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Julien C.
32 abonnés
51 critiques
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0,5
Publiée le 27 janvier 2019
Un navet comme on n’en voit pas souvent. C’est tellement mal écrit, mal joué (la palme au personnage principal, qui n’a que 2 registres de jeu : faire la gueule ou s’énerver) qu’on est parfois obligé de fermer les yeux devant certaines scènes, tout simplement embarrassantes. Même Lambert Wilson parvient à être mauvais. On passe évidemment sur l’aspect absolument invraisemblable de l’histoire et les réflexions grotesques sur la musique (la musique elle est dans ton cœur, ce genre).
Quelle puissance émotionnelle ! Même si le scénario est très simple et connu d'avance, la musique donne une autre dimension aux vécus et aux histoires personnelles de chacun. La vraie musique, celle qui prend aux tripes, celle qui pousse en avant, et fait faire des choix.
J’ai adoré la mise en scène et la façon de filmer notamment les vues de Paris. La ville était superbe. J’ai aie l’histoure Même si la fin est prévisible. Les acteurs étaient bons. Pour ou un excellent osent de cinéma.
un Lambert Wilson plutôt éteint mais une Kristin Scott tomas incroyable un film sympa a regarder mais aussi beaucoup à écouter plutôt surpris positivement par ce bon film
Excellent film vu cet AM. Des comédiens excellents notamment Jules et sa petite amie, mais aussi Krystin et Wilson. Sur la réussite, le don et le fait de croire en soi, mais aussi de l’importance des rencontres et d’avoir quelqu’un qui croit en vous.... Ou comment corriger l’inégalité des chances liée à la résidence... Ça fait du bien de voir ce film positif ! Merci au réalisateur et scénariste...
Ce film est envouTant. Même sans être pianiste ni grand mélomane, on est pris par la beauté des morceaux classiques. On est touchés par le besoin caché dt héros de sortir du piège de la zone pour se réaliser. Christine Scott Thomas et Lambert Wilson sont d'une justesse et d'une élégance à toute épreuve, confrontés aussi au qu'en dira-t-on du monde la musique classique, pas toujours tendre. Bien sûr, la fin est prévisible; il n'empêche que des rebondissements nous laissent craindre l'échec. Mais on y croit et ça marche. Je n('ai qu'une envie à la sortie de ce film:: me mettre au piano. Ce film me rappelle Le brio, avec Daniel AUTEUIL, dans un autre domaine artistique.J
C’est un beau film, une belle histoire, une belle rencontre. On a plaisir à voir le fils de Marie Trintignant : Jules Benchtrit, le grand plaisir de retrouver Michel Jonasz en professeur de piano bienveillant. Lambert Wilson et excellent, à son habitude. Les partitions de classique sont un pur bonheur. C’était bien : j’ai adoré !
Une bonne surprise! Ce film est très agréable à suivre et surtout à écouter. La trame est certes sans surprise (un jeune banlieuzard s'en sort grâce à la musique, en met plein la vue aux fils de bourges, trouve l'amour, etc.) mais les fils sont bien tissés : la musique, l'émotion, l'humour sont entremêlés - bref, sans être un chef-d'oeuvre, c'est une fiction de qualité. C'est très inhabituel de trouver ce genre de films dans un Gaumont, quel contraste avec Avengers et autres billevesées!
Quelques bémols : la prestation de Lambert Wilson n'est pas convaincante!! On le surprend plusieurs fois à réciter son texte! Et je ne suis pas entièrement séduite par l'acteur principal, mais il n'est peut-être pas très bien dirigé. A suivre dans ses futurs films. Sinon, Kristin Scott Thomas est parfaite, comme d'habitude.
bien sur ce film accumule les cliches...mais si vous avez conservez une d ame d enfant si vous aimez les contes de Noel les belles images et les belles musiques courez y ....vous passerez un très joli moment. les enfants penseront peut etre aussi que si ils ont la chance de beneficier d un cours de piano...un minimum de travail s impose.
Ma voisine m'avait conseillé de voir le film qu'elle avait trouvé bouleversant. Elle avait mis cependant un petit bémol en ajoutant : " mais peut-être que toi qui est musicienne, tu trouveras que ce n'est pas très crédible. " C'est le moins que je puisse dire. Cette histoire de jeune loubard, virtuose du piano, c'est un peu Rambo au pays des Bisounours. Aucun cliché musical ne nous est épargné. Les dialogues sont lourds, les acteurs surjouent, seul Jules Benchetrit est crédible quand il joue du piano. Ce n'est pas le cas de Karidja Touré, incapable de poser deux doigts sur le manche de son violoncelle. Le scénario est cousu de fil blanc. On nage dans le pathos. Un peu d'humour aurait fait du bien. Deux étoiles cependant pour remercier Johann Sebastian Bach, Franz Liszt et Sergueï Rachmaninov pour avoir sauvé le film.
Pour faire court, j'ai été tout aussi séduit par ce film que déçu. Notre pianiste très doué n'a ni le physique ni l'attitude ni les gestes des jeunes des cités, on a du mal à y croire. Il a un petit minois sympathique genre "premier de la classe". Ceci dit, il a un talent fou lorsqu'il fait passer ses émotions quand il se retrouve devant son piano et là, on a vraiment l'impression qu'il survole les cieux de la musique. Quant à Lambert Wilson, pas toujours convaincant mais il m'a laissé quand même sur une bonne impression. Bref, je n'ai pas eu de regrets d'aller voir ce film, un bon moment passé.
Le rôle principal, qui nous emporte littéralement, est sans conteste le concerto pour piano nº 2 de Rachmaninov. Après vient l’histoire et les acteurs. L’histoire n’est pas originale et l’on devine la fin dès le début. Mais Ludovic Bernard (qui en est à son troisième film comme réalisateur) aime les caractères qui se dépassent, c'est intéressant. Et le scénario laisse un espace de pensée (même si on aimerait en savoir plus sur le passé du petit génie caché). On pense, comme il est dit à un moment, que certains "se perdent" dans ce qu’ils aiment (en l’occurrence la musique), tandis que d’autres "se trouvent" dans ce qu’ils aiment. A méditer. On pense aussi à l'imbécillité des castes, réelles, comme on le constate constamment dans le film, qu’il s’agisse des cités ou de la bourgeoisie (jusque dans un conservatoire de musique!). Il y a bien des bizarreries dans le scénario, mais peu importe (la tendinite aiguë du jeune pianiste qui disparaît de l’histoire ; le fait qu’il se mette à jouer dès que le prof lui dicte des séries de notes tarabiscotées alors qu’il ignore tout du solfège). Ça manque aussi un peu de légèreté ou d’humour (sauf quand une notation musicale comme Allegretto ou Piano Subito n’inspire pas au génie autre chose que des "capsules de café"). Mais en gros, tout cela passe bien. Et les acteurs aussi. Pourtant, le rôle arrive un peu trop tôt pour ce Jules de la tribu Benchetrit aka Trintignant et plus (bien qu’il soit sans aucun doute un espoir du cinéma français). –On est joli chez les Benchetrit, ça aide au cinéma, mais ce qui aide aussi est d’avoir appris à jouer, sinon on surjoue ou l’on sous-joue. Cependant, on constate aussi que Kristin Scott Thomas et Lambert Wilson (qui sont des acteurs hors-pairs) ne jouent pas non plus au mieux. Alors à qui doit-on que les acteurs manquent autant de naturel, parfois, dans ce film (sauf Elsa Lepoivre)?