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    Nevada
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    3,9
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    154 critiques spectateurs

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    Nat Torres
    Nat Torres

    7 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2019
    Ce drame, basé sur une histoire vraie, nous présente l’histoire d’un détenu qui va découvrir le chemin de la rédemption grâce à un programme de réhabilitation social visant à dresser des chevaux sauvages. Rongé par la solitude et la violence, Roman cherche le chemin qui lui permettra de fuir ses démons et d’affronter son passé. C’est l’occasion pour Matthias Schoenaert d’exprimer tout son talent dans le rôle principal. Le rythme du film est lent et les dialogues sont rares. Cela contribue a donner de la puissance à chaque scènes. La tension est omniprésente rendant certaines scènes très dures à regarder. Visuellement, nous alternons les lieux sales et confinés du milieu carcéral et les paysages gigantesques et splendides du Nevada.
    La relation entre Roman et son cheval est touchante et plaira aux amoureux de chevaux.
    sylounette
    sylounette

    45 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juin 2019
    cela faisait fort longtemps que je n'avais pas vu un film de cette qualité… une approche particulière des détenus (on se rend compte que ces cirminels ont tous tués par pulsion, souvent sous l'emprise de la drogue et qu'une rédemption est possible), une étude fine des liens familiaux distendus, voire inexistants après un meurtre et .. la possibilité du pardon qui aidera à reconstruire
    et bien sur, un parallèle édifiant entre 2 captifs : l'homme en prison, et le mustang, épris de liberté et de grands horizons..On s'aperçoit qu'ils développent les mêmes gestes de frustration, de désespoir, d'incompréhension et qu'ils peuvent s'aider à avancer
    c'est magnifique !!!
    la fin du film qui montre les vrais protagonistes : hommes et chevaux , rajoute encore à ces forts moments d'émotion !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 juin 2019
    L'idée de tourner en prison des détenus pour lourde peine était intéressante voir ambitieuse.
    Je relève, malgré le travail fourni par la réalisatrice et la bonne performance de Matthias Schoennarts, un manque d'élan vital.
    Le film est beau visuellement.
    Les acteurs sont bons. On pense aussi à Bruce Dern en éleveur equestre.
    II manque un supplément d'âme qui rendrait le film plus poétique, moins brute. Bien sûr, il y a la réalité de l'univers carcéral. Néanmoins, la réponse apportée à la reinsertion me paraît quelque peu brutale.
    L'idée de la rencontre entre le cheval et Roman Coleman, deux êtres blessés par la vie, est intéressante.
    Un film qui est intéressant sur plein d'aspects mais un sujet qui a été mieux traité par d'autres films
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    187 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juin 2019
    Les Mustang, ces chevaux sauvages des grandes plaines nord-américaines sont capturés et domptés pour être vendus. L'apprentissage s'effectue avec des prisonniers qui ont un véritable travail d'éleveur. C'est ce que raconte "Nevada", un prisonnier volent qui doit dompter un cheval sauvage. Vous voyez toute de suite le rapprochement. Le film est réussi. On regrette des longueurs au début pour mettre en place l'action. Matthias Schoenaerts est très bon. La réalisation est très maitrisée. Malheureusement, le scénario manque parfois d'originalité. En tout cas, une réalisatrice est à suivre maintenant.
    Rod C.
    Rod C.

    2 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2019
    Un détenu déchiré de violences et de sensibilité à fleur de peau. Une belle histoire de cheval et d humanité dans un monde parfois sans pitié
    Einat M
    Einat M

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juin 2019
    Nevada, l'histoire de la souffrance de 2 êtres, un homme emprisonné et torturé, qui trouvera un petit peu de quiétude grâce à un cheval et son dressage, pour les amoureux des chevaux mais aussi pour ceux qui aiment le cinéma d'auteur, ceux qui ont de vrais messages à vous faire passer. Mathias Schoenaerts est remarquable, un vrai acteur comme on aime voir au cinéma.
    war m
    war m

    29 abonnés 447 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2019
    Laure de Clermont-Tonnerre réussit à capter et à transmettre la réalité d’un programme de réhabilitation unique en son genre.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    764 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2019
    Nevada nous transporte dans un centre pénitentiaire américain dans lequel certains détenus ont la possibilité de dresser et monter de vrais chevaux sauvages, des mustangs.
    C'est ce qui va arriver à Roman, un détenu hargneux, ombrageux et tourmenté, comme le cheval dont il va s'occuper finalement.
    Cette complicité homme-cheval peut-elle être pour lui le début d'une forme de rédemption ?
    Ce film ne propose pas une histoire sur le milieu carcéral, mais plutôt une plongée intimiste au coeur d'une relation homme-animal assez touchante, avec notamment un émouvant Matthias Schoenaerts.
    Les paysages du grand ouest US nous dépaysent totalement, dommage qu'il y ait quelques longueurs dans un scénario qui aurait mérité d'être un peu plus étoffé.
    Séduisant.
    Site www.cinemadourg.free.fr
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    190 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2019
    Sans beaucoup de mots, tout dans les yeux et l’attitude des personnages. Une histoire forte, poignante et très émouvante sans pour autant en faire trop. L’histoire d’une histoire tout à fait réussie, bravo. J’ajoute que l’acteur principal n’aurait pas pu apporter de meilleure interprétation tant il a su se montrer émouvant du début à la fin.
    Ghislaine D
    Ghislaine D

