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La performance de Renée Zellweger n’est pas une usurpation d’identité. Avec énergie, elle transcende l’imitation, la copie des gestes, de la démarche, de la voix. Elle fait revivre physiquement et émotionnellement Judy Garland, dans un mimétisme si saisissant, qu’on dirait presque un autoportrait.
La performance de Renée Zellweger n’est pas une usurpation d’identité. Avec énergie, elle transcende l’imitation, la copie des gestes, de la démarche, de la voix. Elle fait revivre physiquement et émotionnellement Judy Garland, dans un mimétisme si saisissant, qu’on dirait presque un autoportrait.
Tiré de la pièce End of the Rainbow de Peter Quilter, le film de Rupert Goold entremêle prouesses vocales de Renée Zellweger et instants de frénésie et de détresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le film raconte la lente et bouleversante chute de celle qui fût l'inoubliable Dorothy du Magicien d'Oz, incarnée sans fausse note par Renée Zellweger, dans son rôle le plus intense. Jusqu'à nous laisser, comme Judy à la fin de sa vie, presque sans voix.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Si la mise en scène est purement fonctionnelle, on ne peut qu’être captivé par la prestation magnétique de Renée Zellweger, littéralement habitée par le rôle.
Le destin d’une icône en somme, que Renée Zellweger, devant la caméra du cinéaste britannique Rupert Goold, ressuscite avec une radieuse capacité d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Renée Zellweger compose une Judy Garland au crépuscule de sa vie. Au dos du portrait au noir, salué de l’Oscar de la meilleure actrice, le trauma de l'enfant star abusée.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Quand Judy Garland ouvrait la bouche, c’était magique. Quand Renée Zellweger l’imite, c’est bof. Du coup, le film devient ce qu’il ne voulait pas être : un biopic de plus.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Si "Judy" rejoint la longue liste des biopics aux intonations mélodramatiques, il s’en démarque par une mise en scène qui, réflexivement, met en lumière celle dont Garland fut elle- même victime.
Plus exigeant et intéressant que nombre de biopics sortis récemment sur nos écrans, Judy, avec son héroïne martyr et ses allers-retours incessants entre les dernières heures de la star et sa jeunesse dans l’usine à rêves hollywoodienne, se laisse regarder sans déplaisir (...).
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Zellweger semble réellement habitée par son modèle. Sans jamais tomber dans l’imitation, elle rend compte de la complexité d’une vie de star lancée toute jeune et soumise à la pression d’un métier qui exige plus qu’il ne donne. Et finalement, elle nous parle autant d’elle que de Judy Garland.
La critique complète est disponible sur le site Première
Numéro d’imitation parfait. Presque trop : une détermination minérale affleure à la surface de ce remarquable travail d’actrice, un masque sous le masque, impossible à oublier. Comme si l’actrice d’aujourd’hui entrait en concurrence avec la diva déchue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Parfois un peu trop artificiellement étiré, ce portrait funèbre parvient pourtant à émouvoir grâce à une Renée Zellweger habitée par le spleen pailleté de son modèle. Une interprétation sans fausse note.
Sans doute aurait-il fallu rester moins dans la déférence du fan pour oser quelques résonances esthétiques et musicales plus inattendues et perturber cet énième biopic trop soigné.
C’est le problème de ce type de récits qui, pour retracer le parcours d’une vie, bordent ainsi le personnage de toute part : à force de vouloir tout couvrir, ils peinent à livrer autre chose qu’une vision étiolée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
En choisissant de ne raconter que la dernière année de l’icône de Hollywood, celle de sa descente aux enfers, le pâle biopic de Rupert Goold verse dans le film d’apitoiement stérile.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Femme Actuelle
On est vite charmé par le glamour de l’époque, et les performances du casting. Du très bon travail.
Le Parisien
Un film et une interprétation déchirants.
Ouest France
Ce biopic est remarquablement interprété par Renée Zellweger, justement oscarisée.
Public
Le film, qui rend hommage à l'âge d'or du cinéma hollywoodien, fait passer par toutes les émotions, du rire aux larmes.
20 Minutes
Renée Zellweger livre une véritable performance dans la peau de Judy Garland.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La performance de Renée Zellweger n’est pas une usurpation d’identité. Avec énergie, elle transcende l’imitation, la copie des gestes, de la démarche, de la voix. Elle fait revivre physiquement et émotionnellement Judy Garland, dans un mimétisme si saisissant, qu’on dirait presque un autoportrait.
Elle
Renée Zellweger traduit avec élégance la fougue qui animait Judy Garland dans son rapport avec le public.
Le Dauphiné Libéré
La performance de Renée Zellweger n’est pas une usurpation d’identité. Avec énergie, elle transcende l’imitation, la copie des gestes, de la démarche, de la voix. Elle fait revivre physiquement et émotionnellement Judy Garland, dans un mimétisme si saisissant, qu’on dirait presque un autoportrait.
