Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Dans cette descente aux enfers d'un couple à la Bonnie and Clyde, où chacun se consume pour sa propree dope, la réalisatrice arrive à capter le pouls nocturne de Paris et à dépeindre l'ivresse, non pas de gagner, mais de perdre.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Une histoire d'amour et de dépendance, passionnée et tragique, entre une jeune restauratrice et un joueur, flambeur et flamboyant, qui brûle sa vie sur les tapis. Envoûtant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Marie Monge, au scénario et derrière la caméra, a toutes les cartes en main d’une partie subtile, à la fois psychologique et pleine de suspense. Une réussite prometteuse.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce premier film puissant immerge dans le monde méconnu des Cercles de jeu et une passion destructrice, avec Tahar Rahim et Stacy Martin à leur meilleur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
L’univers nocturne de ces tripots du diable déguisés en clubs, leurs codes, leurs prêteurs, leur violence, infuse évidemment sur l’atmosphère de ce film au romantisme noir très abouti et qui repose sur un classique du genre : les brusques absences de l’être aimé.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colohbani
Hanté par le film noir de l'âge d'or hollywoodien et un cinéma de genre tendance James Oray, «Joueurs», premier long-métrage de Marie Monge, n'a pas tout à fait l'envergure de ses modèles. Son mérite ? Peindre la faune des joueurs nocturnes avec une sensibilité proche du documentaire et offrir des rôles en or à de vrais comédiens.
Les Fiches du Cinéma
par S.G.
Pour son premier film, Marie Monge prend des risques en se confrontant au genre à la française. Ne croulant pas sous le poids des références, elle le fait avec fraîcheur et efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Autodidacte, la réalisatrice Marie Monge signe un premier long-métrage fiévreux sur l’addiction au jeu. Un thriller tendu qui lui permet de faire mentir les idées reçues sur un genre prétendument masculin.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par La Rédaction
Un vrai thriller romantique et tendu.
Voici
par Lola Sciamma
Ténébreux comme jamais, Tahar Rahim est parfait en homme fatal.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un premier film noir réussi, qui raconte avec brio et empathie, la dévastation d’un jeune couple en prises avec l’addiction aux jeux d’argent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Manquent à son polar sur la dépendance amoureuse et l’addiction au jeu le trouble, une tension, dramatique et sexuelle, qu’une écriture et des acteurs inégaux échouent à insuffler. Marie Monge y va au bluff dès son premier film. On parie sur son avenir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Alors que la première partie était portée par une belle énergie, à la fois documentaire et baroque, la suite du récit s’effiloche dans une descente aux enfers moins personnelle et plus convenue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Yannick Lemarié
Marie Monge sait donner épaisseur et consistance à tous ses personnages. [...] C'est la raison pour laquelle on regrette qu'elle ait repris un peu trop sagement les ingrédients du film de genre et qu'elle ait succombé à l'explication psychologique.
Première
par Christophe Narbonne
Marie Monge se cherche, tâtonne, expérimente. C’est en soi suffisant pour la distinguer du tout-venant des réalisateurs se reposant sur leurs acquis.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Face à Stacy Martin, dont la grâce tourne joliment au vénéneux, Tahar Rahim retrouve, enfin, ce naturel sauvage qui irradiait dans Un prophète, cette sensualité à la fois juvénile et fiévreuse que l’on croyait perdue…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Certes, Marie Monge sait filmer avec un brio un rien tapageur la nuit et la ville, Belleville et ses vices. Et elle nous évite presque tout du long une plongée dans la psyché de ses personnages. Mais elle peine aussi à nous intéresser à leur sort.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Les deux interprètes sont charmants (le naturel de Tahar Rahim crève l’écran), la mise en scène est élégante, mais le scénario ne surprend guère sur un sujet en or (la dépendance).
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Le duo Tahar Rahim et Stacey Martin porte à bout de bras ce thriller sensuel, imparfait mais intriguant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Thomas Choury
(...) le film pose explicitement la corrélation entre jeu, risque et libido dans une série de montages alternés consternants de vulgarité et de lourdeur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
BIBA
Dans cette descente aux enfers d'un couple à la Bonnie and Clyde, où chacun se consume pour sa propree dope, la réalisatrice arrive à capter le pouls nocturne de Paris et à dépeindre l'ivresse, non pas de gagner, mais de perdre.
