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Kap d.
4 abonnés
18 critiques
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0,5
Publiée le 11 août 2018
Lassée de voir Tahar jouer tjs pareille ds tout ses films !
Lassée de voir stacy martin dans son corps de petite fille nue et en pleine orgasme! Quelle hypersexualisation! Quelle mauvaise image de la femme! Concernant le film je l’ai trouvé profondement ennuyeux des les 10 premiers minutes et ca ne decole pas d’un yota jusqu’a la fin!
Le voyou tahar rahim ou plutot le bobo parisien parce quil fait plus bobo que voyou (la styliste avait du fumer un joint au dejut du tournage) nest pas du tout convainquant et stacy martin HOlala la meme que ds la bande annonce a savoir :insipide total! Ou est l’interet de faire un film pareille ? Ils sont beaux goss certe mais il n’y a aucun jeux, aucun senario , juste une enorme frustration d’avoir perdu 11 balles pour voir une daube pareille avec soit disant des acteurs bankable !rembourssez!
On n’entrevoit le talent de la jeune réalisatrice Marie Monge que lors de quelques fulgurances, dans ce premier long-métrage inabouti et à l’intérêt limité. Les montées d’adrénaline sont particulièrement bien rendues lors des scènes de casino, de courses-poursuites et… des coups de chaud en cuisine. Par ailleurs, elle a réuni en tête d’affiche un couple qui a tout pour faire des étincelles : le « prophète » Tahar Rahim et Stacey Martin, révélée dans le sulfureux Nymphomaniac. Malheureusement, ces deux acteurs ont bien de la peine à faire exister leurs personnages, mal servis par des dialogues poussifs et cantonnés à des figures archétypales : celles du margoulin empêtré dans sa fuite en avant et de la jeune fille sage qui se laisse entraîner par amour dans une situation dramatique insoluble. En plaçant son histoire dans le milieu du jeu de hasard, le film évolue dans un univers archi-visité au cinéma où le bluff est souvent le moteur de l’intrigue. Dommage qu’ici tous les rebondissements s’avèrent prévisibles, mécaniques et inintéressants. Ce manque de finesse se retrouve également au-delà du traitement de l’histoire : une photographie qui abuse des contrastes bleu-oranges, une musique utilisant de la basse lors des moments oppressants et des violons lors des moments dramatiques, disparition des personnages secondaires en cours de film… Dommage car on aurait voulu aimer ce premier film proposant quelques moments pourtant prometteurs.
Du cinéma qui prend aux tripes, c'est le cas de le dire, on en sort remués mais touchés par ce message délivré avec délicatesse sur les ravages de l'addiction et de la dépendance; qui mieux qu'une femme pour raconter cet élan amoureux incontrôlable et tragique. Stacy Martin est superbe, Tahar Rahim irrésistible, attachant malgré sa noirceur. ça faisait longtemps qu'il n'avait pas été aussi intense, peut-être depuis ses débuts chez Jacques Audiard. J'ai lu plusieurs fois qu'on comparait cette nouvelle cinéaste à ce maitre du genre, mais j'ai plutôt pensé à La Baie des Anges de Jacques Demy et même à Xavier Dolan pour l'émotion et l'énergie que dégage le film, particulièrement les scènes musicales. Ne passez pas à côté!
Attention film rare surtout dans le paysage lisse de la majorité du cinéma français aujourd'hui ! quel univers grâce à un regard neuf et une maitrise qui impressionne pour une première réalisation, c'est un véritable exploit. je suis sorti sans mots.
Superbe, traite de l'addiction au jeux d'une façon crédible, les acteurs joue très bien!voir Paris filmé ainsi est un bonheur! Allez le voir n'hesitez pas
Ella, jeune tenancière d'une brasserie familiale va tomber amoureuse d'Abel, personnage détonnant, qui va lui faire vivre une passion pour le moins toxique et l'entraîner dans sa descente aux enfers. La réalisatrice, Marie Monge, nous plonge dans l'enfer du jeu sous toutes ses formes (cercles clandestins, tiercé, courses de voitures..), et a su trouver en Stacy Martin et Tahar Rahim, un couple qui crève l'écran. On y voit le Paris des "bas quartiers", des amitiés et des trahisons mais surtout les flambeurs de toutes origines. Le film est sombre, violent mais terriblement réaliste et Tahar Rahim est si époustouflant qu'il dégage un charisme à la De Niro dans ses premiers films. Brillant.
