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Votre avis sur Au bout des doigts ?
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Un scénario bien connu. Néanmoins le choix sur la filière de la musique classique et les acteurs, le trio principal fait de ce moment de cinéma un moment d émotions. A cf en famille
elriad
Comment rater un film lorsque l'on possède un sujet en or ? "Au bout des doigts" en est l'exemple. Le parti pris du scénario de situer le jeune dans une Cité est le premier écueil car le choix de Jules Benchetrit est une erreur, pas crédible dans le rôle d'un jeune de banlieue, trop falot, trop mono-expressif.
Deuxième erreur : un jeune de banlieue, totalement passionné de piano, hyper doué, à l'avenir incertain ( la scène du cambriolage installe une idée de future délinquance), ne fait pas sa diva et fonce devant une chance pareille.
Tout est écrit de fil blanc, et il ne reste à l'arrivée que le sentiment d'être passé à côté de ce qui aurait pu être un bon film...
Deuxième erreur : un jeune de banlieue, totalement passionné de piano, hyper doué, à l'avenir incertain ( la scène du cambriolage installe une idée de future délinquance), ne fait pas sa diva et fonce devant une chance pareille.
Tout est écrit de fil blanc, et il ne reste à l'arrivée que le sentiment d'être passé à côté de ce qui aurait pu être un bon film...
Malgré une mise en scène soignée et une belle lumière. Il y a un coté pompeux et démago tout au long du film qui empêche d'éprouver la moindre émotion. Le manque de charisme de Jules Benchetrit malgré sa belle gueule et le coté surjoué de Lambert Wilson n'arrange pas les affaires d 'un film qui joue une partition trop mélo. Rachmaninoff méritait mieux!
Le héros n'est pas transcendant, un sous Matt Damon, l'histoire ne réserve aucune surprise, les morceaux de piano sont stimulants.
Que dire j'ai perdu je ne sais combien de temps devant se film un navet comme j'en ai rarement vu parlons du rôle principal un catastrophe dialogue zéro je pense qu'il doit dire 3 phrases dans tout le film bref à ne surtout pas regarder
Que de clichés ! Les personnages sont très (trop) caricaturaux et on devine la fin du film comme tous les rebondissement au bout de 5 minutes. Kristin Scott Thomas relève un peu le niveau par ses quelques apparitions.
Magnifique film. Interprétation exceptionnelle. Musique émouvante. Pianiste remarquable. Que d'émotions et de bonheur à voir ce film et cette musique réunis.
Vraiment dommage.. tous les éléments d'un excellent film étaient réunis et c'est finalement mauvais. Le scénario est ultra linéaire, prévisible de la 1ere à la dernière seconde en ayant simplement lu le synopsis, et certainement le pire : pas du tout crédible !! Étant musicien, vous avez beau avoir l'oreille parfaite, il est impossible de déchiffrer des partitions en double portée en à peine 1 mois comme ici... J'ai bien compris la contrainte de temps à imposer pour donner un peu d'intensité à ce scénario plus plat que l'eau, mais ça rend complètement improbable le réalisme de la situation. J'avais l'impression d'être face à un Whiplash low-cost version piano. On annihile complètement le travail et les efforts nécessaires pour atteindre le niveau d'excellence exprimé. Avec juste un peu d'esprit autour de cette tendinite aiguë on aurait pu s'en approcher, mais non on préfère nous balader avec une romance enfantine bien bas-du-front histoire d'ajouter un peu de paillettes supplémentaires à cette fable digne d'un Disney. L'émotion n'y est pas et les détails du scénario sont tous clichés sans exception (la liste est longue). Enfin bref l'ensemble sonne faux et ce n'est pas la qualité de la BO qui sauve l'impression générale d'être face à un navet. Je n'ai passé un mauvais moment pendant ces 1h40 mais au terme, un minimum de sens critique et d'objectivité oblige à revoir la note de plus de moitié et reconnaître que c'est vraiment trop simplet, et donc pas bon
Yetcha
Un film au niveau d'un téléfilm dans sa réalisation, son jeu d'acteur, son rythme et même son histoire. Aucun suspense n'est de mise car on connaît la fin dès la lecture du synopsis, il n'y a aucune surprise tout au long du déroulement du film, Wilson est bon, comme à son habitude et l'ensemble se laisse regarder, mais n'en attendez pas un grand bouleversement cinématographique, juste un divertissement correct.
Un scénario simpliste aux clichés en veux tu en voilà qui n'a rien de nouveau, et ce n'est rien de le dire, mais bon... on passe tout de même un bon moment.
Aucun suspens, aucune intrigue, puisqu'on connaît déjà le déroulement et l'issu de l'histoire dès les premières minutes.
Pas mal mais rien de bien original.
Aucun suspens, aucune intrigue, puisqu'on connaît déjà le déroulement et l'issu de l'histoire dès les premières minutes.
Pas mal mais rien de bien original.
Je suis souvent bon public au cinéma, mais ce film est vraiment très mauvais. L'histoire en elle-même est belle, mais tout est si prévisible et si cliché. Rien d'intéressant malheureusement. Le personnage principal possède au maximum 6 répliques, on a l'impression de ne même pas le connaître. Mais bon, la musique est agréable à écouter.
