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Votre avis sur Judy ?
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Un bel hommage à Judy Garland, actrice entre autres du Magicien D'Oz.
Les jeux d'acteurs sont bons mais l'histoire a tendance à se répéter un peu…
De plus, je suis déçu que le film ne nous parle pas plus du parcours de celle qu'on surnommait "La petite fiancée de l'Amérique", l'histoire préférant se concentrer ici sur sa fin de carrière (pour le moins chaotique…)
Les jeux d'acteurs sont bons mais l'histoire a tendance à se répéter un peu…
De plus, je suis déçu que le film ne nous parle pas plus du parcours de celle qu'on surnommait "La petite fiancée de l'Amérique", l'histoire préférant se concentrer ici sur sa fin de carrière (pour le moins chaotique…)
une incroyable interprétation de Renee Bridget. quelle vie celle de Judy Garland. une étoile filante
C'est sympa. Un film qui se regarde avec plaisir même si je ne peux pas dire avoir pris mon pied. Très franchement, j'y suis allé pour l'oscar (mérité) de Renée zellwegger qui livre une performance assez touchante et intéressante. Je ne connaissais pas le trop Judy ( juste pour le magicien d'Oz à vrai dire) mais j'ai trouvé le traitement du personnage intéressant. En effet, le fait de comprendre la fin de sa vie grâce à quelques flash-backs est ma foi assez original (c'est pas courant de voir ça dans des biopics Sur des artistes). Ce qui est vraiment bien c'est que le personnage est travaillé. En effet, contrairement à bohemian rhapsody ou si on enlèvele fait que le perso principal soit Freddie Mercury le film perd tout son sens. Ici, Judy pourrait être un personnage torturé issu d'une fiction. La photo et la real sont correctes sans plus. Le world building n'est pas dingue. En effet, on ne comprend pas bien quand se déroule l'histoire (évidemment c'est à la fin des 60's mais c'est pas clair du tout. Certains costumes nous font penser à une époque bien moins récente. Ce qui est vachement appréciable est que le film n'est pas trop féministe (du moins je n'ai pas eu l'impression de vivre une propagande comme dans certains films). Note 3/5
« And the dreams (...) really do come true ? »
Plus que jamais, Renée Zellweger brille dans ce rôle d'étoile déchue. Nous voici plongés au début des annees 1970, nous suivons bien tristement une Judy Garland âgée d'une quarantaine d'années, malmenée, détruite par ce que les grosses productions hollywoodiennes auront fait d'elle. Toute la représentation nous dresse le portrait d'une jeune fille victime d'un monde qui n'aura dès lors jamais cessé de l'engloutir depuis le grand succès du Magicien d'Oz. La chanson «Over The Rainbow» plus que jamais fait résonner l'incroyable mascarade qu'est la promesse d'une vie d'artiste pleine de rêves :
« And the dreams that you dare to dream,
Et les rêves que vous osez rêver,
Really do come true.
Deviennent réalité »
Renée Zellweger est diablement belle dans ce rôle brisé. Quelques scènes sont extrêmement fortes, comme celles où elle se retrouve fébrile devant un public auprès duquel elle n'est finalement que l'esclave. Tout tend à le traduire ; entre autre sa posture lorsque celle-ci le salue d'une révérence. Ce geste sonne faux. Ce geste, littéralement, signifie : «je suis à vous, je vous appartiens, vous avez fait de moi ce que vous vouliez ». De même qu'il sera dit lors d'une phrase justement placée que Judy Garland n'est autre que «la fiancée de l'Amérique». Voilà une alliance des plus chaotique où les présumés contes de fées virent aux plus sombre des cauchemars.
Ce biopic est dans l'ensemble dignement porté par la prestation puissemment chorégraphiée de Renée Zellweger, instable et abîmée, comme le veut son personnage. Peut-être qu'il manque simplement d'un meilleur point d'ancrage et d'une mise en parallèle plus conséquente de la Judy Garland adolescente avec la Judy Garland quarantenaire.
Plus que jamais, Renée Zellweger brille dans ce rôle d'étoile déchue. Nous voici plongés au début des annees 1970, nous suivons bien tristement une Judy Garland âgée d'une quarantaine d'années, malmenée, détruite par ce que les grosses productions hollywoodiennes auront fait d'elle. Toute la représentation nous dresse le portrait d'une jeune fille victime d'un monde qui n'aura dès lors jamais cessé de l'engloutir depuis le grand succès du Magicien d'Oz. La chanson «Over The Rainbow» plus que jamais fait résonner l'incroyable mascarade qu'est la promesse d'une vie d'artiste pleine de rêves :
« And the dreams that you dare to dream,
Et les rêves que vous osez rêver,
Really do come true.
Deviennent réalité »
Renée Zellweger est diablement belle dans ce rôle brisé. Quelques scènes sont extrêmement fortes, comme celles où elle se retrouve fébrile devant un public auprès duquel elle n'est finalement que l'esclave. Tout tend à le traduire ; entre autre sa posture lorsque celle-ci le salue d'une révérence. Ce geste sonne faux. Ce geste, littéralement, signifie : «je suis à vous, je vous appartiens, vous avez fait de moi ce que vous vouliez ». De même qu'il sera dit lors d'une phrase justement placée que Judy Garland n'est autre que «la fiancée de l'Amérique». Voilà une alliance des plus chaotique où les présumés contes de fées virent aux plus sombre des cauchemars.
