Le pitch et l’ambiance générale est inattendu et se tient très bien . Il n’y a pas eue d’effusion , de fausses notes d’édulcoration ou de choses trop glauques. Sur fond de consicience materbelle quelque part, Très bon divertissement
Prenant de par son ambiance et ses questionnements profonds. Thèmes d'actualité traités avec profondeur et justesse. Assez peu manichéen. Intrigue rythmée qui prends le temps de développer une scène et une ambiance et suspens permanent prenant. Je résumerai ce film avec ces quelques phrases !
La recette hélas habituelle des productions Netflix: un monde post-apocalyptique ou en perdition, un huit clos avec deux ou trois personnages, un rythme un peu soporifique, un scénario sans surprise avec une énième resucée de l'IA qui a pris le contrôle de la folle humanité et une fin dépourvu de toute cohérence et sans surprise. Il y avait pourtant au début l'idée très intéressante d'une enfant élevée par une entité artificielle comme sa vraie mère, malheureusement gâchée par des clichés ressassés.
Sympathique huit-clos post-apocalyptique de science fiction, Mais toujours le même problème avec les productions Netflix: peut-on qualifier ce cela de film ? c'est plus proche de la facture d'un téléfilm. Ce qui n'enlève rien à la qualité du scénario et à l’originalité. Les questions posées sont intéressantes et il y a du suspens. Un petit coté spoiler: prequel de Matrix ou de Terminator
3 films Netflix visionnés à la suite et visiblement, une difficulté à finir leurs films convenablement. 1 - How it ends : là, il n'y a juste pas de fin (à croire qu'ils voulaient nous envoyer un signe avec le titre). Le générique tombe d'un coup spoiler: au moment ou l'on voit pour la première fois le "phénomène" , faisant naître en nous un doute : c'était un film ou le premier épisode d'une série ?
2 - Cargo : Là, c'est tout bon, une vraie fin sympa et toute en humanité. Certain trouve le film un peu lent, mais c'est le cas aussi des 2 autres et cela ne me pose pas de problème. Une fois que je suis plongé dans l'ambiance, je ne vois plus le temps passé...
3 - I am mother : On n'est ici entre les 2 films précédents. Ils ont essayé de donner une impression de fin, mais ce n'est qu'une impression. On attend des réponses qui ne viennent pas. Cela peut être gratifiant de devoir réfléchir 30 secondes à la fin d'un bon film pour "construire" cette conclusion que l'on ne nous a pas montrée, mais bien aidé en cela par un scénario bien ficelé. Ce n'est ici pas le cas. Le film s'arrête et vous avez l'impression d'avoir perdu 1h30 car vous ne pouvez pas imaginer de fin logique, comprendre même quel était l'intérêt du personnage joué par Hilary Swank, ce qu'il a apporté à l'intrigue. 2.5/5 quand même car le film était néanmoins sympa si on oublie cette conclusion qui n'en est pas une.
Le scénario, quoique peu crédible, est intéressant. Le suivi éducatif par un robot d’une jeune femme de la naissance à l’adolescence. Et ce faisant, l’évocation de plusieurs questions philosophiques. Sauf que le manque de crédibilité s’accroit après une demi-heure, et augmente de manière exponentielle lorsque vient s’immiscer une tierce personne. Le plus décevant de ce 1er film de Grant Sputore vient de l’ambiguïté du sort et de la fonction de la dite tierce personne.
Passons sur l'absurdité du concept, après tout la SF peut se permettre n'importe quoi, Mais qu'est-ce que ça manque de rythme, il faut attendre plus d'une heure pour que ça bouge un peu et encore… Le film fait preuve d'une ambition démesurée en émaillant son propos de questions philosophiques mais finit par se ridiculiser de par une narration erratique. Et puis allez me dire pourquoi la baraque d' Hilary Swank est truffée de bondieuserie ? Bref tout cela n'a pas grand intérêt et manque singulièrement de punch mais on notera l'excellence de l'interprétation de la jeune Clara Rugaard.
Un excellent film SF de Netflix, chose suffisamment rare pour être soulignée...ici, rien de manichéen, au contraire, le spectateur se fait sa propre interprétation, car les choix et les raisons de chaque personnage se justifie, tout est question de point de vue...rien n'est tout blanc ni tout noir. Visuellement très réussi, même si les décors "minimalistes" sont là pour ne pas exploser le budget....et pour couronner le tout, réinterprétation absolument parfaite de Clara Rugaard-Larsen, une vrai découverte. Excellent!!!!
Ce film frise la perfection, qu'il la rate selon moi d'un cheveux à cause du petit message subliminal political correct. Pour le reste, le scénario très fin, le suspens remarquable et le message délivré sur la nature humaine sont très bien exprimés. Les 2 actrices sont également à la hauteur de ce super film de SF.