Ce film est-il français ou américain ? Non parce que devant tant de clichés on pourrait se demander. Le thème est plaisant, le casting pas mauvais (enfin hormis Jules Benchetritt qui est franchement mauvais ! Merci Papa & Maman !!) mais alors bon sang que le rendu est ridicule à voir. La scène finale parle d'elle même car c'est un feu d'artifices de mièvrerie et de grand n'importe quoi et on se dit qu'on a regardé 1h30 pour ça ! Lamentable !
une envie de voir une pub pour une grande surface avec la musique qui va avec où le petit gars de la rue est amoureux de la bourgeoise différente, qu'il se rebelle et casse tout sur son passage (oh le coquin anti système) avec une bande son des plus clichés bons pour la pub et où (oh miracle) Lambert Wilson ne sait plus ce qu'il joue d'une scène à l'autre et balance son dialogue telle une caricature du mauvais acteur le tout réalisé comme une pub télé des année 90? Eh bien voilà vous êtes au bon endroit. Bon film et surtout bonne chance !
pour être pianiste amateur ce conte de fée est absolument invraisemblable sur le plan pianistique pur
il faut une âme d'enfant pour avaler ce scénario cousu de fil blanc et artificiel
et le final spectaculaire a été piqué au film "shine" autrement prenant !
il faut une âme d'enfant pour avaler ce scénario cousu de fil blanc et artificiel
et le final spectaculaire a été piqué au film "shine" autrement prenant !
Jorik V
Le sujet et le casting étaient appétissants. Mais Ludovic Bernard annihile tout réalisme avec un script rempli de facilités et d’événements bien trop beaux pour nous paraître potentiellement plausibles. Jusqu’au compte à rebours final vraiment trop poussif et exagéré pour parvenir à complètement nous emporter dans son tourbillon d’émotions. « Au bout des doigts » souffre d’un scénario bien trop rocambolesque et cousu de fil blanc, à la limite du niais. Mais, si on prend ce joli film sous le prisme du conte de fées moderne et qu’on ne s’embarrasse pas des invraisemblances et du côté sentimentaliste et rêveur de l’ensemble, la mayonnaise prend et on passe un bon moment. On ne voit pas le temps passer et c’est le parfait remontant fait film.
En revanche, il faut tempérer l’interprétation. Si Kristin Scott Thomas rentre avec brio dans les habits d’une professeure de piano à priori rigide mais au final chaleureuse, Lambert Wilson a bien du mal à se dépêtrer de répliques trop écrites et qui sonnent faux. Un peu comme le jeu de Jules Benchetrit. Le garçon a du potentiel et du charisme, c’est indéniable. Mais son interprétation d’un délinquant n’est pas crédible et son jeu n’est pas toujours juste, un peu forcé par moments même. Mais loin d’être un mauvais acteur, on le découvre tout à fait magnétique lorsqu’il s’agit de jouer le jeune amoureux transi et le professionnel enfin accompli. Son incarnation d’un pianiste des cités n’est donc juste pas assez dirigée ou c’est la phase de casting qui n’a pas été bien menée. On a donc hâte de le découvrir dans un autre registre qui lui correspondrait mieux.
« Au bout des doigts » manie parfois aussi l’ellipse maladroitement et on a du mal à croire à ce jeune venu de nulle part que l’on présente à un grand concours de musique international. Et, en dépit d’un déroulement prévisible du début à la fin, on rentre dans le film avec plaisir, comme dans des chaussons. Certaines séquences sont même très réussies comme l’incursion chez l’épouse du directeur joué par Wilson, qui fait froid dans le dos et mal au cœur. Et les passages au piano bien sûr, qui sont fidèles à ce qu’on attend d’eux. Les moments attendus et tout le défilé de clichés qui vont avec sont emballés dans une mise en scène élégante et un sens de la dramaturgie plutôt bien négocié. Alors finalement, c’est plutôt une bonne surprise de voir un film avec autant de petits défauts s’avérer aussi plaisant à visionner. A voir si l’on est d’humeur tolérante et le cœur ouvert sans cynisme aucun.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
En revanche, il faut tempérer l’interprétation. Si Kristin Scott Thomas rentre avec brio dans les habits d’une professeure de piano à priori rigide mais au final chaleureuse, Lambert Wilson a bien du mal à se dépêtrer de répliques trop écrites et qui sonnent faux. Un peu comme le jeu de Jules Benchetrit. Le garçon a du potentiel et du charisme, c’est indéniable. Mais son interprétation d’un délinquant n’est pas crédible et son jeu n’est pas toujours juste, un peu forcé par moments même. Mais loin d’être un mauvais acteur, on le découvre tout à fait magnétique lorsqu’il s’agit de jouer le jeune amoureux transi et le professionnel enfin accompli. Son incarnation d’un pianiste des cités n’est donc juste pas assez dirigée ou c’est la phase de casting qui n’a pas été bien menée. On a donc hâte de le découvrir dans un autre registre qui lui correspondrait mieux.
« Au bout des doigts » manie parfois aussi l’ellipse maladroitement et on a du mal à croire à ce jeune venu de nulle part que l’on présente à un grand concours de musique international. Et, en dépit d’un déroulement prévisible du début à la fin, on rentre dans le film avec plaisir, comme dans des chaussons. Certaines séquences sont même très réussies comme l’incursion chez l’épouse du directeur joué par Wilson, qui fait froid dans le dos et mal au cœur. Et les passages au piano bien sûr, qui sont fidèles à ce qu’on attend d’eux. Les moments attendus et tout le défilé de clichés qui vont avec sont emballés dans une mise en scène élégante et un sens de la dramaturgie plutôt bien négocié. Alors finalement, c’est plutôt une bonne surprise de voir un film avec autant de petits défauts s’avérer aussi plaisant à visionner. A voir si l’on est d’humeur tolérante et le cœur ouvert sans cynisme aucun.
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