Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
CNews
par La rédaction
Un film plein de charme.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
[...] une forme de récit initiatique érotique troublant et magnifique.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une reconstitution d’époque soignée, et un jeu érotique subtil, passant par la photo et la littérature, sans le côté ampoulé des habituelles mises en scène consacrées aux vies d’écrivains.
Le Figaro
par Etienne Sorin
L’électro de Rebotini sur les images de ce vaudeville polisson et littéraire, ce pourrait être kitsch. C’est au contraire la pulsation idoine pour faire vibrer les jeunes corps palpitants de Marie (Noémie Merlant) et Pierre (Niels Schneider).
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Ce premier long métrage de Lou Jeunet, œuvre sensuelle et élégante, est surtout la révélation d'une réalisatrice culottée et talentueuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Philippe Rouyer
Outre les contraintes du film d'époque, Lou Jeunet devait affronter celles de filmer le nu et l'érotisme, et elle l'a fait avec talent.
Télérama
par Jérémie Couston
Hyper sexuel sans une once de vulgarité, ce film de chambre et d’émancipation féminine repose aussi sur le talent, au naturel, d’un trio d’acteurs éblouissants de beauté et de modernité : Camélia Jordana, Niels Schneider et la débutante Noémie Merlant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre érotisme et séduction, Lou Jeunet décrit avec jouissance l’éclosion d’une femme qui découvre les joies de l’émancipation sous toutes ses formes. Un film léger et grave à la fois qui écorne l’image conventionnelle de la place de la femme dans la société de la fin du 19ème siècle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Jo Fishley
Noémie Merlant se met à nu, beauté foudroyante d'une affolante sensualité. Lou Jeunet magnifie la jeune actrice, d'une caméra qu'on dira amoureuse.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Vincent Ostria
Il y a une forme de neutralité dans cette liaison dépassionnée qu’on aurait voulu sulfureuse ou même fatale [...]. On retiendra moins les quelques scènes de sexe, assez soft, que la foison de sourires et de frais minois.
Première
par Christophe Narbonne
Jeu sur les cadres, les textures (de la peau, des étoffes, du mobilier...), le son, tout y passe, quitte à parfois tomber dans une préciosité à la Terence Davies ("Chez les heureux du monde"). On ne se plaindra pas de cette envie d’images et de beau qui fait cruellement défaut au cinéma hexagonal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Mathieu Macheret
Alors qu’un tel sujet invitait à scruter la passion érotique au crible de la photographie, ce fétiche transitionnel qui double les corps de leur représentation, le film ne problématise pas vraiment la question de l’image, à laquelle il substitue un sensualisme quelque peu frelaté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
On ne trouve jamais dans le filmage de Lou Jeunet quoi que ce soit qui sorte la nudité féminine du corset du male gazing reproché à beaucoup de ses confrères masculins.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
Un film bien léché, chic, choc et provoc. Un peu ennuyeux surtout.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Dommage que ce long clip maniéré manque d’érotisme et de liberté.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Curiosa n’est qu’un drame bourgeois enturbanné dans ses rêves de décadence mondaine. (…) Chaque plan ramène à toute l’impuissance de trouble de ce brûlot d’académisme cool.
L'Obs
par François Forestier
Un joli brouillon, pas un vrai film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
[...] ni le charme de Noémie Merlant, ni la plastique impeccable de Niels Schneider ne font oublier une intrigue faussement piquante et au final très ennuyeuse, ainsi qu’une mise en scène un brin pompière.
CNews
Un film plein de charme.
Dernières Nouvelles d'Alsace
[...] une forme de récit initiatique érotique troublant et magnifique.
Le Dauphiné Libéré
Une reconstitution d’époque soignée, et un jeu érotique subtil, passant par la photo et la littérature, sans le côté ampoulé des habituelles mises en scène consacrées aux vies d’écrivains.
Le Figaro
L’électro de Rebotini sur les images de ce vaudeville polisson et littéraire, ce pourrait être kitsch. C’est au contraire la pulsation idoine pour faire vibrer les jeunes corps palpitants de Marie (Noémie Merlant) et Pierre (Niels Schneider).
Les Fiches du Cinéma
Ce premier long métrage de Lou Jeunet, œuvre sensuelle et élégante, est surtout la révélation d'une réalisatrice culottée et talentueuse.
Positif
Outre les contraintes du film d'époque, Lou Jeunet devait affronter celles de filmer le nu et l'érotisme, et elle l'a fait avec talent.
Télérama
Hyper sexuel sans une once de vulgarité, ce film de chambre et d’émancipation féminine repose aussi sur le talent, au naturel, d’un trio d’acteurs éblouissants de beauté et de modernité : Camélia Jordana, Niels Schneider et la débutante Noémie Merlant.
aVoir-aLire.com
Entre érotisme et séduction, Lou Jeunet décrit avec jouissance l’éclosion d’une femme qui découvre les joies de l’émancipation sous toutes ses formes. Un film léger et grave à la fois qui écorne l’image conventionnelle de la place de la femme dans la société de la fin du 19ème siècle.
Bande à part
Noémie Merlant se met à nu, beauté foudroyante d'une affolante sensualité. Lou Jeunet magnifie la jeune actrice, d'une caméra qu'on dira amoureuse.
L'Humanité
Il y a une forme de neutralité dans cette liaison dépassionnée qu’on aurait voulu sulfureuse ou même fatale [...]. On retiendra moins les quelques scènes de sexe, assez soft, que la foison de sourires et de frais minois.
Première
Jeu sur les cadres, les textures (de la peau, des étoffes, du mobilier...), le son, tout y passe, quitte à parfois tomber dans une préciosité à la Terence Davies ("Chez les heureux du monde"). On ne se plaindra pas de cette envie d’images et de beau qui fait cruellement défaut au cinéma hexagonal.
Le Monde
Alors qu’un tel sujet invitait à scruter la passion érotique au crible de la photographie, ce fétiche transitionnel qui double les corps de leur représentation, le film ne problématise pas vraiment la question de l’image, à laquelle il substitue un sensualisme quelque peu frelaté.
Les Inrockuptibles
On ne trouve jamais dans le filmage de Lou Jeunet quoi que ce soit qui sorte la nudité féminine du corset du male gazing reproché à beaucoup de ses confrères masculins.
Ouest France
Un film bien léché, chic, choc et provoc. Un peu ennuyeux surtout.
Paris Match
Dommage que ce long clip maniéré manque d’érotisme et de liberté.
Cahiers du Cinéma
Curiosa n’est qu’un drame bourgeois enturbanné dans ses rêves de décadence mondaine. (…) Chaque plan ramène à toute l’impuissance de trouble de ce brûlot d’académisme cool.
L'Obs
Un joli brouillon, pas un vrai film.
Le Journal du Dimanche
[...] ni le charme de Noémie Merlant, ni la plastique impeccable de Niels Schneider ne font oublier une intrigue faussement piquante et au final très ennuyeuse, ainsi qu’une mise en scène un brin pompière.