'appothéose de cet ensemble très réussi !
(...) On trouvera donc du moyen (le travesti), du bon (lamour en public, la chèvre, le fou du roi), du très bon (Quel est mon vice ?, le sein géant) et du brillantissime (linoubliable humanisation des spermatozoïdes).
Le record du monde du titre de film le plus long. Plusieurs courts métrages regroupés dans un long. Certaines histoires sont réussies, dautres moins : Le court avec Woody en spermatozoïde est irrésistible.
Ces sept scènes ayant pour thème la libération sexuelle et les rapports amoureux entre hommes et femmes sont un pur régal. L'humour de Woody Allen s'y trouve à son apogée. Et c'est l'un des films les plus réussis du génial réalisateur new-yorkais... A voir absolument.
un assez bon Woody Allen qui nous nous explique certes des choses sur le sexe que nous n'avions jamais oser demander mais aussi des choses dont on en a strictement rien à faire. En effet, ces sketches font sourire (comme "Les aphrodisiaques sont ils efficaces?") mais certains sont inutiles (comme "qu'est-ce que la sodomie?") mais mention spéciale à Woody Allen pour son sketche ("que ce passe-il pendant l'éjaculation?") où celui-ci nous montre ce qui se passe pendant un rapport sexuel du point de vue d'un spermatozoïde dans le corps. Les acteurs jouent assez bien et la mise en scène est de qualité. A voir.
Très déçu par ce Woody Allen, je trouve qu'ici son humour habituel ne fonctionne, la présence des acteurs connus sauvent un peu les meubles de cette comédie très moyenne ; seules quelques répliques et situations sont amusantes mais j'ai à peine esquissé une sourire pour l'ensemble du film. C'est le Woody Allen le plus faible que j'ai vu.
Des sketchs drôles, surtout celui de l'italien et du spermatozoïde, et puis aussi celui de la brebis... et peut ètre aussi celui du savant fou... TOUS en faite ! Le film a un petit peu vieilli mais reste à voir !
Attention: que ceux qui s'attendent à trouver des réponses sur ce sujet sulfureux qu'est le sexe passent leur chemin. On est plongé dans le pur burlesque ( l'un des premiers films de Woody Allen ) et rien n'est dévoilé de façon vulgaire, ou même crue. Woody Allen évite la mise en scène racoleuse, et prend des risques de surcroît : en effet, le film date de 1972 et le thème de la zoophilie est à l'époque on ne peut plus tabou ( quel délice de voir Gene Wilder tombé fou amoureux d'une brebis ). Le film du cinéaste juif fut d'ailleurs interdit aux moins de 16 ans lors de sa sortie en salles. Cette succession de sketches ( bien que parfois inégaux ) amuse le spectateur en le surprenant et en lui proposant des questions telles que : qu'est ce que la sodomie? Les aphrodisiaques sont-ils efficaces? Que se passe t-il pendant l'éjaculation? etc...Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe... sans jamais oser le demander: tel est le plus long titre de l'histoire du cinéma, pour un film hilarant, à la fois drôle et léger, dans lequel Woody Allen campe plusieurs personnages ( dont celui d'un spermatozoïde, magistral dans le dernier sketche ).Une curiosité à découvrir...
Une série de sketchs inégale mais beaucoup de bonnes idées et des propos et situations cocasses et très osées pour l'époque. Mon sketch préféré reste celui sur la sodomie avec le docteur qui tombe follement amoureux...d'une brebis ! Cette évocation de zoophilie est plus qu'étonnante dans une oeuvre datant de 1972. Le dernier sketch ( sur les émois d'un spermatozoïde en grandeur nature et la mécanique naturelle) est sans doute le meilleur et le plus inspiré. Le premier sketch est très rigolo avec Woody Allen en fou du roi qui se retrouve la main coincée dans la ceinture de chasteté de la Reine, le 4° sur le travesti ne sert absolument à rien...On rit beaucoup et on est étonné devant l'entreprise et le traitement souvent cru effectué par Woody Allen. Un petit plaisir qui à l'époque avait été interdit aux moins de 16 ans en France et aux moins de 17 ans aux USA ! Le sketch "Quel est mon vice" montre le génie du réalisateur quant à l'évolution de la connerie télévisuelle où le sexe et le racolage sont rois. Tout ce que vous toujours voulu sa voir...reste un film toujours aussi malicieux, provocateur et surtout surréaliste comme notamment le sein géant taille 4000 et bonnet X aux montées de lait foudroyantes que rien ne peut arreter.
une suite assez consternante de sketches potaches sur le sexe:lire leur résumé est plus drole que de voir le sketch(un homme tombe amoureux d'un mouton,un savant fou crée des seins géants,un lover italien ne sait pas donner le plaisir).
Pire: ca ne m'a quasiment pas décroché un seul sourire! Seul le dernier sketch tres réussi sauve les meubles.