Présenté au dernier Festival de Cannes , un film melant passion amour trahison addiction aux jeux violence perte de contrôle , une sorte de thriller qui dépeint la puissance de la trahison sous lemprise de l'addiction aux jeux sa dangerosité, sa tentation, la manipulation ou la passion? ce film nous tient en haleine, mis en scène intelligemment; Avec bien sur Tahar Rahim toujours magnifique sublime il capte tout l'écran, on l'aime quoiqu'il fasse, vrai tourturé amoureux fourbe jusqu'auboutiste, aimer jusqu'à la mort; Ne passez pas à coté de ce film!!
On peut deviner assez facilement ce que le film a dire sur son sujet. C’est finalement consensuel et peu original.
Je n ai pas apprécié leur rencontre. Jusqu à la fermeture du restaurant ça allait plutôt bien, mais de la sortie du restaurant jusqu’au premier cercle de jeu, je ne crois pas à leur histoire, voire même jusqu à la sortie du premier cercle de jeu.
La suite est cahin-caha pas mal. Ils semblent amoureux, ça fonctionne plutôt bien, mais le film verse de plus en plus dans l attendu et le prévisible. Ce n est pas très gênant car on se prend d empathie pour le couple.
Au final, je pense que c est surtout moi, je n avais pas assez envie de voir cette histoire.
La prise de son est moyenne au début du film, beaucoup de dialogue ne sont pas très intelligibles, ainsi que des flous sur les mouvements de caméra. Si cela m a moins gêné plus tard, c est probablement que je n étais pas assez investi dans le film et que ce n étais pas particulièrement mieux plus tard.
J ai entendu un critique dire qu il n apprécié pas les chansons de générique de fin qui expliquent le film. En effet, je le comprend et partage son point de vue que dans ce film, ça semble assez maladroit.
Ella (Stacy Martin) travaille jusqu'à l'épuisement dans le restaurant de son père. Elle y rencontre Abel (Tahar Rahim) et tombe instantanément sous son charme. Abel est un joueur compulsif qui passe ses nuits dans un cercle de jeu. Il y entraîne Ella qui espère le guérir de son addiction.
"Joueurs" est un film noir comme on n'en fait plus sur un monde aujourd'hui quasi-disparu : celui des cercles de jeux plus ou moins clandestins, celui des bas-fonds de la capitale que le cinéma des années cinquante et soixante avait magnifiquement filmés.
On le découvre à travers les yeux d'Ella avec la même excitation et la même répulsion qu'elle. En suivant Abel autour d'une table de punto banco [une variante du baccara], Ella sait qu'elle pourrait elle aussi s'y perdre. Mais elle sait surtout qu'elle devra passer par là pour conquérir l'homme qu'elle aime. Car, à la différence des films noirs des années cinquante, c'est ici la femme qui court après un "homme fatal" dont elle s'est éprise passionnément et qui ne cesse de lui échapper.
Tahar Rahim et Stacey Martin sont l'un et l'autre parfaits. Lui retrouve la fièvre de ses premiers rôles, que des choix de carrière parfois hasardeux avaient tendance à étouffer. Elle réussit, d'un plan à l'autre, à être tour à tour saisissante de beauté et d'une parfaite banalité. Autour d'eux, Karim Leklou confirme son talent atypique.
Le problème de "Joueurs" est ailleurs. Dans son scénario sans tension, aux enjeux convenus, aux rebondissements courus d'avance et à la conclusion exagérément pathétique. Si les lumières nocturnes de "Joueurs" nous fascinent pendant son premier tiers, son histoire dénuée d'intérêt nous laisse ensuite au bord du chemin.
