Drop of sun (I am truly a drop of sun on earth) : Critique presse
Drop of sun (I am truly a drop of sun on earth)
Note moyenne
3,6
11 titres de presse
Critikat.com
L'Humanité
L'Obs
Les Fiches du Cinéma
Libération
Positif
Transfuge
aVoir-aLire.com
Première
Télérama
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Critikat.com
par Florian Guignandon
Si ces personnages apparaissent liés à des groupes en raison de leur situation, le film isole au sein de chacune de ces entités un individu particulier de façon à mettre en lumière sa solitude.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un beau film en petit format invente une histoire d'amour entre deux personnages en errance.
L'Obs
par François Forestier
Tourné avec de vrais personnages (qui jouent leurs propres rôles), dans des conditions du cinéma-vérité, le film est dur par le regard, tendre par l'empathie. C'est formidable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Ce premier film d’une jeune réalisatrice géorgienne déploie une belle maîtrise formelle et révèle une forte personnalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Gilles Renault
Ainsi, sous couvert de drame naturaliste a priori attendu, "Drop of Sun" - titre inspiré de Frantz Fanon - se démarque-t-il par l’élégant laconisme bâillonnant la sensiblerie ou la moralisation vers lesquelles il aurait pu dériver.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Baumann
La caméra poétesse d'Elene Naveriani (...) réinvente avec malice un paysage urbain incertain.
Transfuge
par Nathalie Dassa
(...) la cinéaste fait le choix judicieux d’un noir et blanc magnifique, avec peu de dialogues, qui fige le temps, installe une distanciation et rend l’oeuvre mélancolique.
aVoir-aLire.com
par François Bonini
Il serait dommage que ce petit film sombre et dense passe inaperçu ; son austérité n’est pas sécheresse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Thierry Chèze
Drop of sun pourrait être glaçant jusqu’à l’insoutenable mais la réalisatrice évite cet écueil par le parti pris réussi à l’image d’un noir et blanc aussi crépusculaire que mélancolique et le refus de tout misérabilisme facile. Quitte parfois cependant à créer une distance dommageable avec le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
Pour son premier long métrage, la cinéaste géorgienne s’intéresse aux marginaux de Tbilissi. Entourée d’acteurs non professionnels, elle imagine l’amour impossible entre une prostituée et un réfugié nigérian. La description, réaliste, de leur détresse sociale et affective manque curieusement de profondeur et d’originalité. Mais le film est sauvé par sa belle et onirique photographie en noir et blanc.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Murielle Joudet
Le choix du noir et blanc apparaît plus décoratif, et, dans ce film trop bref, ni la fiction ni l’émotion n’ont le temps d’émerger.
Critikat.com
Si ces personnages apparaissent liés à des groupes en raison de leur situation, le film isole au sein de chacune de ces entités un individu particulier de façon à mettre en lumière sa solitude.
L'Humanité
Un beau film en petit format invente une histoire d'amour entre deux personnages en errance.
L'Obs
Tourné avec de vrais personnages (qui jouent leurs propres rôles), dans des conditions du cinéma-vérité, le film est dur par le regard, tendre par l'empathie. C'est formidable.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier film d’une jeune réalisatrice géorgienne déploie une belle maîtrise formelle et révèle une forte personnalité.
Libération
Ainsi, sous couvert de drame naturaliste a priori attendu, "Drop of Sun" - titre inspiré de Frantz Fanon - se démarque-t-il par l’élégant laconisme bâillonnant la sensiblerie ou la moralisation vers lesquelles il aurait pu dériver.
Positif
La caméra poétesse d'Elene Naveriani (...) réinvente avec malice un paysage urbain incertain.
Transfuge
(...) la cinéaste fait le choix judicieux d’un noir et blanc magnifique, avec peu de dialogues, qui fige le temps, installe une distanciation et rend l’oeuvre mélancolique.
aVoir-aLire.com
Il serait dommage que ce petit film sombre et dense passe inaperçu ; son austérité n’est pas sécheresse.
Première
Drop of sun pourrait être glaçant jusqu’à l’insoutenable mais la réalisatrice évite cet écueil par le parti pris réussi à l’image d’un noir et blanc aussi crépusculaire que mélancolique et le refus de tout misérabilisme facile. Quitte parfois cependant à créer une distance dommageable avec le spectateur.
Télérama
Pour son premier long métrage, la cinéaste géorgienne s’intéresse aux marginaux de Tbilissi. Entourée d’acteurs non professionnels, elle imagine l’amour impossible entre une prostituée et un réfugié nigérian. La description, réaliste, de leur détresse sociale et affective manque curieusement de profondeur et d’originalité. Mais le film est sauvé par sa belle et onirique photographie en noir et blanc.
Le Monde
Le choix du noir et blanc apparaît plus décoratif, et, dans ce film trop bref, ni la fiction ni l’émotion n’ont le temps d’émerger.