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J’espérais un film distrayant pour me sortir des médias et leurs redites, mais franchement j'aurais du prendre un bon bouquin.
Netflix c'est de la violence ou des navets. Dommage.
Netflix c'est de la violence ou des navets. Dommage.
Superbe , cela me rapelle du vécu , ma derniére entreprise , le bal des faux-culs pour certains , ahhh...
Le super patron complètement à la ramasse , à coté de son univers professionnel.. et personnel. Néanmoins , la plupart des entreprises sont correctes; à méditer.
A voir.
Le super patron complètement à la ramasse , à coté de son univers professionnel.. et personnel. Néanmoins , la plupart des entreprises sont correctes; à méditer.
A voir.
Ça aurait pu être intéressant, mais ça ne tient pas ses promesses, le film semble faire du surplace et peine a nous passionner pour la très maigre intrigue financière, même si l'acteur principal Luis Vallejo fait bien le boulot. Les meilleurs passages sont ceux avec la très belle actrice colombienne Juana Acosta. Le choix photographique est surprenant et on se demande la raison de cette grisaille.
Jefe doit être l'un des pires films de l'année 2019. Un film prétentieux ennuyeux et pas drôle. Dans les 10 première minutes vous pouvez déjà dire comment cela se terminera. Jefe a un scénario vide et des interprétations irréalistes. Le thème lui-même est intéressant d'autant plus qu'il est rarement vu dans les films espagnols mais il est très incohérent et mal exécuté. Ce n'est pas une vitrine pour le cinéma espagnol croyez-moi. Ma journée de mauvais films continue...
ferdinand75
Un film un peu trop caricatural pour être crédible et rentrer dans la case de la comédie de moeurs. Un patron trop cocainomane , autodidacte, dirige d'une main de fer son entreprise.Les employés sont soumis ou bien traîtres. Une femme de ménage sympa, atypique viendra le soir ; écouter ce patron désabusé. Avec beaucoup d'empathie elle créera du lien , et lui offrira d'autres perspectives. Beaucoup de poncifs et un manque d'originalité. Le film vaut surtout pour la très bonne interprétation de Juana Costa , excellente , sexy, pleine de charme, actrice colombienne, au gros potentiel , qui a déjà tourné dans pas mal de séries en Europe.
Ce n’est pas le film de l’année mais sa simplicité et sa légère touche d’humour espagnole nous arrache un sourire.
Un vrai message de lâcher prise se cache derrière un scénario simple et pas prise de tête.
Un vrai message de lâcher prise se cache derrière un scénario simple et pas prise de tête.
César (Luis Callejo) est à la tête d'une entreprise multinationale. C'est un homme d'affaire accro à la cocaïne , qui parle mal , qui est violent , homophobe de ce qui disent le mot "Cojones" comme une union entre deux phrases . Il serait l'archétype du patron parfait , sinon parce qu'il est le seul homme d'affaire à ne pas avoir fait d'air dans sa vie . Jefe est l'un des rares films qui parlent de l'importance de LISTENING . Il y a une écoute réelle de l'intérieur , de la compréhension. Au cinéma , on as beaucoup parlé du look du film . En entreprises pendant la crise , un authentique sans honte qui refuse de licencier ses employés lorsque les erreurs ont été commises par lui même et son conseil d'administration. Pour les adeptes de Black Snyder , sa scène particulière de "Sauvez le chat" pour le reste du public est l'empathie pure et dure qui nous accroche à ce personnage . César n'as nulle part où aller et vit dans le bureau où il va rester enfermer pendant une semaine pour empêcher la société de sombrer. Tout va mal pour lui , sa vie est en ruine . Sa compagnie est en faillite , persécuter par le Trésor Public, mais aussi sa famille et sa vie sentimentale s'effondrent , mais en plus c'est un gros accro à la cocaïne. La seule relation avec Ariana, la femme de ménage de nuit va lui donner la force de continuer à se battre .
Typiquement le film que l'on appelle une "comédie de moeurs" avec rebondissements prévisibles, traits des personnages grossis aux limites de la caricature et happy end de rigueur. Un genre dont la France s'est faite spécialiste, mais qui cette fois est espagnol. On y retrouve les mêmes rengaines: divorce, alcool, drogue, tromperies... Bon ici la trame se situe dans le monde de l'entreprise "normalisée pour la télé et le ciné" c'est à dire un univers de bureaux avec des ordinateurs dont on se demande ce qu'ils produisent comme biens ou services. L'intérêt de l'histoire réside au final dans l'intrigue, secondaire hélas, qui se trame au sein de l'entreprise et qui se dévoile dans la deuxième moitié du film, laissant libre jeu au grotesque personnifié par ce patron décérébré qui vit dans son bureau. Un film jetable de plus, car franchement, qui pourrait avoir envie de revoir un truc pareil. Remarquez, c'est peut-être son but ultime, être un autre moment de consommation instantanée.
Jefe ou l'histoire d'un chef d'entreprise alcoolique, drogué, au bord du divorce, de la crise de nerf et de la faillite dans une Espagne pas en forme économiquement parlant.... c'est l'histoire de ce patron caractériel, peu sympathique de prime abord, que tous ces collaborateurs détestent mais qui refuse tout licenciement même contre l'avis de son comité de direction. On sent le gars qui a du cœur mais qui n'a aucune reconnaissance de ses employés.... et puis vient la femme de ménage colombienne la plus sculpturale de Madrid..... et le scénario prend un tour romantique et convenu malgré quelques belles idées. C'est divertissant et on n'en demande pas plus. Un très bon moment.
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