Jusqu'à la moitié de Joueurs, tout allait bien.On y croit à la rencontre de cette restauratrice envoûtée par un flambeur et à sa plongée dans la dépendance fiévreuse et désespérément romantique. On y croit parce que la débutante Marie Monge montre un vrai talent de mise en scène pour filmer les cercles de jeu parisiens et leur faune. Et aussi parce que Tahar Rahim est séduisant en diable et Stacy Martin subtile en oisillon pris au piège. Et puis le film, dans sa seconde partie, devient plus commun en adoptant tous les poncifs du film noir et du thriller, perdant son sens de l'atmosphère pour un suspense dont on n'a que faire. Tout parait alors fabriqué et convenu et notre attirance pour ces deux personnages équivoques retombe. On s'aperçoit davantage des défauts du film et notamment son incapacité à donner de la substance aux seconds rôles. L'addiction est salée mais elle cesse de devenir le sujet de Joueurs et les ellipses, intelligentes dans les trois premiers quarts d'heure, nuisent ensuite au rythme du récit qui va inéluctablement vers un dénouement en grande partie attendu. Mais pour s'être colleté à un genre pas si fréquenté par les jeunes cinéastes, on accordera à Marie Monge des circonstances atténuantes avec l'espérance de la voir à nouveau derrière la caméra.
Je suis parti au bout de 45 minutes, pour une place payée 10€... Clairement, je me suis rarement senti autant mal à l'aise au cinéma (la dernière fois c'était devant Cineman, c'est dire...). Je n'y ai pas cru, j'ai trouvé l'histoire très (trop) grosse et grossière, prévisible, réchauffée à tous les niveaux. Les clichés défilent les uns après les autres, on se demande quand ça va s'arrêter mais non, ça continue. Les personnages sont improbables... dommage, le générique de début est plutôt sympa.
Un premier film, sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs au dernier festival de Cannes, standing ovation, bonne presse, casting sexy... Tous les ingrédients pour que Joueurs intrigue et séduise. Alors verdict ? Banco! Ce film sera sans aucun doute l'une des découvertes de cette année en terme de cinoche français. Mais pas exactement là où on l'attendait (moi en tout cas!). Un film de jeu où il s'agit de perdre, où l'argent tombe au sol pour laisser place aux corps, où Paris se transforme en labyrinthe. Tout est un fantasme de cinéma, les partis-pris sont nombreux, exigeants, parfois radicaux, et pourtant tout sonne juste. La partie qui se joue sous nos yeux, c'est celle du dépouillement, de dénuement. Accepter de se montrer tel qu'on est, devant l'être aimé.Se brûler pour se sentir en vie. Dévorer l'autre. Le personnage de la jeune fille naïve devient vite celui de la vorace. Stacy Martin est parfait en fausse victime et vraie addict, si mystérieuse dans sa folie. Ce qui rend le film percutant, c'est l'humanité qui s'en dégage, chez tous les personnages, même le méchant, un type fatigué qui ne fait que son boulot. Presque comme dans un conte, Joueurs nous laisse sur le trottoir avec des questions fortes, et une empreinte à vif. Au jeu du premier opus, Marie Monge a gagné !
une claque ce film!! addiction à l'amour, addiction au jeu, quel est le plus risqué ? l prise de risque toujours, et dans ce film aussi avec un caqting hétéroclite qui fonctionne à merveille. j'ai aimé ce paris filmé comme new york des années 70, ces tronches, ces lumières, ces bars; le jeu est partout même dnas l'intime et l'adrénaline ne fait que grimper avec des scènes d'action innatendues; la bo aussi révèle des suprises jusqu'à la fin! à voir
Pour un premier film, la modération est de coutume... Mais ce film, qui me donnait très envie sur le papier, s'est révélée très agaçant, à l'image de son personnage féminin, dont la naïveté confine à la bêtise. Ajouter à cela une direction d'acteur fragile, une mise en scène faussement clinquante et un problème récurrent de rythme... et vous obtenez "joueurs", un film qui dépeint l'itinéraire mille fois vu et souvent en mieux d'une descente aux enfers des addictions. Grosse déception.