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RedArrow
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2,0
Publiée le 31 décembre 2017
Comédie parfaitement insignifiante, "Pottersville" fait partie de ces films qui n'ont pas grand chose de bien original à proposer au delà de leur pitch très amusant. En effet, après cette fameuse nuit très alcoolisée où un gérant de boutique déguisé en gorille se retrouve pris pour le Bigfoot par l'ensemble de ses concitoyens, "Pottersville" va se contenter de s'enfiler dans toutes les situations les plus entendues que l'on pourrait imaginer d'une telle situation. Une petite ville rongée par la crise économique retrouvant un nouveau souffle grâce à cette affaire médiatique, un présentateur TV/chasseur de monstres dans le rôle du bouffon de service, le principal concerné rongé par la supercherie qui prend des proportions folles, une femme vénale contre une jolie love interest innocente,... "Pottersville" enchaîne les lieux communs comiques dont, contexte de Noël oblige, tous les effets loufoques sont soulignés par une musique omniprésente et à la subtilité d'un Sasquatch pendant la saison des amours. Hormis quelques bonnes répliques (on sourit tout de même) et un casting qui prend un plaisir certain à s'éclater ensemble (Michael Shannon en train de faire le zouave dans son costume ridicule de gorille, Christina Hendricks, Judy Greer, Ron Perlman, Ian McShane, Thomas Lennon, il y a du beau monde, c'est incontestable), cette comédie ne va jamais parvenir à atteindre la folie humoristique dont elle semble rêver en permanence.
Seulement si vous êtes contaminés par l'esprit de Noël, "Pottersville" va peut-être faire le job, non pas sur le plan du rire, mais plutôt avec ce déferlement de bons sentiments dans son dernier acte ayant la judicieuse idée d'éviter l'écueil de la mièvrerie. On se surprendra ainsi à s'être finalement attaché à l'ensemble de cette communauté un peu à l'ouest et le message sur une normalité bienveillante que l'on a tous tendance à oublier lorsqu'on s'y habitue se révélera très bien pensé pour que l'émotion capra-esque engendrée ne relève pas, elle, de la supercherie.
Une comédie de Noël oubliable, certes, mais on a connu bien plus désagréable que cette virée dans la petite ville azimutée de Pottersville...
Une comédie bien maigre, il y a deux ou trois passages qui font sourire et la présence de bons acteurs qui avaient visiblement des trous dans leurs agendas. Mais ça reste une grosse perte de temps.
Ouh la, j'aime bien les téléflms sur Noël mais là le problème est que le film ne sait pas sur quel pied danser! Noël ou fantastique, mais toujours résolument familial, enfin, plutôt niais en fait. Michael Shannon se sent lui-même égaré dans ce téléfilm, et c'est bien dommage pour ce grand comédien trop souvent sous-exploité. Franchement pas terrible.
Une nouvelle production Netflix passée un peu inaperçue, Pottersville est plutôt un bon film de Noël. Lorsque Maynard découvre que sa femme l'a trompée avec le shérif et qu'elle est adepte de "Furry", cette tendance sexuelle où les partenaires se déguisent en animaux, il décide de se déguiser en gorille pour la reconquérir. Sauf que dans une région comme celle-ci où les rumeurs de "Bigfoot" sont plus qu'une légende, les habitants locaux finissent par croire que la créature s'est installée dans leur ville et un business commence à se créer. Emission de télévision, chasseur de bigfoot, commencent alors à faire leur apparition et il devient de plus en plus dur de continuer la supercherie. L'interprétation est de qualité, notamment les très bons Michael Shannon et Ian McShane, ainsi que le faux reporter australien.
Le film se laisse regarder sans avoir la prétention d'être plus ce qu'il est. Pottersville fait en tout cas partie de ces villes comme Fargo où on n'a pas vraiment envie de faire du tourisme tant les habitants sont décérébrés.
