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    I Am Mother
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    175 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 juin 2019
    Sans aucun doute le meilleur film tous genres confondues qu'il m'a été donné de voir sur Netflix, traitant sur un monde apocalyptique où règnent des robots destinées à remettre de l'ordre dans l'espèce humaine. Le scénario est vraiment bien trouvée, l'univers est parfaitement exécuté, les décors, visuellement c'est fascinant et la technologie mise en avant nous paraît réelle. L'actrice principale joue à la perfection et le robot semble tellement réaliste, bref ce film nous plonge complètement dans un univers nouveau et futuriste, de quoi être émerveillé et fasciné.
    Archive27
    Archive27

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 juin 2019
    huit clos minimaliste mais efficace. une bande son un peut plus inventif aurait donné à mon sens une autre dimension à ce i am mother.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 juin 2019
    Excellent film 🎥 très belle histoire et film prenant, l'émotion est presente dés le début, à voir �
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 juin 2019
    J'ai trouvé ce film vraiment très bien fait en terme de science fiction et de travaux réalisés pour le robot.
    En attente de la suite ...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 juin 2019
    Très beau techniquement mais un peu faible au niveau du scénario.
    I am Mother est un huis clos dans un univers post-apocalyptique où on suit le développement d'une jeune fille éduquée par Mother, un robot humanoïde.
    Mon plus gros souci est dans les thèmes qui sont abordés et le développement des personnages. Comme annoncé dans la bande-annonce, l'héroïne accueille dans son refuge une femme qui aurait survécu à l'épidémie sévissant au-dehors. L'entièreté du film pose des question très intéressantes sur le fait d'être humain et quels choix moraux sous-tendent le fait d'être une personne "meilleure".
    Le souci c'est que le film prend trop de longueur à poser le décor, et pas assez à développer les personnages. Les questionnements de l'héroïne sont alimentés par les informations qu'elle reçoit de l'autre humaine et de Mother. Qui croire ? Une inconnue qui dévoile une vérité qu'on lui a tant caché, ou la mère qui montre les incohérences dans les propos de la nouvelle arrivante ?
    spoiler: Sauf que lorsqu'elles s'enfuient de la station, l'héroïne voit que en effet dehors c'est pourri. Mais elle apprend aussi que le futur avec les autres gens qu'on lui vendait était faux, porté par une femme qui était bien trop seule. Mais une des grandes questions que je me pose c'est comment l'autre meuf elle est arrivée jusqu'au refuge ? Si Mother contrôle / est l'ensemble des robots autour du monde, elle aurait dû savoir que l'autre meuf arrivait au refuge. Elle ne l'a pas tué. Du coup elle l'a laissé en vie pour tester sa fille, je suppose ? Mais dans ce cas, pourquoi l'autre s'est-elle tiré une balle dans la jambe ? C'était quoi son besoin d'être blessée, sachant qu'elle ne savait qu'il y avait des gens dans le bâtiment qu'elle a miraculeusement repéré. Du coup ça donne un récit qui ne tient plus debout quand on regarde en profondeur... En plus je suis persuadée que la meuf qui est vivante c'est le premier embryon qui a vécu. Parce que ça explique qu'elle ait été trouvée, et qu'elle ait une comparaison avec la vie pourrie dans les mines. En plus si ça se trouve, Mother l'a laissé dehors soit pour la tester, soit pour vérifier qu'il y a encore des gens vivants dehors (et non conforme à ses attentes pour l'humanité). Bref j'en ai fini avec mes idées personnelles
    RedArrow
    RedArrow