Ce biopic est dans l'ensemble dignement porté par la prestation puissemment chorégraphiée de Renée Zellweger, instable et abîmée, comme le veut son personnage. Peut-être qu'il manque simplement d'un meilleur point d'ancrage et d'une mise en parallèle plus conséquente de la Judy Garland adolescente avec la Judy Garland quarantenaire.
Tout le monde connaît "Le magicien d'Oz", film onirique dans les deux sens du terme et de son héroïne, interprétée par Judy Garland dont le talent n'a pas d'âge. Beaucoup savent aussi qu'elle a été mariée à Vincente Minnelli, donnant naissance à la non moins célèbre Liza Minnelli.
Le titre de ce film apparaît en paillettes comme les souliers de Dorothy. Titre qui vole graphiquement en éclats, à l'image de la vie de Judy. Sa voix est à la fois sa force et sa faiblesse.. Voix qui a envoûté des hommes au point de les pousser à contrôler Judy au cours de sa vie. Judy, à la fois surprotégée et fragilisée par les sirènes de Hollywood et sa vie affective décousue.
Renée Zellweger a brillamment , majestueusement incarné une chanteuse et mère désabusée, écartelée entre l'enchantement de ses fans qui perdure et le douloureux règlement de ses dettes.
Le titre de ce film apparaît en paillettes comme les souliers de Dorothy. Titre qui vole graphiquement en éclats, à l'image de la vie de Judy. Sa voix est à la fois sa force et sa faiblesse.. Voix qui a envoûté des hommes au point de les pousser à contrôler Judy au cours de sa vie. Judy, à la fois surprotégée et fragilisée par les sirènes de Hollywood et sa vie affective décousue.
Renée Zellweger a brillamment , majestueusement incarné une chanteuse et mère désabusée, écartelée entre l'enchantement de ses fans qui perdure et le douloureux règlement de ses dettes.
Bon film, très bien joué bien sûr. La vie de cette pauvre Judy Garland valait bien un biopic qui montre surtout l'horreur des grosses machines de production... J'ai regretté de ne pas en avoir vu un peu plus sur les heures de 'gloire" de cette femme que je ne connais pas bien finalement, hormis sa fin fin tragique grâce à ce film.
Bonjour a tous. Un film ou l excellente prestation de Renée ne masque pas le manque de moyens de la production... On est loin de l excellent " Ray ". On s ennuie au début et le film se rattrape sur la fin. La vie de Judy se résume a la fin de sa vie pour en effleurer le début... Dommage. Vous pouvez passer votre chemin si vous n êtes pas en détresse de choix !
Nous sommes pris par la main, bien que nous ne connaissions pas forcément l'œuvre de Judy. Le jeu d'actrice de René Z. est grand, et travaille donc pour beaucoup dans le rendu complet du film. Toutefois, des répétitions ennuyantes pour montrer ses chansons, et un décor d'époque pas tout à fait évident à comprendre.
J'y suis allé pour me faire un avis sur l'oscar de Renée Zellweger, et wouah quelle prestation !!!
Il y a du Amy dans son rôle, une fragilité constante due au passé mais que la force de caractère voire l'orgueil tente de dissimuler pudiquement. Personnage assez complexe donc maitrisé de main de maître par Renée Zellweger.
On se laisse emporter par l'histoire de son perso très facilement, et on s'y attache très vite.
Quelques hics de réal cependant : le personnage de Finn Wittrock qui a pourtant une grosse importance aux yeux de l'héroïne n'est pas suffisamment décrit à mon sens, et surtout surtout surtout, les scènes de chant sont mal réalisées, on ne croit pas que le perso de Renée Zellweger y chante vraiment, sauf une fois (que je ne préciserai pas pour rien spoiler)
Il y a du Amy dans son rôle, une fragilité constante due au passé mais que la force de caractère voire l'orgueil tente de dissimuler pudiquement. Personnage assez complexe donc maitrisé de main de maître par Renée Zellweger.
On se laisse emporter par l'histoire de son perso très facilement, et on s'y attache très vite.
Quelques hics de réal cependant : le personnage de Finn Wittrock qui a pourtant une grosse importance aux yeux de l'héroïne n'est pas suffisamment décrit à mon sens, et surtout surtout surtout, les scènes de chant sont mal réalisées, on ne croit pas que le perso de Renée Zellweger y chante vraiment, sauf une fois (que je ne préciserai pas pour rien spoiler)
Biopic sur la lente et bouleversante chute d’une icône hollywoodienne, enfant star abusé. C’est propre, prévisible, bien mélo et sans surprises. On retiendra la performance de Renee Zelwegger habitée par le rôle
Un scénario simple, efficace, écrit sur mesure pour mettre en avant la star, pour mettre en avant une Renée Zellweger plus profonde que jamais. On est loin de Bridget Jones, et on plonge dans la fin de carrière d’une grande star à la vie mouvementée et loin d’être aussi rose que son prénom sur l’affiche. On est dans la verve du « Stan et Ollie » de 2019 sur les dernières représentations du duo Laurel et Hardy, mais ici avec une prestation très réussie pour l’actrice qui a décidément bien tourné le dos aux comédies légères. L'ensemble de ma critique est visible ici : http://www.seven-art.fr/judy.html
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