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juin 2019
    Nevada est un bon film contant l'histoire d'un homme associal qui retrouve au contact d'un cheval un semblant d'humanité. Ce film est basé sur des faits réels puisque dans certains Etats des USA, des projets concernant l'élevage et le dressage des chevaux par des prisonniers sont mis en place dans des centres pénitentiaires. Le film nous offre de beaux paysages, une belle histoire, même si le prisonnier ne se montre pas toujours sous son meilleur jour, ce qui par ailleurs donne de la crédibilité à l'histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 juin 2019
    Nevada est un grand film dramatique qui m'a fait passer un tres bon moment : Romanesque et bouleversant.
    Pascal C.
    Pascal C.

    29 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 juin 2019
    Pour les amoureux des chevaux et des hommes. Un film fort sur la prison, la paternité, la rédemption. Allez-y !
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 672 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2019
    Le nouveau film de Laure de Clermont-Tonnerre vaut principalement par son aspect documentaire. Les images de grands espaces américains sont magnifiques, les mustangs sont très bien filmés et le visage même de Matthias Schoenaerts semble être un objet que la caméra décrit avec attention et objectivité.

    Nevada, qui s'intéresse à un programme de rééducation des détenus par le dressage de chevaux, est tourné dans le pénitencier qui accueille ce programme, et certains de ses acteurs sont d'anciens détenus. Tous ces éléments contribuent à donner au film une patine à la fois brute et très séduisante.

    Le rapport du personnage à son cheval est évidemment cousu de fil blanc (le cheval sauvage comme allégorie de la liberté, le dressage comme une thérapie conduisant à la maîtrise - et l'estime - de soi), mais l'interprétation de Schoenaerts est tellement habitée qu'on se laisse embarquer dans cette belle histoire, même si les quelques péripéties carcérales n'ont guère d'intérêt.

    Un beau film à ranger aux côtés du magnifique The rider de Chloé Zhao dont il est proche par le style et les thématiques abordées.
    Maelicia
    Maelicia