    1 682 abonnés 1 538 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2019
    Au premier jour après l'extinction de l'humanité, Mother se réveilla.
    Gardien de milliers d'embryons dans un bunker ultra-sécurisé, ce droïde à la voix aussi tendre que celle de Rose Byrne avait pour tâche apparente d'assurer la survie de notre espèce. Dans la même journée, Mother fit donc naître la première représentante de cette génération amenée à assurer le repeuplement de la planète : Daughter. Pendant des années, Mother éleva Daughter dans leur cocon technologique confiné en essayant de reproduire les sentiments typiquement humains d'une mère à l'égard de sa fille et, si l'on oubliait sa rigidité robotique trahissant une évidente imitation accompagnée de maladresses, Mother remplissa plutôt bien ce rôle à multiples facettes car Daughter devint une fille modèle. Seulement, à l'adolescence, les murs de leur abri se mirent à paraître trop étroits pour la jeune fille et le seul halo de soleil d'un monde extérieur que Mother disait aujourd'hui hostile pour l'Homme ne pouvait plus la contenter. Quand un indice vint lui indiquer que la vie était finalement peut-être encore présente sur Terre, Daughter décida de passer outre les mises en garde de Mother et s'aventura dans le sas d'entrée de leur bunker. Là-bas, à sa grande surprise, elle découvrit une survivante blessée sur le paillasson d'entrée. Elle décida de la recueillir malgré les risques d'une inoubliable fessée robotique de la part de Mother...

    On tremble toujours un peu à l'idée de découvrir une nouvelle production SF qui a échoué sur Netflix en fin de parcours après des ambitions plus grandes. Soyons honnêtes, pour un génial "Annihilation", on se retrouve la plupart du temps avec des dizaines de productions qui, certes, partent souvent d'une belle idée mais donnent toujours de films inaboutis dont on ne sait si on doit garder en mémoire le verre à moitié plein ou à moitié vide qu'ils représentent pour les juger. Premier film australien de Grant Sputore, "I Am Mother" fait hélas partie une fois plus de cette dernière catégorie mais, même si l'impression générale qui en émane reste du même ordre, il a néanmoins des qualités et des défauts différents de la masse habituelle proposée par Netflix.

    Déjà, impossible de le nier, par son environnement de huis-clos et son nombre de protagonistes minimaliste, "I Am Mother" réussit plutôt bien à nous embarquer dans l'ambiance d'enfermement de ce lien mère-fille si particulier que le montage d'ouverture sur "Baby Mine" durant l'enfance de Daughter nous magnifie par l'innocence et la pureté qui en ressortent. Formellement, Grant Sputore réussit dès les premiers instants à rendre crédible cet univers à échelle réduite mais fort en émotions, bien aidé par son superbe droïde parfaitement humanisé par la voix de Rose Byrne (le travail de l'actrice à l'égard des nuances de sa personnalité est impressionnant) ou encore la prestation de Clara Rugaard dans le rôle de teen-Daughter, grande révélation du film.

    Évidemment, l'arrivée de la troisième protagoniste (Hilary Swank) fait voler en éclats la tranquillité de l'existence entre Mother et Daughter et va remplir tout son office de ressort scénaristique attendu pour éveiller la conscience de la deuxième déjà en plein doute quant aux affirmations péremptoires de la première. Dès lors, le personnage de Daughter ne va cesser d'être ballotter entre celle qu'elle a toujours considérée comme une figure maternelle mais dont l'autorité se craquèle devant une vérité plus trouble qu'il n'y paraît et la nouvelle arrivante, promesse de nouveaux horizons et surtout d'une présence humaine qui manquait désespérément à notre héroïne malgré les efforts de sa Mother métallique.

