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    Judy
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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 763 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2020
    Parfois un film entier se résume à une performance principale et Judy est l'un de ces exemples. Heureusement Renée Zellweger est plus que prête à relever le défi. Zellweger fait plus qu'une simple imitation des tiques et des manières qui ont été copiés et parodier pendant des décennies l'actrice opte pour et atteint plusieurs couches supplémentaires. L'histoire suit le scénario : Le personnage condamné, les flashbacks et le triomphe final. Les différents personnages secondaires représentent des personnes variées tout au long de sa vie. Et Zellweger est assez forte pour surmonter la plupart des clichés. La production, la musique (agréable d'entendre une nouvelle partition de Gabriel Yared) et surtout le maquillage et les cheveux travaillent tous pour nous donner un aperçu convaincant des derniers mois de Garland en 1969. Le directeur de théâtre Rupert Goold garde le spectateur concentré sur son personnage principal malgré quelques passages mélodramatiques du scénario de Tom Edge. La plus belle touche est une scène avec un couple d'hommes (Andy Nyman et Daniel Cerqueira) passant une nuit à héberger Judy à Londres. C'est un moment humain chaleureux qui rend hommage à la grande Judy Garland...
    selenie
    selenie

    6 376 abonnés 6 215 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mars 2020
    Vendu comme un biopic de la star mythique Judy Garland, c'est avant tout l'adaptation de la comédie musicale "End of the Rainbow" (2019) elle-même inspirée librement des derniers mois d'existence de la star. Le film aborde différents sujets mais sans réellement les traiter ne profondeur. En fait le film appuie là à la façon d'un tabloïd sans pour autant s'intéresser à Judy Garland elle-même. Le parcours et la carrière de la star sont omis, les morceaux musicaux bâclés et niveau historique le récit est beaucoup trop libre pour prendre en compte autre chose que la grande ligne directrice. Sinon il faut saluer effectivement la performance de Renée Zellweger (Oscar de la meilleure actrice 2020). En conclusion, malgré certains passages touchants et une actrice habitée, le film reste une médiocre hagiographie pas plus ambitieux qu'un téléfilm pour un après-midi pluvieux. Dommage...
    Site : Selenie
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 197 abonnés 5 218 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 décembre 2024
    Comme histoire, c’est peut-être intéressant, mais comme film c’est vraiment barbant.
    Certes, ce sont les souvenirs et la deuxième partie de sa vie qui sont évoqués et on est donc loin des éclats de fête mais de là à en faire un film déprimant…
    Roub E.
    Roub E.

    993 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mars 2021
    Dans le genre biopic et film à oscar ce Judy ressemble beaucoup à un archétype du genre. Un personnage avec des failles, une actrice principale qui se soumet à une transformation physique impressionnante, une reconstitution soignée et même un peu de musique. J’ai eu tout le long l’impression d’avoir déjà vu cela alors que très sincèrement la seule chose que je connaissais jusque là sur Judy Garland tenait au fait que j’ai vu le magicien d’Oz plusieurs fois quand j’étais plus jeune. J’ai trouvé que le film manquait de souffle et d’originalité, même si concrètement tout est très bien exécuté. J’ai en revanche apprécié les parties sur scène ou j’ai eu l’impression que le sujet central du film était vraiment abordé, celui d’une enfant star qui a été sculptée, taillée pour répondre à une demande et qui sur scène ressemble à un pantin dont verrait presque les ficelles tirées par ceux qui l’ont formée et ceux qui l’entourent (j’ai trouvé la ressemblance avec Pinocchio frappante de ce point de vue). Bref je n’ai pas passé un mauvais moment dans l’ensemble car s’est fait avec soin mais ça ne me laissera pas non plus un souvenir marquant.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 207 abonnés 4 192 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2020
    Les biopics musicaux sortent depuis une vingtaine d’années à un rythme soutenu sans jamais recevoir l’approbation unanime de la critique même si tout dernièrement, Rami Malek dans « Bohemian Rhapsody » (Bryan Singer en 2018) et Renée Zellweger dans « Judy » (Rupert Goold en 2019) ont tous les deux récolté un oscar de la meilleure interprétation. « Judy » retraçant les derniers mois de Judy Garland alors qu’elle entame un tour de chant à Londres n’a pas échappé à la règle, se faisant laminer par certains qui n’ont peut-être jamais vu un seul film de l'actrice et chanteuse. Cinquante ans après la mort de celle qui fut en 1939 à l’âge de dix sept ans l’inoubliable Dorothée Carter du « Magicien d’Oz » (Victor Fleming), entonnant avec sa voix précocement mature « Over the rainbow », hymne d’une Amérique ayant surmonté la crise de 1929, il n’est pas étonnant qu’ait germé l’idée de rendre hommage à celle qui fut l’archétype de l’enfant-star d’Hollywood aux côtés des Jacky Coogan, Shirley Temple, Jacky Cooper, Mickey Rooney, Elizabeth Taylor ou Nathalie Wood. Sans doute plus que tous les autres, elle symbolise le traitement inhumain réservé à des enfants doués de talent pris en étau entre des parents (le plus souvent une mère) avides de se réaliser par procuration et des producteurs sans scrupule bien décidés à presser jusqu’à la dernière goutte un fruit à peine mûr en lui interdisant de suivre son développement naturel. Le film inspiré d’une comédie musicale (« End of the Rainbow » de Peter Quilter) distille quelques flash-backs très édifiants sur ce que la jeune Judy Garland livrée à elle-même a dû subir d’un Louis B. Mayer (patron de la MGM) tyrannique qui dès ses treize ans, exploita sa star sur plus de trente films avant de la laisser exsangue et désorientée à seulement 28 ans. Elle ne tournera plus que sept films durant les 21 ans qui lui restent à vivre. Comme toujours chez les acteurs américains, l’investissement dans ce type de rôle est total et René Zellweger n’est pas en reste, délivrant une prestation aussi troublante qu’émouvante à travers le drame de cette femme qui n’a jamais appris à prendre la direction de sa vie. Malgré l’addiction aux médicaments et à l’alcool comme dangereux subterfuge à la solitude, ressort de la formidable interprétation de Renée Zellweger, le côté bon soldat de Judy Garland appris à l’impitoyable école de la MGM. Revers désolant de l’âge d’or d’Hollywood. Le scénario écrit par Tom Edge ne tombe donc jamais dans le pathos, montrant une Judy Garland toujours digne et concluant triomphalement sa tournée londonienne. Elle ne mourra que six mois plus tard. A chacun de se faire une opinion selon sa propre sensibilité et l’idée qu’il se fait d’une star qui avant d’entamer la partie la plus douloureuse de sa vie, celle de l’oubli, aura su saisir l’occasion de livrer sa vérité sous la forme d’un testament artistique dans « A star is born », le magnifique film de George Cukor sorti en 1954. Puisse « Judy » nous rappeler à son souvenir.
    ffred
    ffred

