Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Laure De Clermont-Tonnerre réussit de superbes débuts derrière la caméra avec ce film de rédemption et de prison.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Dans "Nevada", la réalisatrice française orchestre avec brio la rencontre de deux genres américains par excellence, le western et le film de prison.
CNews
par La rédaction
Habitué aux rôles de brutes épaisses à la fragilité pourtant perceptible, l’acteur belge Matthias Schoenaerts livre quant à lui une performance musclée, réussissant à transmettre des émotions sans prononcer le moindre mot, ce qui contribue en grande partie à la réussite de ce film.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Romanesque et bouleversant.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un premier long métrage convaincant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La rudesse du milieu, l’âpreté des sentiments et l’absence d'un happy-end simpliste, n’empêchent pas de délivrer un message d’espoir. Une libération acquise par le domptage mutuel de deux forces sauvages.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Produit par Robert Redford, ce long-métrage romanesque de la Française Laure de Clermont-Tonnerre impressionne par sa virtuosité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La cinéaste française installée aux États-Unis Laure de Clermont-Tonnerre signe un premier long métrage puissant et subtil tourné dans les plaines du Nevada. Matthias Schoenaerts, magistral, y incarne un détenu qui intègre un programme de réhabilitation par le dressage de chevaux sauvages.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un thème cher à Robert Redford, qui produit le film, un sujet un peu convenu, mais traité sans le pathos qui guettait, et parfaitement tenu, à l’image de l’interprétation tout en force contenue de Matthias Schoenaerts.
Le Figaro
par La Rédaction
Matthias Schoenaerts est émouvant de discrétion. Il reste opaque, juste entrouvert. Autour de lui, avec d’excellents personnages secondaires, la réalisatrice fait vivre un monde très crédible, qui possède à la fois les pesanteurs du drame de prison et le souffle emportant d’un western lyrique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Porté par le jeu intense et brut de Matthias Schoenaerts, le long-métrage parle aussi de rédemption : il raconte comment un homme écrabouillé de douleur et de colère va revenir à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier de Bruyn
Le résultat, malgré quelques clichés, est stimulant.
Première
par Christophe Narbonne
Nevada n’est pas qu’un film de prison de plus ou le simple témoignage de convictions humanistes et écolo. C’est peut-être l’acte de naissance d’une future grande cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Daniel Blois
Pour son premier film de réalisatrice, Laure De Clermont-Tonnerre fait preuve d'une grande justesse.
aVoir-aLire.com
par Joffray Vasseur
Laure de Clermont-Tonnerre réussit à capter et à transmettre la réalité d’un programme de réhabilitation unique en son genre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce drame vibrant d’humanité et à la photographie soignée trouve l’équilibre idéal entre le réalisme des situations et l’approche impressionniste de la relation entre le héros cabossé et sa monture indomptable.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Un film d’une totale maîtrise formelle, alliant douceur et violence, réalisme et romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un détenu intègre un programme de réhabilitation au contact de chevaux sauvages. Matthias Schoenaerts impressionne dans ce premier film courageux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Saisissant et farouche, Matthias Schoenaerts porte avec fièvre ce mélo, qui oscille entre le film de prison et le western.
Télérama
par Jacques Morice
Un mélange sensible de western et de film de prison.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Ce traité d’hippothérapie s’avère honorable, mais que Matthias Schoenaerts soit beaucoup moins expressif que son cheval n’aide pas à s’intéresser à cette banale histoire de rédemption, et puis on peut rêver autre chose qu’un cinéma honorable.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’apprivoisement des pulsions s’impose donc comme le motif spéculaire de ce premier longmétrage d’une réalisatrice française fascinée par l’Amérique au point d’y croiser le goût du western et le film carcéral. Une pointe de mystère manque toutefois à ce qui demeure, en son absence, un bel exercice de style.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Aplanir les individualités, utiliser la même solution pour tous sont des techniques éprouvées dans un contexte carcéral, mais dans le cadre d’un film elles se révèlent asphyxiantes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Comment un sujet aussi original se révèle-t-il si peu propice à la surprise ? Malgré la beauté de certains plans et l’idée d’un western contemporain, Laure de Clermont-Tonnerre ne parvient pas à sortir d’un récit très édifiant où Matthias Schoenaerts recompose ce qu’il a maintes fois joué au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Ouest France
Laure De Clermont-Tonnerre réussit de superbes débuts derrière la caméra avec ce film de rédemption et de prison.
