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Votre avis sur Anna ?
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J'étais très content de pouvoir voir un Luc Besson sauf qu'en fait je suis un peu déçu. Le film fait le taf, il y a de l'action, des combats spectaculaires, des belles scènes et une immersion dans le monde la photo intéressante. Par contre une femme de 48 kilos qui puisse massacrer une kyrielle de molosses bah ça c'est pas crédible. Aussi les relations intimes qu'elle mène sont sans substance voir même claquée au sol. Manque peut-être un peu de dialogue 😐.
Voilà un très bon film d'action et d'espionnage. Le gros reproche qu'on peut lui faire et de mettre très longtemps avant d'en venir au cœur de l'histoire. Un peu plus de 45' seront nécessaire avant que tous les méandres de ce film ne s'entrelacent dans un mouvement qui pourrait vous faire devenir chèvre, et qui révèlera ce jeu d'échec mortel.
L'actrice principale est effectivement sublime à tous les niveaux.
A voir par les fans d'espionnage et d'action.
L'actrice principale est effectivement sublime à tous les niveaux.
A voir par les fans d'espionnage et d'action.
Fil assez bien ficelé d'une espionne meurtrière russe navigant le milieu. Pas mal de suspense. Une bonne poursuite auto. Dans le style, c'est très bien fait.
Bravo ! Suspens haletant, jeux d'acteur fins, juste ce qu'il faut d'action. Un très bon moment, très différent des autres Besson du genre.
"Anna" se distingue comme un thriller d'action captivant, dirigé par Luc Besson, qui fusionne élégamment l'espionnage, l'intrigue complexe et l'action palpitante. Avec des éléments de style visuel caractéristiques de Besson, le film offre une expérience cinématographique qui marie avec succès suspense et esthétique.
L'histoire suit Anna Poliatova, interprétée par Sasha Luss, une jeune femme à la beauté troublante qui se révèle être une arme redoutable dans le monde dangereux de l'espionnage. Sasha Luss offre une performance convaincante, naviguant habilement entre l'innocence apparente de son personnage et sa force intérieure féroce.
La structure narrative ingénieuse, avec des retours en arrière et des retournements de situation, maintient le public en haleine tout au long du film. Les couches complexes de l'intrigue dévoilent progressivement les motivations et les alliances changeantes des personnages, ajoutant une profondeur intrigante à l'ensemble.
Les scènes d'action sont exécutées avec maîtrise, avec un mélange dynamique de combats rapprochés, de fusillades intenses et d'acrobaties époustouflantes. L'utilisation astucieuse de la chorégraphie et des cascades crée des séquences visuellement impressionnantes qui ajoutent une dose d'adrénaline à l'histoire.
Les costumes stylisés et les décors soigneusement conçus contribuent à l'esthétique visuelle distinctive du film. Luc Besson utilise habilement la palette de couleurs pour souligner les atmosphères changeantes du récit, passant des rues animées de Moscou aux recoins sombres des opérations secrètes.
La bande sonore, composée par Éric Serra, ajoute une dimension musicale qui accompagne parfaitement l'intensité de l'action. Les thèmes musicaux renforcent l'ambiance et soulignent les moments clés du film, contribuant à l'expérience immersive.
En conclusion, "Anna" est un thriller d'espionnage qui ne manque pas de captiver. Avec son héroïne complexe, son intrigue bien élaborée et son esthétique visuelle distincte, le film offre une escapade cinématographique divertissante pour les amateurs de suspense et d'action. Luc Besson parvient à créer un équilibre élégant entre style visuel et substance narrative, faisant de "Anna" une œuvre cinématographique qui séduit aussi bien par son intrigue machiavélique que par son esthétique envoûtante.
L'histoire suit Anna Poliatova, interprétée par Sasha Luss, une jeune femme à la beauté troublante qui se révèle être une arme redoutable dans le monde dangereux de l'espionnage. Sasha Luss offre une performance convaincante, naviguant habilement entre l'innocence apparente de son personnage et sa force intérieure féroce.
La structure narrative ingénieuse, avec des retours en arrière et des retournements de situation, maintient le public en haleine tout au long du film. Les couches complexes de l'intrigue dévoilent progressivement les motivations et les alliances changeantes des personnages, ajoutant une profondeur intrigante à l'ensemble.
Les scènes d'action sont exécutées avec maîtrise, avec un mélange dynamique de combats rapprochés, de fusillades intenses et d'acrobaties époustouflantes. L'utilisation astucieuse de la chorégraphie et des cascades crée des séquences visuellement impressionnantes qui ajoutent une dose d'adrénaline à l'histoire.
Les costumes stylisés et les décors soigneusement conçus contribuent à l'esthétique visuelle distinctive du film. Luc Besson utilise habilement la palette de couleurs pour souligner les atmosphères changeantes du récit, passant des rues animées de Moscou aux recoins sombres des opérations secrètes.