    C'est d'ailleurs à partir de là que "I Am Mother" va révéler toute sa dichotomie qualitative.
    D'un côté, une fois le relationnel autour de ces trois personnages installé, le film va multiplier les interrogations autour des motivations des deux représentantes féminines adultes de son intrigue jusqu'à l'overdose. Dans le but de se forger un jugement qui lui est propre, Daughter va ainsi passer d'un camp à un autre pendant un temps paraissant infini et qui va permettre au spectateur de passer mentalement en revue toutes les hypothèses sur les buts poursuivis par ceux-ci. Sur ce point, "I Am Mother" ne fera que décevoir tant tous les twists proposés en guise de réponses auront quasiment tous été envisagés en amont, le film aura beau les multiplier en tirant sur toutes les cordes que lui permettent les rebondissements entre son trio d'héroïnes et son contexte post-apo, rien n'y fera, la surprise ne sera jamais vraiment au rendez-vous et la deuxième partie de "I Am Mother" donnera toujours l'impression d'être un énorme pot-pourri SF dont les révélations éculées ne pourront guère emballer les fidèles du genre, d'autant plus que certaines d'entre elles seront parfois amenées de manière discutable (notamment celles sur le personnage d'Hillary Swank, un détail essentiel trop vite révélé et une réalisation sans grande subtilité autour de ses interactions trahiront assez vite son rôle dans toute cette affaire). On ne pourra que regretter cette espèce de volonté trop prononcée à passer en revue et respecter les standards SF car c'est clairement à ce niveau que "I Am Mother" perd tout ce qui pouvait lui conférer une identité atypique.

    Effectivement, d'un autre côté, tous ces ressorts usés sont en réalité des outils pour explorer le cœur de la thématique du long-métrage où les méandres de la relation mère-fille jouent un rôle crucial. Tel un flambeau, les personnages vont se passer le statut de figure maternelle au gré des divers twists pour, bien entendu, forger le caractère de Daughter à travers ses premières confrontations avec des défaillances humaines telles que la peur de la solitude, l'égoïsme ou le mensonge (des défaillances communes à tous). Ainsi, "I Am Mother" a le mérite de très bien porter son titre par la mise en avant de la primauté du lien maternel, ce qui le définit et sa perception dans un plus vaste ensemble que son intrigue se charge de tisser jusque dans son dernier acte. Une fois tous les tenants et aboutissants révélés, on ne pourra que saluer la qualité du film sur ce plan car, en essorant toutes les pistes que son postulat lui permettait, "I Am Mother" aura, a contrario de bon nombre de productions Netflix du même type, été jusqu'au bout de son propos et n'aura jamais abandonné les ambitions de départ en permettant à ses personnages de se dévoiler ou de se construire autour de la thématique principale qui l'animait. Certes, ses rebondissements étaient connus et/ou attendus mais ils n'auront jamais été gratuits dans l'optique de ce que le film voulait nous raconter et c'est sans doute ce dessein cohérent qui aura constitué sa plus belle force.

    "I Am Mother" est donc encore une de ces petites séries B de SF proposées par Netflix dont on ne parvient à se satisfaire pleinement mais, cette fois, on ne peut pas vraiment reprocher à ce premier film sa proposition de contenu, celle-ci profitant à chaque fois de toutes ses opportunités scénaristiques pour mettre son discours en exergue. Non, c'est plutôt hélas sur sa manière d'agencer son déroulement autour qui pose un réel problème avec l'accumulation de poncifs SF utilisés. Au-delà de la forme plus susceptible de faire l'unanimité et plutôt prometteuse pour un premier long (le film tient on ne peut plus la route en termes de mise en scène et ces trois interprètes ne failliront jamais), "I Am Mother" est finalement déchiré entre la pertinence de ce qu'il veut raconter et son langage scénaristique bien plus banal pour le faire, cette irréconciliabilité le conduit de fait à un statut d'oeuvre mineure qu'il ne méritait sans doute pas.
    Giles d
    Giles d

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2019
    Scénario assez classique et comme très souvent chez Netflix, un film huis clos avec un minimum d'acteurs.
    Nicothrash
    Nicothrash