Positif
Dans "Nevada", la réalisatrice française orchestre avec brio la rencontre de deux genres américains par excellence, le western et le film de prison.
CNews
Habitué aux rôles de brutes épaisses à la fragilité pourtant perceptible, l’acteur belge Matthias Schoenaerts livre quant à lui une performance musclée, réussissant à transmettre des émotions sans prononcer le moindre mot, ce qui contribue en grande partie à la réussite de ce film.
CinemaTeaser
Romanesque et bouleversant.
Femme Actuelle
Un premier long métrage convaincant.
Franceinfo Culture
La rudesse du milieu, l’âpreté des sentiments et l’absence d'un happy-end simpliste, n’empêchent pas de délivrer un message d’espoir. Une libération acquise par le domptage mutuel de deux forces sauvages.
L'Obs
Produit par Robert Redford, ce long-métrage romanesque de la Française Laure de Clermont-Tonnerre impressionne par sa virtuosité.
La Croix
La cinéaste française installée aux États-Unis Laure de Clermont-Tonnerre signe un premier long métrage puissant et subtil tourné dans les plaines du Nevada. Matthias Schoenaerts, magistral, y incarne un détenu qui intègre un programme de réhabilitation par le dressage de chevaux sauvages.
Le Dauphiné Libéré
Sur un thème cher à Robert Redford, qui produit le film, un sujet un peu convenu, mais traité sans le pathos qui guettait, et parfaitement tenu, à l’image de l’interprétation tout en force contenue de Matthias Schoenaerts.
Le Figaro
Matthias Schoenaerts est émouvant de discrétion. Il reste opaque, juste entrouvert. Autour de lui, avec d’excellents personnages secondaires, la réalisatrice fait vivre un monde très crédible, qui possède à la fois les pesanteurs du drame de prison et le souffle emportant d’un western lyrique.
Le Parisien
Porté par le jeu intense et brut de Matthias Schoenaerts, le long-métrage parle aussi de rédemption : il raconte comment un homme écrabouillé de douleur et de colère va revenir à la vie.
Marianne
Le résultat, malgré quelques clichés, est stimulant.
Première
Nevada n’est pas qu’un film de prison de plus ou le simple témoignage de convictions humanistes et écolo. C’est peut-être l’acte de naissance d’une future grande cinéaste.
Voici
Pour son premier film de réalisatrice, Laure De Clermont-Tonnerre fait preuve d'une grande justesse.
aVoir-aLire.com
Laure de Clermont-Tonnerre réussit à capter et à transmettre la réalité d’un programme de réhabilitation unique en son genre.
Le Journal du Dimanche
Ce drame vibrant d’humanité et à la photographie soignée trouve l’équilibre idéal entre le réalisme des situations et l’approche impressionniste de la relation entre le héros cabossé et sa monture indomptable.
Les Fiches du Cinéma
Un film d’une totale maîtrise formelle, alliant douceur et violence, réalisme et romanesque.
Les Inrockuptibles
Un détenu intègre un programme de réhabilitation au contact de chevaux sauvages. Matthias Schoenaerts impressionne dans ce premier film courageux.
Télé Loisirs
Saisissant et farouche, Matthias Schoenaerts porte avec fièvre ce mélo, qui oscille entre le film de prison et le western.
Télérama
Un mélange sensible de western et de film de prison.
Cahiers du Cinéma
Ce traité d’hippothérapie s’avère honorable, mais que Matthias Schoenaerts soit beaucoup moins expressif que son cheval n’aide pas à s’intéresser à cette banale histoire de rédemption, et puis on peut rêver autre chose qu’un cinéma honorable.
Le Monde
L’apprivoisement des pulsions s’impose donc comme le motif spéculaire de ce premier longmétrage d’une réalisatrice française fascinée par l’Amérique au point d’y croiser le goût du western et le film carcéral. Une pointe de mystère manque toutefois à ce qui demeure, en son absence, un bel exercice de style.
Libération
Aplanir les individualités, utiliser la même solution pour tous sont des techniques éprouvées dans un contexte carcéral, mais dans le cadre d’un film elles se révèlent asphyxiantes.
Sud Ouest
Comment un sujet aussi original se révèle-t-il si peu propice à la surprise ? Malgré la beauté de certains plans et l’idée d’un western contemporain, Laure de Clermont-Tonnerre ne parvient pas à sortir d’un récit très édifiant où Matthias Schoenaerts recompose ce qu’il a maintes fois joué au cinéma.