La bande sonore, composée par Éric Serra, ajoute une dimension musicale qui accompagne parfaitement l'intensité de l'action. Les thèmes musicaux renforcent l'ambiance et soulignent les moments clés du film, contribuant à l'expérience immersive.
En conclusion, "Anna" est un thriller d'espionnage qui ne manque pas de captiver. Avec son héroïne complexe, son intrigue bien élaborée et son esthétique visuelle distincte, le film offre une escapade cinématographique divertissante pour les amateurs de suspense et d'action. Luc Besson parvient à créer un équilibre élégant entre style visuel et substance narrative, faisant de "Anna" une œuvre cinématographique qui séduit aussi bien par son intrigue machiavélique que par son esthétique envoûtante.
Ce film est une énième version sur certains des thèmes récurrents de la filmographie de Luc Besson, ni meilleur ni pire que les précédents mais clairement pas inoubliable. C'est un mélange assez indigeste de Nikita, Léon, Lucie, Le cinquième élément...
On se demande ce que Luke Evans et Cillian Murphy font là, heureusement qu'Hellen Mirren relève le niveau.
On se demande ce que Luke Evans et Cillian Murphy font là, heureusement qu'Hellen Mirren relève le niveau.
Luc Besson, toujours aussi bon. Deuxième fois que je revois ce film avec un plaisir inégalé.
Rythme, jeu d'acteurs , rebondissements haletants jusqu'à la dernière image avec un épilogue inattendu. J'ai tout adoré !
Rythme, jeu d'acteurs , rebondissements haletants jusqu'à la dernière image avec un épilogue inattendu. J'ai tout adoré !
J'ai beaucoup aimé ce film. On y retrouve tous les ingrédients d'un film d'espionnage, même si le nombre de personnes éliminées sont un peu trop spectaculaires. Mais bon c'est du cinéma, ce n'est pas pire que les blockbuster américain. En tous cas la mise en scène est original, et franchement je ne comprend pas ce désintérêt de certaines presses. Même si le scénario reprend un peu le style de Nikita, c'est un bon Besson. Qu'est-ce que les gens attendent de plus...les films des majors américaines recycles sans fin les sujets. Au moins ANNA nous surprend par l'originalité de sa mise en scène et de son déroulement dans le temps...
Des bons acteurs (Helen Mirren et Cilian Murphy) ne font pas un chef-d'œuvre.
Ca ce laisse regarder, mais à quasiment chaque scène on a l'impression de voir un remake de Nikita, mais en moins bien.
Ca ce laisse regarder, mais à quasiment chaque scène on a l'impression de voir un remake de Nikita, mais en moins bien.
Probablement le meilleur Besson á ce jour. Les scènes sont bien montées, et le casting est au diapason. Certes, il se trouve beaucoup d'invraisemblances anachroniques. Sasha Luss, Lera Abova , toutes deux belles à voir evoluer dans leur personnage, et l'experimentée Helen Mirren toutes 3 très crédibles, tout comme l'excellent Cillian Murphy en agent de la CIA. Physiquement Luke Evans en agent du KGB est plus difficile à avaler, meme si son jeu est à la hauteur. Le rythme est bien réparti et le film offre un très bon moment de divertissement.
Il y a de Nikita et de Red Sparrow, un beau casting, une inconnue investie véritable symbole de toutes les héroïnes de Luc Besson, une musique qui rappelle Eric Serra. Il y a dans ce ce thriller d'espionnage somme, toutes ses marottes, mais c'est commun, daté, et sans intérêt.
On dirait un « Nikita » rafraîchi avec un manque d’inspiration…
Ça distrait, sans plus. Luc Besson a su faire mieux!
Ça distrait, sans plus. Luc Besson a su faire mieux!
Le film agite les stéréotypes au visage du spectateur
désarmé. C'est sans grand intérêt si ce n'est faire du neuf avec de l'ancien Luc Besson gaffe par le nombre d'énormités qu'il laisse au vu de tous.
désarmé. C'est sans grand intérêt si ce n'est faire du neuf avec de l'ancien Luc Besson gaffe par le nombre d'énormités qu'il laisse au vu de tous.
NIKITA Versus ANNA.