    1 735 abonnés 4 027 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mars 2020
    Ce biopic de la mythique Judy Garland sort chez nous auréolé d'un Oscar de la meilleure interprétation féminine (et de nombreux autres prix). C'est surtout ce qu'on retiendra de ce film de Rupert Goold (True Story). Sa mise en scène n'est guère attrayante, dans la moyenne du genre. Le scénario (inspiré d'une comédie musicale, se focalise sur quelques mois de 1968 peu de temps avant la mort de l'actrice, avec quelques incontournables flashbacks, mais sa famille n'a pas été contactée...) n'est guère plus convaincant, manquant assurément d'épaisseur et d'une certaine puissance. On aurait aimé ressentir un peu plus le désarroi, la détresse et la déchéance de l'actrice. Comme descente aux enfers, on a vu largement mieux. Le tout est cependant touchant et émouvant avec quelques très belles scènes. Rien à dire niveau interprétation. Renée Zellweger glane donc l'Oscar de la meilleure actrice (après celui du second rôle féminin pour Retour à Cold Mountain en 2004). Elle trouve ici sans problème son meilleur rôle, elle est formidable, chantant elle-même toutes les chansons. Récompense amplement méritée donc. Le reste du casting est tout aussi convaincant (Finn Wittrock, Jessie Buckley, Rufus Sewell, Michael Gambon...). Beau travail également sur la direction artistique (décors, costumes, maquillage, photo). Au final, un portrait de femme assez poignant qui se laisse regarder, mais sans doute trop lisse et trop académique, qui ne restera donc pas inoubliable. Un bon moment tout de même...
    moket
    moket

    543 abonnés 4 352 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2021
    Tout est un peu trop dans ce film : une réalisation trop démonstrative, trop de pathos, trop de mimiques affligées de Renee Zellweger... L'actrice est certes très impliquée mais cela semble un peu en toc. Cela n'empêche pas totalement d'apprécier le film et de découvrir notamment comment l'industrie a pu à ce point contrôler et détruire la vie de sa starlette.
    Hotinhere
    Hotinhere