Femme Actuelle
Une histoire d'amour et de dépendance, passionnée et tragique, entre une jeune restauratrice et un joueur, flambeur et flamboyant, qui brûle sa vie sur les tapis. Envoûtant.
Franceinfo Culture
Marie Monge, au scénario et derrière la caméra, a toutes les cartes en main d’une partie subtile, à la fois psychologique et pleine de suspense. Une réussite prometteuse.
La Croix
Ce premier film puissant immerge dans le monde méconnu des Cercles de jeu et une passion destructrice, avec Tahar Rahim et Stacy Martin à leur meilleur.
Le Parisien
L’univers nocturne de ces tripots du diable déguisés en clubs, leurs codes, leurs prêteurs, leur violence, infuse évidemment sur l’atmosphère de ce film au romantisme noir très abouti et qui repose sur un classique du genre : les brusques absences de l’être aimé.
Le Point
Hanté par le film noir de l'âge d'or hollywoodien et un cinéma de genre tendance James Oray, «Joueurs», premier long-métrage de Marie Monge, n'a pas tout à fait l'envergure de ses modèles. Son mérite ? Peindre la faune des joueurs nocturnes avec une sensibilité proche du documentaire et offrir des rôles en or à de vrais comédiens.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier film, Marie Monge prend des risques en se confrontant au genre à la française. Ne croulant pas sous le poids des références, elle le fait avec fraîcheur et efficacité.
Marie Claire
Autodidacte, la réalisatrice Marie Monge signe un premier long-métrage fiévreux sur l’addiction au jeu. Un thriller tendu qui lui permet de faire mentir les idées reçues sur un genre prétendument masculin.
Ouest France
Un vrai thriller romantique et tendu.
Voici
Ténébreux comme jamais, Tahar Rahim est parfait en homme fatal.
aVoir-aLire.com
Un premier film noir réussi, qui raconte avec brio et empathie, la dévastation d’un jeune couple en prises avec l’addiction aux jeux d’argent.
L'Obs
Manquent à son polar sur la dépendance amoureuse et l’addiction au jeu le trouble, une tension, dramatique et sexuelle, qu’une écriture et des acteurs inégaux échouent à insuffler. Marie Monge y va au bluff dès son premier film. On parie sur son avenir.
Les Inrockuptibles
Alors que la première partie était portée par une belle énergie, à la fois documentaire et baroque, la suite du récit s’effiloche dans une descente aux enfers moins personnelle et plus convenue.
Positif
Marie Monge sait donner épaisseur et consistance à tous ses personnages. [...] C'est la raison pour laquelle on regrette qu'elle ait repris un peu trop sagement les ingrédients du film de genre et qu'elle ait succombé à l'explication psychologique.
Première
Marie Monge se cherche, tâtonne, expérimente. C’est en soi suffisant pour la distinguer du tout-venant des réalisateurs se reposant sur leurs acquis.
Télérama
Face à Stacy Martin, dont la grâce tourne joliment au vénéneux, Tahar Rahim retrouve, enfin, ce naturel sauvage qui irradiait dans Un prophète, cette sensualité à la fois juvénile et fiévreuse que l’on croyait perdue…
La Voix du Nord
Certes, Marie Monge sait filmer avec un brio un rien tapageur la nuit et la ville, Belleville et ses vices. Et elle nous évite presque tout du long une plongée dans la psyché de ses personnages. Mais elle peine aussi à nous intéresser à leur sort.
Le Journal du Dimanche
Les deux interprètes sont charmants (le naturel de Tahar Rahim crève l’écran), la mise en scène est élégante, mais le scénario ne surprend guère sur un sujet en or (la dépendance).
Paris Match
Le duo Tahar Rahim et Stacey Martin porte à bout de bras ce thriller sensuel, imparfait mais intriguant.
Critikat.com
(...) le film pose explicitement la corrélation entre jeu, risque et libido dans une série de montages alternés consternants de vulgarité et de lourdeur.