Qu'est-ce qu'être parent ? Mettre au monde un enfant, lui témoigner de l'affection, le nourrir, le protéger, l'éduquer, lui enseigner des valeurs morales, le préparer aux défis de l'existence. Et si une intelligence artificielle supérieure était capable de prodiguer tout cela à un nouveau-né, cela ferait-il d'elle une Mère ? Prenez cette idée plutôt brillante, placez-la dans un contexte de fin du monde ou d'extinction de l'humanité et vous obtenez ce thriller SF astucieux et honnête. Traité quasiment comme un huis clos, le film n'a certes pas de grande prétention visuelle mais a le mérite de poser certaines questions et semer quelques doutes sur ce qui définit notre humanité. Même si imparfaite dans son jeu, la jeune actrice danoise Clara Rugaard est à surveiller et on applaudit le beau travail de Weta sur le robot Mère. Pour finir, il est important de savoir que certaines zones d'ombres du film nécessitent peut-être une relecture ou une interprétation personnelle.
Très beau techniquement mais un peu faible au niveau du scénario. I am Mother est un huis clos dans un univers post-apocalyptique où on suit le développement d'une jeune fille éduquée par Mother, un robot humanoïde. Mon plus gros souci est dans les thèmes qui sont abordés et le développement des personnages. Comme annoncé dans la bande-annonce, l'héroïne accueille dans son refuge une femme qui aurait survécu à l'épidémie sévissant au-dehors. L'entièreté du film pose des question très intéressantes sur le fait d'être humain et quels choix moraux sous-tendent le fait d'être une personne "meilleure". Le souci c'est que le film prend trop de longueur à poser le décor, et pas assez à développer les personnages. Les questionnements de l'héroïne sont alimentés par les informations qu'elle reçoit de l'autre humaine et de Mother. Qui croire ? Une inconnue qui dévoile une vérité qu'on lui a tant caché, ou la mère qui montre les incohérences dans les propos de la nouvelle arrivante ? spoiler: Sauf que lorsqu'elles s'enfuient de la station, l'héroïne voit que en effet dehors c'est pourri. Mais elle apprend aussi que le futur avec les autres gens qu'on lui vendait était faux, porté par une femme qui était bien trop seule. Mais une des grandes questions que je me pose c'est comment l'autre meuf elle est arrivée jusqu'au refuge ? Si Mother contrôle / est l'ensemble des robots autour du monde, elle aurait dû savoir que l'autre meuf arrivait au refuge. Elle ne l'a pas tué. Du coup elle l'a laissé en vie pour tester sa fille, je suppose ? Mais dans ce cas, pourquoi l'autre s'est-elle tiré une balle dans la jambe ? C'était quoi son besoin d'être blessée, sachant qu'elle ne savait qu'il y avait des gens dans le bâtiment qu'elle a miraculeusement repéré. Du coup ça donne un récit qui ne tient plus debout quand on regarde en profondeur...
En plus je suis persuadée que la meuf qui est vivante c'est le premier embryon qui a vécu. Parce que ça explique qu'elle ait été trouvée, et qu'elle ait une comparaison avec la vie pourrie dans les mines. En plus si ça se trouve, Mother l'a laissé dehors soit pour la tester, soit pour vérifier qu'il y a encore des gens vivants dehors (et non conforme à ses attentes pour l'humanité). Bref j'en ai fini avec mes idées personnelles
Un joli morceau de SF qui plaira aux amoureux et amoureuses du genre (et de l’acier inox). Les séquences du début sont touchantes, la réalisation linéaire et rythmée fait son effet, Clara Rugaard et Hilary Swank sont convaincantes. On note quelques réflexions philosophiques au passage (même si elles ne sont pas amenées avec la finesse d’un « Ex machina » ou d’un « Her »). Et puis voilà. Après un certains temps on se lasse. L’intrigue, certes bien ficelée et dévoilée avec parcimonie, ne compense pas le fond et le dénouement qui eux sentent le réchauffé. Le design et les décors ne sont pas d’une originalité transcendante et finissent par agacer. Et lorsque tout cela arrive à terme, on se trouve devant quelque chose d’un peu froid, vide, qui ne vibre pas. À l’image d’une boite de taule qui manquerait…d’âme.
Surprise et agréablement. On ne s'ennuie pas, le personnage principal est très attachant. On développe une certaine affection pour cette mère et sa fille. J'aurais aimé, certes une fin différente que spoiler: la mort du robot mais également des flashback pour nous expliquer davantage, parce que j'ai encore des questions sans réponse. Hilary Swank est comme toujours géniale.
Aucun intérêt, même pas le début d’une intrigue, un cyborg aux mouvements un peu trop humains, une fin qui n’en est pas une, des dialogues insipides, des personnages lisses et des scènes sans queue ni tête, bref il n’y a rien à sauver dans cette daube. Je me demande ce que Hilary Swank est venue faire ici .o0’