    2 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juin 2019
    Roman Coleman est un prisonnier associal en isolement dont la fille, enceinte demande l'émancipation. Il intègre un programme de dressage de mustangs sauvages. C'est finalement le cheval qui apprivoise l'homme puis l'homme qui s'apprivoise. Matthias Schoenaerts ( déjà très bon en sous marinier russe dans Kursk vu l'année dernière) est Roman Coleman complètement habité par le rôle. La mise en scène est sans artifices, abrupte comme le milieu carcéral.La fin de l'histoire est également réussie. Nevada est juste FABULEUX!
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 327 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juillet 2019
    Je ne vois pas. Non, je ne vois pas où voulait en venir Laure de Clermont-Tonnerre avec ce « Nevada ». Pour le sujet, ça va, c’est clair. Un homme en quête de rédemption trouve une voie de sortie grâce à un programme de domptage de chevaux sauvages. OK. On voit bien le parallèle : les deux bêtes blessées, enfermées entre quatre murs, vont s’aider mutuellement à s’émanciper de leur condition… Sauf que : bah oui mais après ? « Nevada », je l’ai vécu comme un cadre posé mais avec pas grand-chose de peint dedans. Ou plutôt au lieu d’avoir une belle et grande peinture dans mon cadre, je me suis retrouvé avec une multitude de petites images parfois agréables à regarder (même si personnellement j’ai beaucoup de mal avec cette photographie beaucoup trop contrastée et jaunie à mon goût) et qui peuvent parfois toucher pour peu qu’on sache les prendre indépendamment du reste. Parmi ces bons moments : ces scènes qui savent transmettre cette belle sensation de liberté à chevaucher à travers les grands espaces, ou bien encore les quelques moments de complicité entre cavaliers… Mais le problème c’est que, pris dans son ensemble, ce film ne parvient pas à tirer grand-chose de son sujet. Même s’il y a une recherche d’esthétisme, ça reste très illustratif dans la mise en scène. Les événements s’enchainent sans réelle surprise. D’abord on montre l’arrivée des deux bêtes fougueuses dans le programme, l’équidé et l’humain. Puis on nous présente la rencontre. Au départ ça ne se passe pas bien. Et puis progressivement ça se passe mieux. Et à la fin, ça se passe spoiler: très bien, puisque chacun libère l’autre de sa servitude. L’humain a libéré le cheval de son enclos tandis que le cheval a libéré l’humain de sa propre autodestruction.
    Qu’apprend-on de ces moments ? Quel regard spécifique nous apporte-t-on sur l’humain, le sauvage, la colère ? Bah au fond rien. Les choses se font parce qu’elles se font. On voit bien les étapes être franchies mais sans qu’on saisisse les raisons de ces basculements, ce qui donne des scènes pétries de fausses promesses. Exemple de ce moment où Roman tente d’être accepté par son canasson. Il essaye et essaye encore. Il s’énerve. Parfois il crie. Mais il n’arrive à rien. Alors, en bon spectateur connaisseurs des codes on se dit : « C’est normal Roman. Il faut que tu apprennes à dompter ta colère. Il faut que tu apprennes à te livrer entièrement au cheval afin qu’il se livre à toi… » Bref, on attend à ce que le film exprime quelque-chose de cet instant, et qu’il le fasse suffisamment subtilement pour que notre suspension d’incrédulité ne s'envole pas aux quatre vents. En somme on attend que l’auteure sache nous duper avec ses artifices d’artiste afin de nous emmener là où elle entend nous emmener. Sauf que non. Roman finit par s’asseoir de fatigue et – poup ! – le cheval finit par kiffer Roman d’un claquement de doigt. Pourquoi ? Comment ? Qu’est-ce que je suis sensé ressentir face à ce type de dénouement de scène ? Plein de questions que je me suis posées mais que, visiblement, Laure de Clermont-Tonnerre ne s’est pas posées. Ou plutôt non : je pense qu’elle se les ait posées ces questions mais que, malheureusement, elle n’a pas voulu y répondre. A chaque fois, sa réponse a été une forme d’évitement. « C’est comme ça et je ne veux pas prendre le risque de t’expliquer le comment du pourquoi. » Certes ce choix peut se comprendre. Au fond c’est une manière d’éviter de tomber dans les gros clichés et les artifices malhabiles. Le problème pour moi, c’est qu’en procédant ainsi, elle ne créé pas les conditions nécessaires à mon implication dans l’intrigue. Je reste extérieur. Spectateur. Je constate juste les faits sans qu’ils ne me parlent un seul instant. Ce « Nevada », à refuser de creuser pleinement son sujet, se limite finalement à une simple exploration de surface. Et le pire, c’est qu’en définitive, il n’échappe pas pour autant à une certaine sensation de films à clichés et à artifices malhabiles. Parce qu’au fond, la transition du personnage de Roman a un côté très arbitraire et très forcé. spoiler: Quand on se dit que pendant douze ans le gars a refusé de parler avec sa fille, s’enfermant dans le mutisme et la colère, et qu’en seulement quelques mois il transite subitement vers le gars contrit, ému et loquace. Et tout ça juste parce qu’il a dressé un cheval ?
    Franchement, heureusement pour ce film qu’il y a le remarquable jeu de Mathias Schoenaerts pour faire passer la pilule, parce que dans les faits, si cette séquence fonctionne quand on la prend de manière totalement isolée du reste, elle ne fonctionne plus du tout dès qu’on l’aborde au sein de l’intrigue globale. Et pour le coup la superficialité de ce traitement est vraiment dommageable car à certains moments j’ai senti les possibilités que pouvaient offrir ce « Nevada ». La question du poids de la faute est notamment très intéressante, surtout quand on parvient à présenter ces criminels comme des personnes qui ont juste perdu le contrôle sur quelques secondes à peine et qui doivent désormais en supporter les conséquences sur tout le reste de leur vie. Il y avait vraiment quelque-chose à faire avec ça, notamment dans le cadre d’une comparaison avec ces Mustangs qui sont justement très violents parce qu’on les enferme et les contraint. Malheureusement, au lieu de cela, ce film n’est qu’une accumulation de promesses non-tenues ; de fuites régulières de l’auteure ; si bien qu’à bien tout prendre, quand j’y réfléchis bien, voir ce long-métrage ne m’a pas vraiment apporté grand-chose de plus que le visionnage de la bande-annonce. C’est en cela que je suis triste. Je pense que si la muse de Laure de Clermont-Tonnerre avait été plus inspirée, on aurait pu avoir là un beau film humaniste et touchant. Au lieu de cela on a juste un film qui, ponctuellement parvient à offrir des moments ou des images justes, mais qui globalement peine à transcender son sujet. Une belle occasion manquée… Mais bon... Après tout ça ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
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