Tout commence par une bande de camés qui foirent un braquage et on a un '' oncle bob'' qui propose un job à la survivante dans les services secrets ou la mort. On a le recrutement de la renaissante sur entraînée par le vieux qui n'a pas confiance mais que l' oncle bob amoureux défends. On a le bizutage dans le resto avec '' t'as 5 minutes pour buter le monsieur entre les gardes du corps'' et la meuf qui flingue tout le monde mais qu'on abandonne à son sort pour voir si elle va s'en sortir (flingue vide vs '' elle était murée la fenêtre "), on a un autre bob en colère (copié coller de Stan chez le vieux toni dans Léon du reste ) qui arrive chez un Anglade version fille (même champs contre champs, maillot blanc mimile à gauche, costard noir à droite) avec des flingueurs, parce que sa protégée a disparu avec les documents confidentiels de sa dernière opé (qui a aussi demandé une longue infiltration, où on retrouve même la scène de J. Reno qui ouvre sa vitre électrique à un agent en casquette qui s'approche avec un pistolet mitrailleur, l'alarme sonne... ), on a l'installation dans l'appart pourri après l'académie secrète, avec l'invite à dîner, le baiser torride entre la miss et son mentor, contre un mur. On a la meuf déguisée en mission qui s'approche du garde du corps devant la porte (room service vs prostituée de luxe) dans un palace parisien et qui dit à quelqu'un devant des magnétos à bande '' c'est bon, on a fini ? ", On le flingue planqué dans la salle de bain pour buter une cible. On a la meuf qui veut sa liberté parce qu'elle en a marre, les vacances avec la copine (Bahamas VS Venise) qui trouve qu'elle est invisible dans le couple... Même au générique du début, le titre ANNA, avec la première et la dernière lettre de NIKITA (prénom de Krouchev pendant la crise des missiles entre usa et urss), qui apparaît façon travelling ambigrame comme s'il y avait un miroir entre les deux '(AN/NA)... Je ne sais pas pour vous mais, il semble que Luc Besson a tenté un scénario genre univers parallèles où presque tout se passe sur le même fil temporel mais avec des réalités opposées. NIKITA Vs ANNA, non ? Après une prise de tête neuro scientifique à la LUCY (jouée par une scarlet qui joue aussi une certaine romanov avec un style de combat très proche de celui d'anna), il m'apparaît logique pour lui d'essayer les multivers quantiques.
Ou bien c'est un reboot pas terrible d'un de ces propres film et j'ai rien compris à son génie. Donc 2,5, la moyenne.
Tout commence par une bande de camés qui foirent un braquage et on a un '' oncle bob'' qui propose un job à la survivante dans les services secrets ou la mort. On a le recrutement de la renaissante sur entraînée par le vieux qui n'a pas confiance mais que l' oncle bob amoureux défends. On a le bizutage dans le resto avec '' t'as 5 minutes pour buter le monsieur entre les gardes du corps'' et la meuf qui flingue tout le monde mais qu'on abandonne à son sort pour voir si elle va s'en sortir (flingue vide vs '' elle était murée la fenêtre "), on a un autre bob en colère (copié coller de Stan chez le vieux toni dans Léon du reste ) qui arrive chez un Anglade version fille (même champs contre champs, maillot blanc mimile à gauche, costard noir à droite) avec des flingueurs, parce que sa protégée a disparu avec les documents confidentiels de sa dernière opé (qui a aussi demandé une longue infiltration, où on retrouve même la scène de J. Reno qui ouvre sa vitre électrique à un agent en casquette qui s'approche avec un pistolet mitrailleur, l'alarme sonne... ), on a l'installation dans l'appart pourri après l'académie secrète, avec l'invite à dîner, le baiser torride entre la miss et son mentor, contre un mur. On a la meuf déguisée en mission qui s'approche du garde du corps devant la porte (room service vs prostituée de luxe) dans un palace parisien et qui dit à quelqu'un devant des magnétos à bande '' c'est bon, on a fini ? ", On le flingue planqué dans la salle de bain pour buter une cible. On a la meuf qui veut sa liberté parce qu'elle en a marre, les vacances avec la copine (Bahamas VS Venise) qui trouve qu'elle est invisible dans le couple... Même au générique du début, le titre ANNA, avec la première et la dernière lettre de NIKITA (prénom de Krouchev pendant la crise des missiles entre usa et urss), qui apparaît façon travelling ambigrame comme s'il y avait un miroir entre les deux '(AN/NA)... Je ne sais pas pour vous mais, il semble que Luc Besson a tenté un scénario genre univers parallèles où presque tout se passe sur le même fil temporel mais avec des réalités opposées. NIKITA Vs ANNA, non ? Après une prise de tête neuro scientifique à la LUCY (jouée par une scarlet qui joue aussi une certaine romanov avec un style de combat très proche de celui d'anna), il m'apparaît logique pour lui d'essayer les multivers quantiques.
Ou bien c'est un reboot pas terrible d'un de ces propres film et j'ai rien compris à son génie. Donc 2,5, la moyenne.
HamsterPsycho
Peu de surprise, un film mécanique sans âme particulière. La profondeur du personnage d'Anna n'est pas si poussée que cela. Et impossible de s'enlever Nikita de la tête et l'impression d'en voir une version actualisée et russe.
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