    383 abonnés 3 051 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2019
    Certes, on en a vu des paquets de Séries B de ce type en SF, du très bon, du très mauvais mais force est de constater que cette production Netflix sort clairement son épingle du jeu. En rappelant parfois Passengers, Saturn 3, 2001 et bien d'autres encore, I am Mother s'avère assez passionnant à suivre, on s'y pose pas mal de question et il faut bien reconnaître également que la prestation de la jeune Clara Rugaard n'y est pas étrangère, une très belle performance sachant que les deux heures reposent pour une bonne partie uniquement sur sa présence. Le scénario est malin et nous réserve quelques petites surprises et l'atmosphère est des plus intéressante. Après une mise en place assez longue mais dont on ne décroche pas, arrivent de multiples rebondissements sans qu'il y ait overdose et on peut remarquer que la réalisation est soignée, en intérieur comme en extérieur. La mise en scène est bonne également et l'on ne s'ennuie jamais, tout est en place et ce métrage estampillé Netflix constitue une bonne surprise et s'avère véritablement abouti, contrairement à d'autres sorties du genre. Je conseille.
    Gregg S.
    Gregg S.

    23 abonnés 377 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juin 2019
    L'idée est intéressante, mais le film manque d'envergure. Le scénario s'étale un peu trop sans jamais vraiment parvenir a convaincre. Mention spéciale aux effets spéciaux du robot "Mother".
    Maritza o
    Maritza o

    46 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juin 2019
    Pas mal pas mal. Bon la fin n'en est pas une et il y a de multiples incohérences mais...
    Fan de SF et de réflexions, j'ai passé un bon moment. oui parfois y'a des longueurs, et je trouve la fin expéditive mais ça se laisse voir. Surtout que je m'attendais à pire. Les actrices ont été très bien dirigée, elles sont dedans MAIS, si quelqu'un peut m'expliquer le rôle du personnage d'Hilary parce qu'à l'exception de bousculer "fille" oui d'accord, quid de la fin ?
    Réflexions sur la maternité (on s'y attend vu le titre), un peu déçue de ne jamais avoir eu de référence aux "pères". Mother mother oui oui of course mais jamais "fille" ne s'interroge sur autre chose ? Film assez sombre, mais décors efficaces. Les décors post-apocalyptiques à la fin...ouaaaaaaa j'ai adoré spoiler: la plaaaageeeee !!!

    En résumé, si vous êtes fan et que vous avez envie de passer du bon temps avec un poil de réflexion et de crêpage de chignons, regardez-le ^^ C'est vraiment plaisant à voir. Si vous êtes titilleux et que vous attendez vraiment de l'action, ou avec une grande réflexion sur "c'est quoi l'humain ?" "l'auto-destruction" ? hummm vous allez être déçu ^^
    ça se laisse regarder, 3/5 !
    Timothée W
    Timothée W

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2019
    Une petite pépite de chez netflix comme on les aime.

    Alors certes on n'a rien inventé : les robots qui prennent le pouvoir, une extinction de masse, certes ...

    Mais derrière cette base toute simpliste ce cache en réalité une histoire profonde, le rôle d'une mère face à l'éducation de son enfant. La mère ici représentée par un robot, lisse, parfait, qui c'est tout bien faire mieux que tout le monde et qui choisit de qui doit vivre et de qui doit mourir.

    Parce que oui, c'est aussi un robot violent, capable de tuer pour obtenir ce qu'il veut (mais c'est pour le bien de la planète voyons) D'abord on zigouille toute l'humanité et après ont recréé des êtres humains un par un, en les élevant le plus proprement possible et en tuant ce qui ne remplisse pas les conditions de nos chers robots, même les petites têtes.

    Dans ce film, ce que cherche cette très jeune actrice principale, c'est comprendre ce qu'il y a à l’extérieur et mettre en avant son coter humain face à des robots qui se veulent toujours parfaits quitte à détruire des vies sans pitié.

    C'est l'actrice secondaire qui aura pour rôle de faire ouvrir les yeux à notre petite tête.

    Cette (future) mère cherchera avant tout à faire accepter l'imperfection de l'être humain à la machine.

    Ce film se veut moralisateur et pessimiste à la fois, en nous expliquant au fond qu'on ne pourra (nous être humain) sans doute jamais sauver notre planète car nous sommes trop violents par nature et que seuls un régime drastique, permettrait de tous nous sauver.

    Là encore rien n'est inventé mais la façon dont l'histoire est racontée est très touchante.