    576 abonnés 5 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2021
    Un biopic touchant sur une Judy Garland au crépuscule de sa carrière, sublimé par l’immense (et oscarisée) interprétation de Renée Zellweger, complètement habitée par son rôle.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 395 abonnés 4 246 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2020
    “Judy” est un biopic sur la légendaire actrice et chanteuse britannique Judy Garland principalement révélée en 1939 avec “Le Magicien d’Oz” et la célèbre chanson “Over the Rainbow”. Si quelques flashbacks la montre dans son enfance, l’histoire se déroule principalement à la fin des années 60. Epuisée par sa carrière à Hollywood qui lui a volé son adolescence, Judy Garland s’apprête à donner une série de concerts à Londres. Alors que les retours en arrière n’étaient pas nécessaires, les séquences en présence d’une Renée Zellweger méconnaissable sont époustouflantes. L’actrice crève l’écran avec une multitude d’expressions faciales qui feront chavirer un grand nombre de spectateur. C’est aussi elle qui interprète l’intégralité des chansons du long-métrage. Une prouesse artistique et un bel hommage à une grande dame.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    ferdinand75
    ferdinand75

    566 abonnés 3 928 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mars 2020
    Une magnifique interprétation de Renéé Zellweger, qui justifie entièrement toutes ses récompenses et son Oscar. Mais le film est lent , très répétitif et manque de personnalité. On a vitre compris la dénonciation du système Hollywoodien des années 30, la manipulation des jeunes starlettes, le manque de libre arbitre, puis la descente aux enfers; mais il y a beaucoup de temps mort, et trop de chansons. le film veut toucher à tout ; la période pop du swing London, les rapports mère -enfants, les amours fugaces, pour finalement ne rein traiter correctement.
    Yves G.
    Yves G.

    1 505 abonnés 3 526 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2020
    "Judy" n’est pas un biopic qui raconterait la vie de la « petite fiancée de l’Amérique » depuis ses premières apparitions sur les planches à l’âge de deux ans seulement, son triomphe dans "Le Magicien d’Oz" en 1937 jusqu’à sa mort en 1967, à quarante sept ans à peine, trop tôt vieillie par l’alcool, les médicaments, une vie d’excès et quatre divorces.
    "Judy" se concentre sur l’ultime tournée de l’artiste à Londres, où elle garde encore quelques vieux admirateurs alors que sa réputation en Amérique s’est fanée. Sans toit, sans argent, elle accepte ce contrat pour retrouver la garde de ses enfants que leur père lui dispute.

    "Judy" sort tardivement sur les écrans français auréolé de la moisson de récompenses glanée par son actrice principale. Renée Zellweger a tout gagné : l’Oscar, le Golden Globe, le Bafta… Si les Césars avaient récompensé la meilleure actrice dans un film étranger, nul doute que le trophée lui aurait été décerné, suscitant moins de polémique celui du meilleur réalisateur.

    Alors, bien sûr, on n’aura pas le culot de dire que Renée Zellweger joue mal. Sa performance est bluffante. Elle s’est appropriée le rôle. Elle incarne Judy, ses gestes, sa voix. On ne voit qu’elle – au risque d’oublier un peu vite les autres acteurs, et notamment la toujours juste Jessie Buckley déjà remarquée dans "Chernobyl", "Wild Rose" et "Jersey Affair".

    Si on peut faire des reproches à "Judy", c’est sur deux autres plans.

    Le premier est celui de ces films tout entier organisés autour de la reconstitution, aussi fidèle que possible d’un homme et de son époque. Avec les progrès de la technique, on peut se demander quel avenir ils ont. Dès lors qu’on pourra, à partir de photos et d’images d’archives, utiliser le visage d’un personnage historique pour l’incruster dans un film, quel intérêt de demander à un acteur aussi talentueux soit-il d’essayer à tout pris de lui ressembler et d’en copier la moindre mimique ? Comme la peinture a dû se repenser après l’invention de la photographie, un certain cinéma est condamné à l’obsolescence par la "motion capture".