D'une facilité accablante, avec quelques situations plutôt gênantes à voir si vous n'avez plus quatre ans (Michael Shannon qui fait des gestes ridicules avec son costume de gorille, le présentateur qui fait popo dans les bois, l'ensemble du délire avec les furries...) et un casting qui semble s'être perdu dans ce mauvais téléfilm d'après-midi. L'intrigue était assez amusante lors des dix premières minutes (l'homme ivre qui est pris pour un Bigfoot), mais par la suite ne fait qu'enfoncer les portes ouvertes jusqu'au final d'une niaiserie certaine. Le présentateur est bien sûr le grand méchant, on n'en doute pas dès son arrivée tant le film est peu fin sur la personnalité des rôles (une vraie caricature qui enchaîne les idioties pour bien montrer qu'il est vilain et hypocrite... on avait compris). Les furries (personnes qui se travestissent en animaux stylisés) sont la grande question du film : à quoi servent-ils ? Pourquoi les associer forcément au sexe ? Déjà que cette pratique est regardée assez bizarrement, le film ne leur arrange pas le portrait. L'ambiance de Noël est cependant bien présente, avec la musique qui semble bloquée sur le disque "carillons et grelots", toutes les décorations de fête et la neige. C'est au moins cela de pris.
Ce film, réalisé par Seth Henrikson et sorti en 2017 directement sur Netflix, n'est franchement pas terrible. C'est l'histoire d'un homme se déguisant en Bigfoot pour faire peur à sa femme mais il est finalement aperçut errant dans la ville et ainsi, tous les habitants croient en la présence d'un Bigfoot en ville. Bon voilà, c'est aussi bête que ça mais honnêtement, je pensais que cela pourrait donner quelque chose de pas trop mal. Finalement, le film est très niais et n'a pas grand chose à nous proposer. Le rythme est très lent, si on ne rentre pas dans tout le délire du chasseur de monstres, on s'ennuie clairement pendant une heure et demie. Cela aurait pu cependant être une comédie familial assez sympathique mais le film n'est malheureusement même pas au niveau des téléfilms M6. Effectivement, en plus d'être très niaise, l'histoire est prévisible et suit un schéma déjà établit des milliers de fois au cinéma et ne surprend ainsi plus personne. Donc, si on ne trouve pas ça drôle, on ne peut même pas se consoler avec un petit twist ou une trame originale, non, tout est téléphoné. D'ailleurs, dès la présentation des personnages et dès la scène d’introduction, on sait à quoi on va avoir affaire. De plus, le contexte de Noël n'est là que pour pouvoir inclure une fin qui dégueule de bons sentiments, tellement que cela en devient ridicule. En ce qui concerne les acteurs, nous avons principalement Michael Shannon, Ron Perlman et Judy Greer qui sont un peu perdus dans ce genre de comédie, on se demande d'ailleurs ce qu'ils font là. "Pottersville" est donc une comédie assez mauvaise mais qui peut plaire dans un contexte familial.
On se retrouve devant un énième film de Noël. Le pitch : L'épicier de la ville rentre un peu plus tôt chez lui et voit sa femme le tromper en déguisement d'animaux. L'épicier un peu bourré, prends un costume de singe et fait le tour de la ville. Et la on se retrouve devant un village un peu teubé, un peu comme quand les gens voit superman que le gars enlève simplement ses lunettes et que plus personne le reconnait. Tout le monde pense que BigFoot est dans le village et ils vont tenter de l'attraper avec un pro chasseur de monstre de l’extrême. Pour ce film, il y a quand même un beau casting de star... mais voila ça casse pas non plus 3 pattes à un canard... mais des trois films de Noël que j'ai vu c'est le mieux.
Voici le pitch : dans une petite ville en perte de vitesse, un homme se déguise en une sorte de bigfoot sous le coup de la colère et de la tristesse après avoir surpris sa femme et son ami en train de mettre du "piment dans leur vie" par des accolades dans des déguisements d'animaux. Sauf, que les habitants aperçoivent notre pauvre homme et commencent à croire à l'existence du monstre. Dès lors, une équipe de télévision débarque et met un coup de projecteur inespéré sur la ville... C'est vraiment dommage car l'idée de départ et le casting sont vraiment intéressants. On espère que ça va prendre mais finalement, irrémédiablement, rien ne se passe. Ça reste d'une platitude incroyable. La mise en scène ne suit absolument pas le délire qui semblait se profiler. C'est un peu comme si quelqu'un racontait une histoire drôle sans jamais nous faire rire. Bref, c'est un beau gâchis tant il n'y a aucune prise de risque et tout semble prévisible.