    Encore une fois comme à l'habitude chez netflix la photographie est très belle, les personnages très bien représenter, très bien jouer. Le suspense est à son comble car le robot ne montre pas d’émotion et on ne sait pas à quoi s'attendre.

    Sinon les plus rancuniers viendront crier au fait qu'aucun homme n'est représenté dans cette fiction, mais plus violents par nature, ils auraient sans doute eu du mal à trouver leur place dans ce film qui se veut très pacifiste.

    D'autres feront un malaise en voyant qu'il suffit de mettre un petit bébé pendant 24h dans une machine (au lieu de 9 mois dans le ventre d'une maman) et le tour est joué.

    D'autres encore diront qu'une mère ne peut pas décider comme dans un supermarché de l'enfant qu’elle souhaite élever en l'appelant son enfant alors que ce n'est pas le cas.

    Mais là n'est pas la question, le film se veut recentrer sur la condition de la mère et de ce qu'elle est censer apporter à son enfant, lui montrer le droit chemin, le respect, l'amour, le respect de son prochain et de sa grande maison (la planète) tristement représenter dans cette fiction.

    À voir sans condition.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 juin 2019
    3 films Netflix visionnés à la suite et visiblement, une difficulté à finir leurs films convenablement.
    1 - How it ends : là, il n'y a juste pas de fin (à croire qu'ils voulaient nous envoyer un signe avec le titre). Le générique tombe d'un coup spoiler: au moment ou l'on voit pour la première fois le "phénomène"
    , faisant naître en nous un doute : c'était un film ou le premier épisode d'une série ?

    2 - Cargo : Là, c'est tout bon, une vraie fin sympa et toute en humanité. Certain trouve le film un peu lent, mais c'est le cas aussi des 2 autres et cela ne me pose pas de problème. Une fois que je suis plongé dans l'ambiance, je ne vois plus le temps passé...

    3 - I am mother : On n'est ici entre les 2 films précédents. Ils ont essayé de donner une impression de fin, mais ce n'est qu'une impression. On attend des réponses qui ne viennent pas. Cela peut être gratifiant de devoir réfléchir 30 secondes à la fin d'un bon film pour "construire" cette conclusion que l'on ne nous a pas montrée, mais bien aidé en cela par un scénario bien ficelé. Ce n'est ici pas le cas. Le film s'arrête et vous avez l'impression d'avoir perdu 1h30 car vous ne pouvez pas imaginer de fin logique, comprendre même quel était l'intérêt du personnage joué par Hilary Swank, ce qu'il a apporté à l'intrigue.
    2.5/5 quand même car le film était néanmoins sympa si on oublie cette conclusion qui n'en est pas une.
    djsahin
    djsahin

    35 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2019
    Très bon film encore une fois de la part de Netflix. Mais c’est vrai que, comme avec ses autres films, une fois qu’on l’a vu on peut vite l’oublier. J’avoue que juste après l’avoir visionné, je voulais mettre juste deux étoiles car j’étais fâché de ne pas avoir compris la fin. Mais après avoir lu certains commentaires, j’ai compris la fin et me suis rendu compte qu’en fait c’était une bombe cette fin! Je le conseilles donc vivement..
    galthi74
    galthi74

    5 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 juin 2019
    Aucun intérêt, même pas le début d’une intrigue, un cyborg aux mouvements un peu trop humains, une fin qui n’en est pas une, des dialogues insipides, des personnages lisses et des scènes sans queue ni tête, bref il n’y a rien à sauver dans cette daube. Je me demande ce que Hilary Swank est venue faire ici .o0’
    Byrlthek
    Byrlthek

    22 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2019
    Plutôt pas mal, un film de science fiction qui permet de découvrir une autre facette de l'IA et de la fin du monde. J'ai hésité sur la longueur un peu parfois, ça aurait mérité d'avoir un peu plus de profondeur ou un peu plus de richesse. Au fond ce huit clos passe relativement vite tant on est pris en haleine, mais je reste sur ma fin/faim....dommage.
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