Le Figaro
Tiré de la pièce End of the Rainbow de Peter Quilter, le film de Rupert Goold entremêle prouesses vocales de Renée Zellweger et instants de frénésie et de détresse.
Le Point
Un biopic touchant, classique dans sa forme mais original dans ses choix scénaristiques.
Marie Claire
Le film raconte la lente et bouleversante chute de celle qui fût l'inoubliable Dorothy du Magicien d'Oz, incarnée sans fausse note par Renée Zellweger, dans son rôle le plus intense. Jusqu'à nous laisser, comme Judy à la fin de sa vie, presque sans voix.
Positif
Si la mise en scène est purement fonctionnelle, on ne peut qu’être captivé par la prestation magnétique de Renée Zellweger, littéralement habitée par le rôle.
Sud Ouest
Le destin d’une icône en somme, que Renée Zellweger, devant la caméra du cinéaste britannique Rupert Goold, ressuscite avec une radieuse capacité d’émotion.
Télé Loisirs
Un rôle exigeant pour lequel Renée Zellweger se livre corps et âme, offrant une performance magistrale.
Bande à part
Renée Zellweger compose une Judy Garland au crépuscule de sa vie. Au dos du portrait au noir, salué de l’Oscar de la meilleure actrice, le trauma de l'enfant star abusée.
Closer
On aurait aimé plus de splendeur hollywoodienne. Oscarisée, Renée Zellweger réinvente Judy sans en rajouter.
Ecran Large
Prévisible, attendu, propre, "Judy" ne démérite pas, mais ne parvient jamais à imposer une voix singulière.
Franceinfo Culture
Renée Zellweger sauve le film avec une palette d’émotions impressionnante, mais "Judy" ne nous emmène pas "over the rainbow".
L'Express
Si l'on voulait être concis, on dirait que "Judy" est un film "qui fait le job". Sans surprises.
L'Obs
Quand Judy Garland ouvrait la bouche, c’était magique. Quand Renée Zellweger l’imite, c’est bof. Du coup, le film devient ce qu’il ne voulait pas être : un biopic de plus.
Le Journal du Dimanche
Un hommage édifiant, résolument mélancolique.
Le Monde
Bien que le film coche poliment toutes les cases du genre, il renferme une bizarrerie fascinante : l’actrice Renée Zellweger.
Les Fiches du Cinéma
Si "Judy" rejoint la longue liste des biopics aux intonations mélodramatiques, il s’en démarque par une mise en scène qui, réflexivement, met en lumière celle dont Garland fut elle- même victime.
Les Inrockuptibles
Le film est ennuyeux, et pourtant quelque chose, dans sa rugosité, nous tient en respect.
Marianne
Plus exigeant et intéressant que nombre de biopics sortis récemment sur nos écrans, Judy, avec son héroïne martyr et ses allers-retours incessants entre les dernières heures de la star et sa jeunesse dans l’usine à rêves hollywoodienne, se laisse regarder sans déplaisir (...).
Première
Zellweger semble réellement habitée par son modèle. Sans jamais tomber dans l’imitation, elle rend compte de la complexité d’une vie de star lancée toute jeune et soumise à la pression d’un métier qui exige plus qu’il ne donne. Et finalement, elle nous parle autant d’elle que de Judy Garland.
Télé 7 Jours
Bien que parfois prévisible, ce biopic s'affranchit des codes du genre [...].
Télérama
Numéro d’imitation parfait. Presque trop : une détermination minérale affleure à la surface de ce remarquable travail d’actrice, un masque sous le masque, impossible à oublier. Comme si l’actrice d’aujourd’hui entrait en concurrence avec la diva déchue.
Voici
Parfois un peu trop artificiellement étiré, ce portrait funèbre parvient pourtant à émouvoir grâce à une Renée Zellweger habitée par le spleen pailleté de son modèle. Une interprétation sans fausse note.
Cahiers du Cinéma
Sans doute aurait-il fallu rester moins dans la déférence du fan pour oser quelques résonances esthétiques et musicales plus inattendues et perturber cet énième biopic trop soigné.
CinemaTeaser
Nouveau biopic sacrificiel avec option performance d'actrice. Efficace donc gênant.
Critikat.com
C’est le problème de ce type de récits qui, pour retracer le parcours d’une vie, bordent ainsi le personnage de toute part : à force de vouloir tout couvrir, ils peinent à livrer autre chose qu’une vision étiolée.
Libération
En choisissant de ne raconter que la dernière année de l’icône de Hollywood, celle de sa descente aux enfers, le pâle biopic de Rupert Goold verse dans le film d’apitoiement stérile.
aVoir-aLire.com
Quand Hollywood exploite l’enfant surexploitée d’Hollywood... on est consterné.