    Le deuxième est moins structurant. Il s’agit du sujet du film : une star de cabaret qui interprète à la fin des années soixante des standards démodés. Démodés en 1967, les tubes chantés par Judy Garland ne le sont pas moins cinquante ans plus tard. Il n’y a guère de glamour dans les numéros de cabaret, pauvrement chorégraphiés, qu’on nous montre. Et quand on entend enfin le si longtemps retardé "Over The Rainbow", on est partagé entre l’émotion et le soulagement de savoir que le film touche enfin à sa fin.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    286 abonnés 2 895 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2021
    En dépit d'une facture des plus classiques, ce biopic fonctionne bien, essentiellement (il faut le souligner) grâce à Renee Zellweger, complètement fondue dans son personnage, et un usage maîtrisé des flashbacks pour éclairer son parcours, sans forcément noyer le spectateur dans des séquences trop attendues de la vie de Judy Garland. L'atmosphère du film est tout de même grandement déprimante, tellement l'envers du décor est montré sans filtre et présente la vie de la star comme une tragédie quasi permanente, sans réelle éclaircie. Néanmoins, le soin apporté à l'esthétique globale et de belles séquences pleines d'émotion (notamment dans le final) font pencher la balance du bon côté.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    708 abonnés 3 078 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 janvier 2020
    À chaque actrice, à chaque acteur semble devoir correspondre son personnage mythique dans lequel ils essaient de se fondre et qu’ils choisissent parmi les figures emblématiques du patrimoine culturel et politique contemporain. Il y a eu récemment Christian Bale en Dick Cheney, Natalie Portman en Jackie Kennedy, Josh Brolin en George Bush, Rami Malek en Freddie Mercury, Naomi Watts en Diana, Nicole Kidman en Grace de Monaco etc. Il manquait à Renée Zellweger son rôle emblématique et plus ambitieux que celui de Bridget Jones : voici venir Judy, biopic consacré aux dernières années de la vie de Judy Garland, condamnée à répéter chaque soir sur scène les mêmes chansons pour subvenir à ses besoins ainsi qu’à ceux de sa famille, occasion également de subir ses vieux démons que sont solitude, alcool et médicaments. Et ce que le film réussit assez bien, c’est à traduire par l’image la dépendance de son héroïne à la scène qui l’a ravie à elle-même lorsqu’elle n’était encore qu’une enfant, qui lui a permis de renaître d’anonyme en star hollywoodienne sans que cette renaissance ne maintienne en vie la jeune femme qu’elle était et l’innocence qu’elle portait au plus profond d’elle-même. La construction par flashbacks établit des passerelles entre la souffrance présente et son origine antérieure : la dégradation de cette femme est tout entière causée par le milieu du cinéma, puisqu’avec la notoriété arrivent les succès amoureux qui sont autant de désillusions douloureuses. Avec les épisodes extraits de l’ascension de la star s’éclaircit sa chute finale : nous assistons ainsi aux ultimes révoltes d’une actrice qui doit apprendre à se soumettre si elle veut réussir dans un milieu cruel et dominé par la gent masculine – en témoigne une scène glaçante entre le réalisateur et Judy alors apprenti-comédienne. Ainsi, le film de Rupert Goold est l’un des premiers à mettre sur le devant de la scène les traumatismes d’une femme tombée trop jeune sous les coups de la gloire et des sacrifices qu’elle a exigés : à l’heure où Adèle Haenel brise le silence se laisse entendre une voix dont la pleine tessiture restait méconnue, la voix de Garland venue du passé et qui parle curieusement de notre actualité. Toutefois, la cohérence thématique ne saurait suffire à faire un bon film ; en l’occurrence ici, le réalisateur ne réussit pas à creuser son personnage éponyme, l’enferme dans une série de grimaces qu’affichent le visage déformé de Renée Zellweger. Et le principal problème du long-métrage réside là, dans l’interprétation de l’actrice qui exagère à outrance les émotions que la mise en scène martèle au burin. Goold n’est pas un cinéaste, et sa carrière au théâtre le rend certainement plus sensible à l’expressivité corporelle de ses personnages. Le souci, c’est que n’est pas Patrice Chéreau qui veut, et que la forme qu’il propose pour incarner ce déchant n’échappe jamais aux tics habituels du biopic lambda. En résulte une impression de déjà-vu qui accompagne des plans peu inspirés – exception faite de quelques-uns, comme un plongeon dans la piscine – et donc incapables de porter le jeu excessif de Zellweger. Les sauts temporels ont ce quelque chose de trop mécanique qui évacue l’émotion et bornent le montage à n’être qu’illustratifs. Judy orchestre ainsi l’impossible rencontre de l’art d’une actrice, chanteuse et danseuse avec l’allégorie dont le film aimerait la couvrir. La dispersion de l’intrigue entre les pays et les époques équivaut à celle du propos d’ensemble. Il aurait mieux fallu resserrer tout cela.
    CH1218
    CH1218

    209 abonnés 2 915 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2020
    A part quelques apartés sur les jeunes années de Judy Garland alors en contrat avec la Warner, le film se focalise essentiellement sur une courte période durant laquelle elle se produisait sur une scène londonienne, quelques mois avant sa disparition. Il faut avant tout saluer l’éblouissante performance, auréolée de multiples récompenses, de Renée Zellweger qui effectue, avec ce rôle, un retour remarqué après quelques années en suspension. Dommage que ce biopic, conventionnel bien que touchant, ne soit pas de la même trempe.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    300 abonnés 3 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2020
    Waouh ! Quel biopic ! le prouesse de la part de Renée Zellweger ! Elle nous envoûte pendant 1h55 et on plonge sans difficulté dans la vie tumultueuse et sombre de l'immense Judy Garland et on assiste à sa déchéance avec le nœud au ventre ! Quelle tristesse de voir une si grande femme partir à la dérive sans que personne n'ait jamais daigné lui venir en aide ! Quel gâchis et franchement ce film est beau & digne et il mérite d'être vu pour rendre hommage à cette grande Madame du cinéma ! Rest in peace Judy !
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